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moket
434 abonnés
4 202 critiques
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2,5
Publiée le 21 décembre 2020
Malgré une ambiance anxiogène bien installée dans la première partie du film, le film tombe dans la facilité en multipliant les effets, cauchemars et autres jump scares. L'effet de surprise du premier volet en moins, le film est divertissant mais sans plus.
Le 1er Brahms, the boy n'avait rien de bien original mais il avait le mérite d'intriguer. l'effet de surprise étant passé, cette suite (qui déconstruit son précédent) hérite d'une histoire ordinaire, aux effets rebattus, aux personnages stéréotypés. Plat, jamais palpitant donc dispensable!
Trop téléphoné, thème déjà vu et re-revu, et ce même récemment. A aucun moment la peur s'installe, aucune angoisse, aucune prise de risque, scénario bateau, en roue libre jusqu'au final trop facile. Grosse déception.
The Boy : la malédiction de Brahms de William Brent Bell a quelques arguments à faire valoir mais ne parvient pas à nous convaincre au fil des minutes. Pourtant, le casting est plus que convaincant, avec la sublime Katie Holmes ainsi que le prometteur Christopher Convery. Le potentiel tragique n'est que rarement atteint et il y a trop peu de scènes angoissantes pour une production cinématographique du genre. On appréciera néanmoins l'évolution psychologique du personnage principal. Enfin, il sera légitime de décrier l'absence d'une bande son digne de ce nom.
Un film qui tente de faire frissonner avec le thème déjà maintes fois utilisé de la poupée maudite. Cette suite de The Boy (dont je suis à ce jour passé à côté du premier) a pour lui une poupée au design réussi qui crée une forme d’angoisse, et une volonté de créer quelque chose avec les personnages de la mère et du fils de la famille qui vont avoir à faire avec l’objet maudit (Le rôle du père étant lui parfaitement anecdotique). Et heureusement car niveau frisson c’est trop grossier pour être efficace, entre Jump Scare outranciers et une musique exagérée, on sent une volonté de camoufler les manques par des grands effets. Dans le genre et récemment j’ai préféré certains épisodes d’Annabelle (et ça n’était déjà pas extraordinaire).
Ce qui est fascinant, si ce n'est carrément effrayant, avec The Boy - La Malédiction de Brahms, ce sont ses tentatives contre-productives pour nous le faire aimer. On ne sait pas vraiment si on doit le mettre sur le compte de la maladresse ("Comment les étonner, par rapport au premier ? Ah je sais : spoiler: la poupée va bouger, et cette fois on va la VOIR BOUGER ! ") ou de la pure fainéantise ("Oui, bon, si ça marche avec Chucky..."). Sauf que le problème est là : on a beau nous expliquer tout l'historique de la poupée (spoiler: en réalité possédée, qui pousse ses jeunes propriétaires à tuer toute la famille... Vachement original, on a juste remplacé la pelloche de Sinister par une poupée ), on se pose d'emblée la question de savoir pourquoi, alors, on a eu ce twist ultra-pragmatique dans le premier film ? spoiler: On ne l'a jamais vue bouger, on nous a expliqué que tous ses pseudos-mouvements étaient le fait d'un timbré caché derrière le mur...pour maintenant changer de version, et nous dire qu'en fait si, elle bouge toute seule ? "Oh et puis zut, faut savoir." s'est-on entendu dire. Outre ce scénario qui veut tellement nous surprendre qu'il s'oublie lui-même, on n'a droit qu'à du jumpscare très classique et prévisible, tout ce qui nous indiffère au plus haut point. Après l'originalité du premier opus, cette suite (qui laisse déjà la porte ouverte pour la relève) est un produit raté, n'en déplaise à la maladresse (on préfère le croire plutôt que la fainéantise) de ses scénaristes.
Une suite dont on pouvait clairement se passer. On n'apprend pas grand chose par rapport au premier film. L'effet de surprise qui faisait la beauté du premier film n'est plus là.
Une déception,le film est cousu de fil blanc,il n'y a pas non plus de réel moment de tension.C'est dommage car j'avais beaucoup aimé le premier volet qui était étonnant avec une très bonne ambiance.Mais cet opus la n'a rien à voir avec le premier si ce n'est la campagne et le décor,mais pour ce qui est du scénario c'est bien trop pauvre.2/5
J’ai eu le plaisir de retrouver dans cette suite les qualités du film précédent, à savoir une réalisation correcte (plans, décors…) et de nouveaux acteurs encore plus convaincants (surtout la mère et le fils). Si le réalisateur déçoit un peu en abandonnant spoiler: les bases réalistes du premier volet en faisant intervenir spoiler: une histoire de malédiction , il prend heureusement le temps d’expliquer ce changement de direction. Mais si le film trahit quelque peu son modèle par moments (spoiler: la tête et les yeux de la poupée en mouvement, le combat final surnaturel ), il n’en demeure pas moins d’un niveau qualitatif identique. Son ambiance y est toujours aussi oppressante et malsaine notamment grâce à la poupée du garçon. Par contre, les amateurs de films d’horreur et de gore peuvent s’abstenir sous peine d’être déçus.
À l'instar de Chucky, Brahms est immortel et c'est donc dans cette suite, toujours réalisée par William Brent Bell et écrite par Stacey Menear, que nous retrouvons la poupée maléfique. Sortie quatre ans après le premier opus, ce qui est un laps de temps assez long pour ce genre de suite, cette suite nous présente une famille qui, après un évènement traumatisant, vient emménager dans une maison proche de celle du premier film, l'enfant de la famille y trouve la fameuse poupée dans les bois. Bon voilà, rien d'original donc, surtout après la relative bonne surprise que nous offrait le premier opus, du moins dans sa dernière partie. Si le premier film avait déjà un peu de peine à se démarquer des autres films du genre, celui-ci fait encore moins d'efforts avec un scénario beaucoup plus classique ! Alors certes, nous apprenons quelques petites choses en plus par rapport au premier film mais ce n'était clairement pas indispensable, le premier se suffisait largement à lui-même. C'est d'ailleurs un peu dommage car nous n'avons ici aucun effort pour sortir de l'ordinaire, le fait que cette suite joue sur la relative popularité du premier saute beaucoup trop aux yeux. Malgré tout, je dois avouer que les films avec des poupées, surtout en porcelaine, me terrifient et c'est quand même le sentiment que je recherche lorsque je regarde un film d'horreur. Ainsi, même si le film ne fait pas peur en soi, car tous les jump scares sont prévisibles et l'ambiance n'est pas si bien travaillée que ça (ce n'est pas en collant un filtre un peu glauque et sombre qu'on arrive à un bon résultat), j'ai quand même eu mon lot d'émotions avec certaines scènes qui ne m'ont pas laissé indifférent. Du fait, je n'en sort pas totalement frustré et même si je reconnais que le film n'est vraiment pas terrible, j'ai quand même pris un certain plaisir à le regarder et je pense que d'autres spectateurs peuvent se trouver dans le même cas que moi. En ce qui concerne le casting, nous avons de bons acteurs comme notamment Katie Holmes et Ralph Ineson qui sont assez convaincants. "The Boy : La Malédiction de Brahms" est donc dans l'ensemble bien trop faible et plat pour en rester marquant.
Les poupées démoniaques sont un genre en soi : après le précurseur « Chucky » et le récent « Annabelle », voici « Brahms » dont j’avais loupé le premier volet en 2016. Ce n’est donc pas le scénario le plus original mais la réalisation et le montage sonore associés savent être efficaces : sursauts assurés pour spectateurs d’une salle obscure immergés dans des décors très bien choisis ! Katies Holmes, dont la carrière n’a pas vraiment décollé – voire s’est délité depuis 2005 et son doublé « Batman Begins » / « Thank You For Smoking » - en est désormais réduite à ce genre de productions de seconde zone…
A l'instar des films de la conjuring-verse, nous avons affaire ici à un film "pop-corn" : le genre grand public de l'horreur (de ma définition). Et dans cette catégorie, il est difficile de se démarquer. Surfant sur la vague du premier, mais réarrangeant l'histoire de manière légèrement différente (soit de manière plus classique mais non déplaisante), les créateurs ont cependant réussi à me tenir en éveil. C'est un minimum pour un film ! Et on trouve quelques séquences intéressantes. Cependant, la fin est une vraie catastrophe. Sans ça, j'aurai pu mettre 3,5. Mais bon, tant pis.
"The boy : la malédiction de Brahms"...suite a un cambriolage, un couple et leur jeune fils s'installe dans une demeure au lourd passé...là bas le fils va se faire un nouvel ami... N'ayant pas vu le premier j'espérais ,déjà, pas être embrouillé mais non cela gêne pas du tout. Bien aimé, eu peur car le début était un chouia long a ce mettre en route mais finalement il font monter la pression après la 1ere moitié et c'est pas mal. Des moments de sursauts (enfin surtout mon accompagnatrice hein Léa!loool) et des moments de tension , pas assez à mon goûts (surtout que la maison abandonné aurait pû être mieux et plus utilisé) . La poupée ouais bon fou moins les trouilles qu'Annabelle c'est clair mais assez flippante quand même, juste la manière dont le gosse trouve la poupée mouais mouais on laisse tous son gosse seul ainsi bref...reste un film pas mal au final. NOTE : 5.5/10
Pareil que le premier tome. Beaucoup d’espoir pour à la fin rien ne se passe . Tout le monde joue assez bien comme dans le premier aussi et l’atmosphère rénovée mais rien de nouveau sous le soleil
Cette suite n’est pas terrible du tout. Je peux même utiliser le mot mauvais. Alors que le premier était original par son déroulé, celui-ci ne vole pas haut. J’avais l’impression de voir un CHUCKY sans le côté fun. Les séquences horrifiques tombent à plat. Elles se voient venir de loin et n’ont aucun effet. Pour ne pas aider, les acteurs sont vraiment nuls. Avec tout le respect que j’ai pour Katie Holmes, l’époque dorée qu’elle a vécue avec la série DAWSON (1998-2003), est loin derrière. Owain Yeoman se débrouille un peu mieux mais ça reste en dessous de la moyenne. Par moments, il a l’air totalement en décalage avec l’ambiance. Le petit Christopher Convery est par contre bien flippant dans son jeu. J’avoue que c’est le petit rayon de soleil. Parce qu’une chose est sure, il ne faut pas compter sur l’histoire pour tirer ce film vers le haut. J’ai été révolté par le scénario. C’est du grand n’importe quoi en termes de continuité. On nous sert une suite qui contredit totalement le premier. Afin de relancer le mouvement, on nous blinde d’incohérence pour construire un nouveau récit sorti de nulle part. Il y avait des pistes à explorer autour de Brahms, mais ça aurait été trop de réflexion. C’était plus facile de ne pas respecter le spectateur.