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    Mischka
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    10 critiques spectateurs

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    Hotinhere
    Hotinhere

    410 abonnés 4 732 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 janvier 2022
    Un road-movie rempli d’humanisme, de générosité et de personnages attachants, mais au service d’un scénario bancal et peu captivant.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    514 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mai 2018
    En voici un film difficile à aimer et pourtant Stévenin y a mis son talent et son cœur. Comment apprécier le sujet ? Soit on s’occupe de toutes ces personnes en grandes difficultés de vie et on ne va pas au cinéma pour s’y replonger mais pour se détendre et respirer. Soit on ne connaît rien aux marginaux et on ne veut ni ne peut les comprendre. C’est dire si les étoiles sont faciles à mettre sur ce film…J’avoue mon impossibilité d’où ma note car Mischka est tout sauf n’importe quoi. A l’opposé du film commercial, Stevenin veut laisser un message fort même s’il dérange. J’ai pour ma part une autre conception de la ‘’notion de famille’’ car nous avons la chance de vivre en France, pays ou la recherche du bonheur est possible sous de multiples formes. Ce film est un triste constat et il ne porte aucun espoir, c’est ce qui me gène beaucoup.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    114 abonnés 828 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mai 2015
    Vu au cinéma lors de sa sortie, et franchement si je dois restituer ma sensation, Mischka était un film admirable, un petit chef d'oeuvre où le sentiment de légèreté, de spontanéité, de camaraderie, d'amateurisme - au sens d'innocence et de fraîcheur - vous clouait le bec en transcendant le sujet forcément douloureux d'un vieil homme abandonné sur une aire d'autoroute… Je le reverrai mais d'ici là je ne peux que le conseiller. Allez-y les yeux (pas complètement) fermés !
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    909 abonnés 4 833 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 décembre 2020
    Le grand père sur la route qui croise toute une population iconoclaste, tout droit sortie d'une ZAD....
    J'ai eu l'impression durant le film de revoir l'histoire de l'homme qui cherchait sa famille sur une tondeuse.
    Il rencontrait pareillement une foule de personnages originaux. Mais ici on est un peu abandonné dans tous les sens et on cherche aussi notre chemin.....
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 916 abonnés 12 156 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2018
    Dans sa troisième rèalisation, le comèdien Jean-François Stèvenin èvoque la famille, son èclatement et sa recomposition! il interprète lui-même un des personnages centraux qui rassemble autour de lui une famille de fortune avec d'autres laissès pour compte : enfants, adolescentes ou grand-père! Comme dans tout bon road-movie qui se respecte, l'intrigue progresse au fil des rencontres et des aventures rocambolesques! Parmi les plus surprenantes, celle de Johnny Hallyday dans son propre rôle! Son goût pour le road movie devait inèvitablement placer Stèvenin sur les routes de France du côtè de la Bourgogne-Franche-Comtè et de la Gironde! Ce qu'il dèchaîne près de 2h durant, dans une inclassable virèe familiale où l'on fait de belles rencontres! Depuis 1978 et son « Passe montagne » , les temps ont bien changè! Stèvenin, homme à tout faire d'un hospice pour vieillards , est comme à l'habitude remarquable! A ses côtès, Jean-Paul Roussillon l'est tout autant! Une rèèdition en coffret DVD (Le Pacte) a ressuscitè cette oeuvre solaire et attachante...
    Loïck G.
    Loïck G.

    281 abonnés 1 626 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 octobre 2018
    Le plus abordable des trois films de Jean-François Stévenin aux résonnances sociales toujours actuelles. Un grand père abandonné sur une autoroute, une maison de retraite en délire, une jeune fille en quête de son père parti dans une autre famille, l’histoire de « Mischka » est une histoire de tous les jours que le cinéaste-acteur pose au milieu d’un quotidien à la fois formaté et déjanté par le bonheur de vivre en toute liberté, une insouciance rare. Rien que du banal ou presque que Stévenin saisit à hauteur du cœur et de l’amitié qui ne tient pas en place dans cette mise en scène provocante, et surtout provoquée.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    SpiderBaby
    SpiderBaby

    38 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 janvier 2008
    Requin de droite prêt à jouer dans des nanars, des épisodes du commissaire Moulin et à pistonner toute sa famille pour s'enrichir, néanmoins populaire ; beauf fan de Johnny et de Max Pécas, incapable d'articuler une phrase sur un plateau télé sans gesticuler, faire des grimaces et des onomatopés, mais passant néanmoins pour un intellectuel aux yeux de la critique et des journalistes... Stévenin ne m'est franchement pas sympathique. J'ai essayé de regarder son film, encensé par des critiques dithyrambiques... Il m'a paru vide, creux, simpliste, sur-estimé. Et pourtant j'adore les road-movies.
    1ppy
    1ppy

    11 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 septembre 2007
    Si déroutant que je me suis perdu... et je ne suis même pas arrivé à la fin.
    benoit_lb
    benoit_lb

    2 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2021
    Plongée dans la France d’en bas : vieilles bagnoles déglinguées, terrain de camping une étoile au milieu des pins, guinguette au bord de l’eau, pizzeria ambulante sur la place du village, hommes mal coiffés, pas rasés, jeune fille décolorée, vêtements en vrai skaï, gamin désœuvré qui s’amuse à casser des bouteilles dans une décharge quand il ne jette pas des pierres sur l’autoroute… C’est cette France d’en bas qui sert de cadre à « Mischka », cette histoire de famille recomposée sur laquelle Jean-François Stévenin s’appuie pour nous démontrer que les liens du sang ne sont pas forcément les plus forts et qu’une famille de substitution peut être un palliatif affectif à la famille biologique. Il y a Gégène et son éternel plâtre au bras, employé dans un hospice à Auxerre, qui cherche à se réinventer une famille (voire à en inventer une) où il aurait toute sa place entre un père attentionné et une fille admirative. Il y a Jane, adolescente devenue soudainement adulte, qui a décidé d’embarquer son petit frère dans sa fugue d’une mère impossible et la recherche de son père. Il y a Joli Cœur qui cherche à échapper à son compagnon qu’elle soupçonne de trop grande complaisance envers la gendarmerie locale. Et puis il y a l’incontournable Mischka, sexagénaire que son fils se force à emmener en vacances avec femme et enfants à condition de le faire voyager en robe de chambre dans le coffre de sa voiture avant de l’oublier sur une aire d’autoroute… Tous ces personnages en manque d’affection convergent pour former une famille constituée de toutes pièces qui va traverser la France de l’Yonne à la Gironde.
    Le parallèle avec la Palme d’Or 2018, « Manbiki Kazoku » de Hirokazu Kore-Eda vient rapidement à l’esprit : mêmes interrogations sur la réelle signification à donner au mot « famille », même époque, même cadre social. Là ou Kore-Eda-San plantait sa caméra dans un quartier populaire du Nord de Tokyo parmi une famille de déclassés de la société japonaise, Jean-François Stévenin a choisi l’Yonne, cette terre qui a longtemps servi de refuge aux personnes indésirables en Ile de France, pour cadre de son film.
    En revanche, si Kore-Eda San ne quittait pas son quartier de Tokyo, Jean-Francois Stévenin balade perpétuellement ses personnages que ce soit en bus, en camion, en voiture, en bac… Il fait ainsi de « Mischka » un véritable road movie, impression qu’il renforce à travers d’inlassables plans retranscrivant parfaitement l’Yonne (un des plus vastes départements de France) dans toute son immensité entre ses champs de blé, ses vignes et ses villages perdus. Les points d’étapes ne manquent pas tout au long de ce voyage : aire d’autoroute, hospice, station-service, camping, hôtel…
    Ces personnages hauts en couleur, leur insouciance et leur rapport dépassionné à l’argent (tout le contraire de ceux de Kore-Eda-San) nous apportent une vraie bouffée de bonheur qu’agrémentent l’ambiance festive de ce mois de juillet, ces vacanciers croisés au hasard des départementales et la présence de notre Johnny national que l’on retrouve lors d’une courte scène en pleine « escale technique » admirant l’immensité de l’Yonne écrasée sous le soleil de l’été depuis un champ de blé où il a fait poser dans son hélicoptère. On s’amuse aussi des quelques considérations politiques amenées par Jean-François Stévenin notamment dans le rapport à l’Europe et aux Allemands en particulier, qu’il prête à ses personnages entre les plus vieux qui ne pardonnent pas à ces derniers leurs exactions des années sombres au contraire des plus jeunes qui les abordent avec bienveillance.
    « Mischka » a toutefois le défaut de trainer en longueur et ne pas cesser de finir. Lors de la deuxième partie tournée sur les bords de l’estuaire de la Gironde, Jean-François Stévenin semble vouloir faire rentrer son film dans le moule d’une intrigue particulière comme si chacun de ses personnages était censé retourner à la case départ. Cette deuxième partie nous vaut malgré tout la réplique la plus mémorable du film, celle de Mischka répondant à Gégène venu lui dire au revoir : « Mon adresse ? Au ciel ! ». Une réplique qui, placée en fin de film, sonne comme un constat d’échec de la famille recomposée et comme la prééminence des liens du sang.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 janvier 2008
    film agréable si l'on aime le vide
    Les meilleurs films de tous les temps
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