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    Ruy Blas
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    Salim S
    Salim S

    48 abonnés 500 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 octobre 2012
    Assez sympathique ! Bon on ne regarde pas la film par plaisir, plutôt pour la culture cinématographique. jean Marais joue trés bien ! Un "vieux jeu" qui aujourd'hui nous fait rire !
    peter W.
    peter W.

    39 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 mai 2017
    Classique, trop classique, c'était la grande période Jean Marais mais sinon rien de bien marquant dans ce film. je préfère nettement la version de Gérard Oury.
    traversay1
    traversay1

    3 090 abonnés 4 623 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 août 2016
    Modeste artisan du cinéma français, Billon s'est spécialisé avec plus ou moins de bonheur dans les adaptations littéraires : Courrier sud, Vautrin, Le marchand de Venise ... Son Ruy Blas est desservi par une mise en scène arthritique et des dialogues (signés Cocteau) pompeux au possible (ah, ces subjonctifs imparfaits !). Darrieux et Marais n'en peuvent mais. Vraiment pas fameux.
    Dora M.
    Dora M.

    48 abonnés 479 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2020
    Bon film, bien interprété, riche en rebondissements, c’est romanesque. On est pris dans l’histoire dès les premiers instants : Ruy Blas (Jean Marais) fait la rencontre d’un noble, capturé par des brigands, il doit aller chercher la rançon chez le ministre de la police, mais il est pris au piège à cause de sa ressemblance avec le chef des brigands. Le ministre de la police l’utilise pour faire tomber la Reine d’Espagne (Danielle Darrieux) dont Ruy Blas s’éprend mais à qui il ne peut révéler sa véritable identité. Il y a des coups bas, des intrigues, de l’amour, des quiproquos, bref tout ce qu’on attend de ce genre de film. Certes, ce n’est pas très original mais on ne s’ennuie pas, on est pris dans l’histoire.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 janvier 2009
    Quand Jean Cocteau adapte une pièce de théâtre de Victor Hugo, le cinéma français aspire à une grande portée littéraire du cinéma. «Ruy Blas» (France, 1948) de Pierre Billon est l’œuvre d’un des plus grands écrivains français, Hugo, vue par le prisme d’un des plus grands poètes français, Cocteau. L’adaptation donne naissance à une œuvre obscure, menacée à chaque instant par la mort et traduit par une lumière sombre qui drape les décors fastueux et les costumes amples de pénombre. Cette présence immédiate de la mort est le fruit d’Hugo qui, dans ses récits, retrouvent l’Hadès antique. Elle est soulignée par le scénario de Cocteau qui, lui-même, fonde son cinéma sur la présence latente de la mort. Pierre Billon, pris entre ces deux monstres de la littérature, se contente d’être un habile technicien. Membre, peu connu, de la «qualité française», Billon n’a le mérite que de diriger avec sensibilité le trio d’acteurs du film : Danièle Darrieux, Jean Marais et Marcel Herrand. La tâche n’est pas inutile puisqu’il faut des acteurs puissants pour pouvoir exprimer toute la fougue qui règne dans la pièce originelle d’Hugo. Pris dans les brumes de la photographie ténébreuse de Michel Kelber, les acteurs se démènent et sourdent l’émotion de leur personnage. La réussite du film provient de la relation qu’entretiennent les acteurs avec leur éclairage. Certains des plans, ostensiblement dirigés par Cocteau, rappellent les plus belles images d’«Orphée». Le récit se trouve être de peu d’importance. «Ruy Blas» n’est déjà pas une des meilleures pièces d’Hugo, elle se voit être en plus amenuisé pour ne plus conserver que la structure narrative. Reste les visages, les expressions des faces et la tension fébrile des corps qui, tapis dans les obscurités des châteaux ou des auberges, exaltent une certaine véhémence. La place du double qui agit le cœur de l’intrigue, où Marais est Ruy Blas et Don César de Bazan, permet d’élever la dynamique du récit au rang de celle de l’image.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 958 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juillet 2010
    "Ruy-Blas" est l’exemple même du drame romantique! L'histoire est centrèe sur un piège que, pour se venger, Don Salluste (rien à voir avec l'hilarant Louis de Funès) tend à la reine! Le populaire Jean Marais, alors idole du cinèma français depuis son interprètation de "L'èternel retour", trouve ici dans ce rôle de "Ruy Blas", libre interprètation de Jean Cocteau d'après l'oeuvre de Victor Hugo, l'un de ses beaux rôles cinèmatographiques, celui du ver amoureux d'une ètoile aux côtès de Danielle Darrieux, reine à la beautè inaccessible et du mèchant Don Salluste de Bazan, campè par l'excellent Marcel Herrand! La mise en scène de Pierre Billon est certes acadèmique, mais la transformation par Cocteau de la pièce de Victor Hugo en film de cape et d'èpèe, est très agrèable à regarder...
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    14 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 novembre 2023
    Jean Marais joue les jeunes premiers dans un double rôle propice à un quiproquo, une fois n'est pas coutume, dramatique.
    L'adaptation du drame de Victor Hugo est très conventionnlle. Pierre Billon s'appuie sur une reconstitution très costumée pour mettre en scène des intrigues de palais à la cour d'Espagne. Sa réalisation suit fidèlement les rebondissements du sujet sans rien y ajouter ni sortir du cadre étriqué de la "qualité française" appliquée aux adaptations d'oeuvres romanesques. Devenue chose cinématographique, l'oeuvre littéraire d'Hugo perd de sa singularité, de sa richesse, pour se fondre dans la masse des productions mélodramatiques de l'époque.
    Heureusement qu'en quelques occasions la présence de Jean Cocteau au générique assure à l'histoire d'amour entre la Reine et Don César, alias Ruy Blas, une dimension supérieure au romantisme commun du cinéma d'après-guerre. On retrouve dans passion entre Darrieux et Marais l'accent tragique des amours interdits, ce talent qu'avait l'auteur de "L'aigle à deux têtes" de transcender l'ostentation théatrale par une idée métaphysique de l'amour.
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