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    Requiem pour un massacre
    Note moyenne
    4,3
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    163 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 janvier 2012
    Le meilleur film de guerre jusqu'alors. Une réalisation à couper le souffle et des scènes d'une beauté rare.
    jplebris
    jplebris

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 août 2010
    Mauvais films où tous les lieux communs sont réunis, je vous déconseille de perdre votre temps avec ce film.
    Enkko-7
    Enkko-7

    36 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 août 2010
    Très grand film de guerre sur les massacres en Bielorussie durant la WW II. Vingt-six ans plus tard, le film a vieilli, on regrette des bruitages pénibles et une bande-son qui passe souvent à côté de la plaque. N'en reste pas moins un témoignage historique d'une rare puissance et une très belle interprétation (même si de nombreux plans mettent en lumière un sur-jeu que l'on aurait du mal à tolérer aujourd'hui).
    this is my movies
    this is my movies

    617 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 août 2018
    Indéniablement, ce film est un choc, une exploration de la folie humaine au sein d'un des conflits les plus meurtriers de l'histoire, une course effrénée vers le chaos le plus absolu. Visuellement, le film est beau, avec quelques plans à tomber par terre, y compris lorsqu'il nous plonge dans l'horreur. Mais ce n'est pas beau pour frimer, c'est beau parce que le cinéma russe est comme ça, avec des plans composés de manière remarquable et des lumières sublimes. Oui, mais voilà, c'est un film de guerre aussi, du genre qui nous fait partager le sort des civils plutôt que celui des militaires. Peu d'action, mais de la peur, de la boue, du sang, le froid, la misère, la survie, le feu, les larmes. Difficile de trop parler du contenu, qui se découpe en une poignée de séquences, parfois trop étirées à mon goût, avec un son envahissant, qui vous pousse aussi aux confins de la folie. C'est un choc, c'est tout, une oeuvre qui ne conviendra pas à tout le monde, à réserver à un public averti. C'est surtout un film qui fait passer "Apocalypse now" pour un film de vacances dans une station balnéaire du Vietnam. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    210 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 février 2023
    Immense. Tout simplement IMMENSE.
    Mais attention, on évitera de regarder ce film en famille un samedi soir, parce que c'est aussi un des films les plus brutaux, radicaux, choquants sur un sujet qui ne l'est pas moins, la guerre (vue au travers des yeux d'un enfant, jeune adolescent spoiler: qui semble, à la fin du film, avoir l'âge de son arrière-grand-père tellement ce qu'il a vu l'a marqué
    ). Cette production soviétique de 1985 est une des oeuvres les plus fortes et glaçantes sur les horreurs de la guerre, peu importe laquelle même si ici c'est la seconde guerre mondiale. On n'en sort pas indemne.
    norman06
    norman06

    296 abonnés 1 598 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 avril 2019
    Un chef-d’œuvre du cinéma de guerre et un poignant voyage au bout de l'enfer, meilleur film d'un immense cinéaste russe à redécouvrir.
    Starwealther
    Starwealther

    48 abonnés 1 161 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2023
    Ce film russe sur les horreurs faites par les allemands pendant l'opération Barbarossa en Biélorussie est d'un réalisme saisissant! L'ambiance sonore stridente et presque permanente est étouffante et ne nous laisse presque aucun répit. Rare sont les films montrant avec autant de vérité les exactions commises par les nazis pendant la seconde guerre mondiale. Les plans sont très beaux et le choc psychologique ressenti par ce jeune homme russe fait froid dans le dos. Un film qu'on ne peut pas oublié, il ne laisse pas indemne. Ames sensibles s'abstenir.
    bobbyfun
    bobbyfun

    30 abonnés 1 216 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2020
    Les horreurs et la barbarie de la guerre nous sautent aux yeux. Une vraie claque filmée avec une froideur et une authenticité rare.
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    120 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 janvier 2015
    Je suis venu, j'ai vu et je suis convaincu.

    Enfin j'aurais préféré que le convaincu se transforme en bouleversé mais de toute façon ça ne rimait pas, donc c'est nul. Je dois dire que j'attendais quand même ce Requiem pour un Massacre au tournant étant donné son statut de gros morceau du cinéma soviétique et j'ai un avis partagé qui tend cependant très largement vers le positif. Tout d'abord je dois dire que l'ambiance générale du film m'a beaucoup plu. Comme ça pu être dit précédemment dans d'autres critiques, nous sommes en effet plongés dans l'horreur de la guerre avec toute la cruauté et la saleté qui la caractérisent. Le réalisme des scènes de guerre (impressionnants bombardements) se mêle sans souci à une atmosphère qui frôle le surréalisme voire l'onirisme par intermittences. Nous sommes spectateurs de ce théâtre absurde qu'est la guerre et qui nous est montrée ici de manière glaciale. Mais quelque part c'est aussi ce qui m'a un peu rebuté, je ne me sentais pas en immersion dans cet univers froid. Je n'étais pas totalement impliqué dans le film et le sort de ses personnages à cause d'une mise en scène qui affiche quand même pas mal de lourdeurs.

    Déjà ces regards face caméra intempestifs... Peut-on faire moins vulgaire je vous le demande. Ça ne s'arrête pas, Klimov nous ressort trop souvent ces plans similaires sur des visages pétrifiés qui surjouent comme pas permis. Et le principal défaut de ce film c'est ça, il est constamment dans l'exagération. L'acteur principal est tantôt efficace, tantôt trop expressif. Les yeux écarquillés devant l'horreur merci, je m'en passerai volontiers. Et quelque part c'est dommage car à côté il y a une dégradation physique et mentale qui est superbement bien faite et qui contribue aussi à l'ambiance fascinante de Requiem pour un Massacre. Fascinant le film l'est par son mélange entre réalisme cru et son côté quasiment fantastique, mais le tout est traité sans grande finesse malheureusement. On reconnaît bien là les défauts typiques d'un film tourné sous un régime politique autoritaire. Le camp des partisans russes n'est pas peint comme étant parfait mais il reste droit, digne. Tandis que le camp adverse (les hooooooribles nazis) est montré comme particulièrement destructeur, meurtrier et lâche. Je veux bien qu'il y ait une part de vérité mais le film aurait gagné à développer une réelle ambiguïté entre les deux camps. Mais non, ici les nazis mangent du homard pendant un massacre de village. De quoi sortir complètement du film et atténuer son propos.

    Mais bon, on assiste quand même à un film rempli de qualités malgré ses défauts un peu lourds. Klimov redouble tout de même d'idées de cinéma. La toute fin est en la parfaite illustration, ce compte à rebours inversé de l'Histoire est génial. Et là se développe une vraie ambiguïté qui remue sévèrement les tripes. La réalisation est quand même réussie dans l'ensemble hormis les passages de regards face caméra. La violence est filmée admirablement, tantôt impressionnante, tantôt dérangeante (je pense à l'excellente utilisation du hors-champ ou à la scène de découverte des corps dans un village). Et le travail sur l'environnement sonore est assez énorme aussi (hormis la post-synchro assez dégueulasse). Non dans l'ensemble je ne regrette absolument pas la découverte car le film est marquant, fascinant, dur. Mais il y a trop de défauts qui viennent ternir le tableau pour que je puisse passer outre. Mais c'est une oeuvre à voir indéniablement.
    didbail
    didbail

    21 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 octobre 2007
    Quel coup de poing ! Difficile d'écrire après le choc encaissé. C'est assurémént un des meilleurs films du genre. Très russe, d'une violence viscérale qui vous terrifie, il nous assène l'horreur de la guerre et au-delà nous montre sans détour les atrocités dont l'homme (et pas seulement nazi !!!) est capable. 20 ans plus tard Jonathan Little a eu le Goncourt avec "Les Bienveillantes" qui décrit minutieusement de telles horreurs. Incontestablement, "Requiem pour un massacre" aurait mérité un grand prix à Cannes, Venise ou Berlin. La mise en scène est d'une grande efficacité avec une bande-son exceptionnelle. Le jeune acteur qui tient le rôle principal est proprement hallucinant (on pense à David Bennent dans "le Tambour").
    A voir absolument.
    blacktide
    blacktide

    39 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2018
    Tu es venu, maintenant regarde...

    Requiem pour un massacre est un voyage. Un voyage au bout des enfers, des flammes de haine et des cris dans la brume. Errance, nos yeux s’y perdent. Pétrifié, l’œil ravale ses pleurs. Dans la paralysie de nos sens, ce Requiem n’a rien du réconfort symphonique. Il frappe, il cogne, il dénote. Car dans chaque guerre, il n’y a ni héros, ni victoire, juste des victimes et une arbitraire survie. Choses que cette œuvre remue, et balance, comme un éclat d’obus, qui nous empêcherait de nous relever.

    Les visages changent d'expression, constamment. S’impose alors ce périple du regard, et les conséquences d’un voyage au bout de la nuit : « Come and See », l’avertissement se titre. Une formule portant une tragédie en filigrane ; la fatalité du temps peut-être. Puisque chacun le sait : il est trop tard, l’Histoire enterre déjà ses victimes. Tombeau de lucioles, ou de lucidité, qu’importe, Elem Klimov regarde le passé, et en tire la substance de son Horreur : la ballade du Soldat, d’une enfance rayée, quand passent les cigognes, et périt l’espoir. Une œuvre totale donc, en mouvement dans les maux, et rapprochée dans l’émotion.

    Dans le sable du temps, creusent deux enfants, à la recherche d’un vieux fusil, ou d’un trésor enfoui. Un témoignage (contre l’oubli) à venir, peut-être. Point de vue. Car dans la vie, dans un film, ou en guerre, « Tout commence par les enfants ». L’ouverture (d)étonne : le calme avant la tempête, sans massacre ni larmes, juste l’enfance, au milieu des restes, d’objets à l’abandon et d’une guerre potentiellement finie. Mais non. Un fusil sort des entrailles de la Terre. La Mort est en marche. Tu es venu, maintenant regardes. Apocalypse Now.

    La violence se fait mémorielle. Tâche difficile que d'essayer de mettre en mots l'innommable, et d'autant plus difficile de le mettre en Images. Puisque tout passe par le regard, plus que par les mots. Oui, les regards bouleversent. Dans les bois où s’écoulent des larmes de sang, dans cette campagne de cèdres et de cendres, l'œil convulse, et telle une cigogne, regarde la dévastation, et la tombée des innocents. Et pourtant, l’ensemble a des airs de « rêve », de surréalisme dans le cauchemar, d’errance et de contemplation Tarkovskienne, dans une vache de guerre. Une logique qui s’analyse comme une forme de surdité face aux événements, ou de mort annoncée dans une guerre qui n’est que non-sens.

    Tout est là, dans ces plans séquences, dans cette maîtrise du suivie de l'Horreur. La brutalité brute, en cruauté sans coupe. Démarche reprise bien plus tard dans Le Fils de Saul. Car personne n'est protégé face à la barbarie. Immersion, je crie ton nom. Les visages se déversent sur nos corps. Les pleurs se mêlent aux â(r)mes. Corps et âme, le spectateur n’est plus qu’une ombre face à la barbarie de l’Histoire. Car dans Requiem pour un massacre, les Images ne nous épargnent pas. L'horreur contamine les visages, et s’inscrit dans une évolution déshumanisante. De la fierté d’aller combattre aux regards dans le néant, Florya (impressionnant Aleksei Kravchenko) n’est plus qu’un anonyme réduit à la seule pensée de l'atrocité par l’atrocité.

    Les cadavres s’entassent, les corps se fusillent, la peau se brûle. L’enfer lui aussi monte en grade. Plus rien ne se respecte, et les symboles se tâchent de sang : une église en flammes ; une cigogne sans nichée ; un arc-en-ciel au milieu du chaos, etc. Il y a cette idée de bourbier, d’enlisement dans la noirceur : une terreur tout en « sables mouvants », dans des étangs de boue, où l’innocence s’enfonce, et où le vivant avance coûte que coûte, au prix des éclaboussures, à travers des corps morts, en décomposition dans la fumée du souvenir. L’ennemi, quant à lui, ne se cache plus. Il rit de l’infâme. Le massacre semble interminable. Aucune ellipse, la monstruosité en intégralité.

    Invisible. Partout. L’ennemi s’exhibe en progression : de l’avion observateur de la première partie aux figures en uniformes de la seconde, l’ennemi se forme un visage, humain. Car, oui, les monstres ont des visages. Sortis de la brume, des fantômes du diable. Klimov montre avant tout que l’humain est une construction, et qu’il se manipule, au gré des exactions : ils font partie intégrante de cette machine infernale qu'est le nazisme, et aussitôt abandonnés en tant qu’individus, ils supplient, implorent le pardon, rejettent la faute, mais repartent vers les Enfers. Oripeaux de Satan. Comme dans cet acte créateur et cathartique, où des villageois et partisans érigent un totem du belligérant : un peu de boue, un peu d’ossements, quelques vêtements et beaucoup d’affliction et de colère. L’ennemi se crée, on lui donne un visage en argile, une figure à mèche, à défaut de pouvoir le voir. On lui crache sa haine, on le maudit, et on lui déverse ses pleurs.

    Jusqu’à ce dernier acte, purgatif. Une séquence à l’intensité folle, où l’avenir annihile les massacres passés. Les yeux morts, l’innocence revit, tirant dans un portrait responsable, pour en annuler le passé, le massacre et la haine. Des Images à revers, des marches à reculons et des moustaches rasées. Les archives battent en retraite, les morts deviennent vivants, les ruines se reconstruisent, le Führer redevient enfant. Stop. Au Führer de vivre. Le monde ne fonctionne pas avec des retours à la vie et des « si ». Car rien ne résiste aux balles, pas même l'humanité. Dans la brume, des fenêtres sans espoir, et des espoirs illusoires. Des rires, des cris, des flammes, des Hommes. Les Images saisissent, et les bruits t'égorgent. Spectateur vaincu par K.O. au dernier round. Le Lacrimosa s’élève. Requiem pour un massacre. Les larmes peuvent désormais couler. Dans une dernière marche, de pas lourds d’Images et de cris, le Chaos s’est fait Cinéma. Insoutenable, essentiel, déchirant.

    Incendies, puits et brouillard

    Requiem de maux/mots également disponible sur mon Blog
    Biertan64
    Biertan64

    42 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 septembre 2020
    Film soviétique des années 80. Cela annonce un style particulier, peut être un peu vieilli et qui ne convaincra pas tout le monde. A cause de ce ton un peu spécial, il est compliqué de ressentir totalement de l'empathie pour ce personnage de Fliora, jeune partisan biélorusse plongée dans une guerre crue. Pourtant certaines scènes filmées au plus près, surtout dans la partie finale avec le massacre du village, transmettent avec un certain réalisme la cruauté des bourreaux et la peur des victimes (malgré quelques attitudes théatrales). Et ceci fait de Requiem pour un Massacre un témoignage à réelle portée historique de l'occupation et de la barbarie nazies subies par le peuple biélorusse .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 juin 2009
    Parfaite démonstration de l'horreur de la guerre, elle se lit au fur et à mesure sur le visage de l'enfant. Il en ressort détruit psychologiquement donc physiquement. Il arrive cependant à garder intacte son humanité. La scène finale est mémorable de par son sens et sa mise en scène. Film très dur, trop dur?
    Tendax_montpel
    Tendax_montpel

    23 abonnés 631 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juin 2008
    Honnêtement j'ai hésité entre 2 et 4 étoiles. Le film est quelques fois assommant à cause d'innombrables bruits qui perdent un peu le spectateur. Mais finalement comment mieux décrire la guerre que par cette sensation confuse, où tout est flou, image comme son ? Rarement un film n'aura montré avec tant de réalisme ce qu'est la guerre, subjectivement (à travers les sensations du jeune héros) et objectivement (les cruautés montrées).
    T-rexx
    T-rexx

    17 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2020
    Oubliez tout ce que vous avez déjà pu voir sur la deuxième guerre mondiale. "Il faut sauver le soldat Ryan", "Le Jour le plus Long", "Band 'O Brothers"... Ces films-là, tous anglo-saxons, pâlissent à côté de ce film russe traitant d'un sujet quasiment jamais abordé : l'invasion allemande de la Biélorussie. Oubliez le formatage américain, passez du côté soviétique, avec sa sensibilité spécifique. On est loin du polissage (relatif bien sûr) qui caractérisent les films US. Tout est sombre, glauque, dérangé. La musique de fond, ou plutôt les bruitages et les effets sonores très nombreux et quasiment omniprésents, servent admirablement le propos et amènent une touche indéniable de confusion, d'irréalisme, de sordide, d'épouvantable au traitement cru des images, délavées, dépourvues de couleurs, uniformes, aussi austères que l'hiver biélorusse. Et, pour servir le tout, des acteurs absolument impeccables. Le premier rôle, celui de l'adolescent qui, par rêve ou inconscience, décide de prendre les armes pour servir son pays contre l'envahisseur allemand, déclenchant par cette simple décision un enchaînement d'actes tous aussi improbables et destructeurs les uns que les autres. Visuellement, humainement et du point de vue de la narration, c'est une claque permanente, une torture psychologique qui ne s'arrête pas. Ce film devrait être montré à tous ces écervelés dans le monde, dont le nombre grandit malheureusement de manière inversement proportionnelle au nombre de témoins de cette horrible période encore vivants pour nous en parler aujourd'hui, à ces imbéciles donc, qui recherchent, par ignorance, idéalisme, haine ou simple stupidité, à résoudre leurs problèmes par les armes. La guerre est la pire des solutions. Mais à force de jouer avec les haines, il finiront par s'en rendre compte eux-mêmes. Mais il sera trop tard pour éviter l'horreur.
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