Avis : Les Plus belles années d'une vie - Page 3

Lelouch signe une œuvre extrêmement touchante sur le temps qui passe, la nostalgie d’une vie passée, d’un amour perdu. C’est déchirant, habile et intelligent dans son rapport à Un Homme et une Femme. CRITIQUE �������� - #Lesplusbellesannéesdunevie est un film bouleversant, terriblement touchant, qui est un échos puissant de #Dunhommeetdunefemme, #PalmeDOr 1966 pour #ClaudeLelouche �

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Poignant et beau !
Quel film délicat sur le temps qui passe , sur l’amour qui vaut toujours la peine d’être vécu .
Anouck Aimée et jean louis Trintignant sont magnifiques et pleins de leur vie, de leurs failles, de leurs fantaisies.
Il est certes douloureux de voir le temps qui passe. Jean Louis Trintignant marqué par tous ses drames est sublime de fragilité, mais il garde toute son espièglerie et son charme. Voir son visage , d’un seul coup , s’illuminer de sourires est une merveille et va droit au cœur.
Anouck Aimée est ,quand à elle, éclatante dans l’épanouissement de son âge.
Rien n’est surjoué,
on est dans du lelouch toujours romantique mais maitrisé , un très beau film sur la vie.

Vu et avis le 20190604

Montages et mise en scène sont bien mais je n’ai pas été intéressé par ce que le film raconte.

J ai trouvé que les trois images en surimpression fonctionnaient très bien, que c était bien amené et justifié. Cela m a bien surpris et j y ai même trouvé du plaisir de l avoir vu. Cela mis à part, je n ai pas remarqué quoi que ce soit qui m ai semblé remarquable. De bonnes choses, de bons moment, mais pas assez pour que j ai une impression générale correcte.

Jean louis Trintignant est fascinant à voir, en particulier cette première scène où il écoute en rêvassant de la musique. Sa prestation est exceptionnelle mais cela mis à part, je n ai pas apprécié grand chose. Ni le jeu des autres acteurs, ni le scénario, encore moins les dialogues ni la poésie de Boris Vian ni la nouvelle relation qui se tisse entre les deux anciens amants. Et en particulier pas les uchronies -les rêveries qui mélangent rêve et réalité, les tentatives de représenter « l eternal sunshine of a spotless mind ».

Quel plaisir voir se reformer le couple Anouk Aimée/Jean-Louis Trintignant 50 ans après! Ce film est empreint de nostalgie et Jean-Louis Trintignant est formidable. En effet, il joue malicieusement avec son ex-compagne, son fils ou même le personnel de la clinique, alternant les moments de lucidité et d'égarement, sans que l'on sache si c'est vraiment voulu. Claude Lelouch n'a pas son pareil pour nous faire rire ou pleurer dans cette œuvre en forme d'hommage aux acteurs et au 7ème art en général. L'aspect négatif est la multitude de flashback qui font trop retomber l'essentiel de ces retrouvailles.

Film tendre et poignant. Vrai jeu d'acteurs avec une prise de vue recherchée et posée. Touchant et juste.

« Les plus belles années d’une vie » Claude Lelouch : De base, je n’aime pas le Cinéma de Lelouch. De base, je n’ai pas aimé « Un homme et une femme », j’apprécie par principe parce que Anouk Aimée et parce que certains plans en sépia sont magnifiques. Mais cette histoire d’amour sur fond de course automobile là, c’est un peu chiant quand même… Du coup, cette suite 50 années plus tard où l’on retrouve les deux héros, Trintignant et Aimée vieillissant, qui sont réunis grâce à la maladie de Jean-Louis, je m’attendais à être déçue. Que nenni ! Au bout d’à peine un quart d’heure j’ai commencé à pleurer… Leurs retrouvailles, mixées avec des extraits du film originel, sont déchirantes. Lui se souvient d’elle comme de la seule femme qu’il a aimée, elle ne l’a jamais oublié. Et pourtant, il ne la reconnaît pas. Comment ne pas penser à « Amour » de Haneke (où Riva porte le même prénom qu’Aimée, Anne) bien qu’ici ce soit Trintignant dont on prend soin et qu’on accompagne doucement vers la mort ? Mort qu’il accepte à la seule condition de la passer avec Anne 15-40 Montmartre.
En parallèle, Antoine et Françoise (joués par les mêmes acteurs que 50 années auparavant, magique) se retrouvent et semblent eux aussi vouloir rattraper le temps perdu. Un lien fraternel raté qu’ils tentent de renouer.
Des séquences de rêves (tournées au téléphone portable, tentons de ne pas grincer des dents, après tout pourquoi ne pas profiter des nouvelles technologies ?) sont d’une fraîcheur qui tranche avec cet environnement de maison de retraite spécialisée et tire larme.
Le film est beau, le film est joyeux. Les pleures de tristesse du début se transforment en pleures de joie et de tendresse à la fin. L’Amour triomphera toujours. Le soleil est vert sur les planches de Deauville.

Pourtant je n’ai jamais pu regarder le premier en entier mais celui-ci est très beau et les acteurs sont magnifiques

Claude Lelouch cumule presque 60 ans de carrière dans le cinéma. Parfois pour le meilleur, parfois pour le pire. Sans doute d'ailleurs, que l'œuvre centrale du cinéaste demeurera "Un homme et une femme", salué à juste titre à Cannes. "Les plus belles années d'une vie" est une sorte d'écho au couple mythique, mais près de 53 ans plus tard. On aura oublié entre les deux l'insipide "Un homme et une femme : 20 ans déjà" pour cet épisode-là, encensé par la presse.

En réalité, le film de Lelouch est une sorte d'œuvre testamentaire qui vient couronner la carrière magnifique d'un homme, qui aura tourné avec les plus grands, et aura, au passage, grandi le répertoire de la chanson française. Les deux héros ont vieilli. Anouck Aimée demeure toujours sublime ; elle donne la réplique à un Trintignant abîmé, fatigué, étreint par Alzheimer. C'est dans ce choix si radical que le scénario fait défaut. Les dialogues évoluent entre incises fantasmatiques et paroles de vérité. On ne parvient pas à s'attacher à ces deux personnages, tant ils semblent pétris de stéréotypies.

Par contre, les citations du son film phare "Un homme et une femme" sont proprement réjouissantes. On redécouvre avec fascination le très grand plan séquence tourné dans une voiture, où les deux amants traversent Paris. C'est l'occasion de retrouver les lieux de la capitale, qui, finalement, n'ont pas beaucoup changé. C'est aussi le petit plaisir de fredonner dans la salle le célébrissime air de Francis Lai.

Très très très (il fallait 100 caractères !) ému par ce superbe film, qui est une ode à l'amour, à la vie, au temps qui passe...

Un nouveau Lelouch et un excellent cru
Je craignais le pire et beaucoup de misérabilisme avec un JL Trintignant délabré et une Anouk Aimé qui ne pouvait que faire regretter un passé où elle nous avait fait rêver et un scénario à vau-l’eau, comme Lelouch s’y risque parfois.
Tout le contraire. Le scénario est tenu, les images sont superbes, les acteurs sont justes et émouvants avec beaucoup de retenue et de pudeur. Un moment magique sans pathos, des dialogues minimalistes, mais très intenses où les regards sont très expressifs et l’humour présent. Anouk n’a rien perdu de son charme et Jean-Louis de son talent. Les retours sur le passé avec des séquences d’Un homme une femme, sont très bien séquencés.
Un très bon moment de cinéma comme je les aime.

Le grand retour de Claude Lelouch, hommage à l’amour éternel entre Jean Louis Trintignant et Anouk Aimée

Nul de chez nul. De qui se moque t on? 1/2 de flashback d'un homme et une femme reste 1 heure de film pour voir un pauvre Trintignant insipide et incompréhensible et qui a perdu la mémoire. Fin pitoyable sans sueue ni tête. Le gagnant c'est Lelouch qui n'a pas beaucoup déboursé de sous et sui fait le jackpot sur notre dos comme Guillaume Canet.

je regrette d avoir perdu mon temps pour voir un film sans intérêt et d'une grande tristesse noire hormis la beauté d'anouck

Unique. Ce film est unique à plusieurs titres... les mêmes acteurs poursuivent l’histoire 50 ans après leur première rencontre.., unique par l’émotion que l’on ressent entre la nostalgie, l’humour, l’amour.. voir l’effet de l’âge qui touche le corps mais pas l’âme.. À voir car ce film n’est pareil à aucun autre.

c'était super ! Lelouch n'a pas peur du ridicule et de ce fait il ne l'est pas. C'est fluide, on ne sait jamais si certains scènes sont vraie, rêvé ou des souvenirs. Trintignant joue à merveille le mec qui perd un peu la tête, mais jamais le personnage devient ridicule. La participation de Monika Belluci est un bonus inattendu et l'autre bonus est la course de la voiture qui traverse Paris : Hallucinant !