À tous les garçons : P.S. Je t'aime toujours : Critique presse
À tous les garçons : P.S. Je t'aime toujours
Note moyenne
2,6
5 titres de presse
indieWIRE
The Guardian
San Francisco Chronicle
Variety
Hollywood Reporter
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
indieWIRE
par Kate Erbland
Avec un film encore à venir dans la franchise, "P.S. Je t'aime toujours" fonctionne à la fois comme un long métrage à part entière et comme un pont vers les questions plus adultes que Lara Jean et les autres devront affronter dans le dernier opus. C'est une déclaration d'amour aux teen movies des décennies passées, mais également un film qui jette un regard intelligent à ce que le genre pourrait devenir à l'avenir.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
The Guardian
par Ann Lee
À tous les garçons : P.S. Je t'aime toujours n'égale pas son prédécesseur en termes de romance qui fait fondre les coeurs, mais cette suite est tout aussi divertissante et charmante. Et doit beaucoup à la performance extrêmement plaisante de son actrice principale, Lana Condor. (...) Et même si la fin paraît précipitée, c'est un portrait plutôt prenant et fun de la manière dont le grand amour demande des efforts pour durer.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
San Francisco Chronicle
par Mick LaSalle
Pas vraiment destiné à ceux qui sont en plein dans l'adolescence, ce film s'adresse finalement aux enfants qui sont sur le point d'entrer dans cette période de trouble et de confusion sociale et hormonale et qui la redoutent avec peur et horreur. Si À tous les garçons parvient à donner du courage aux préados et à les rassurer, alors il aura servi son but d'utilité publique. Mais en tant que film et en tant que divertissement, cette suite est juste passable.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Variety
par Peter Debruge
Le problème avec P.S. Je t'aime toujours c'est que toutes les raisons qui font de Lara Jean une héroïne de comédie romantique différente et rafraîchissante se trouvent dans le premier film. Ici, elle est réduite à un rôle de princesse Disney passive, qui essaye de faire son choix entre deux mecs qui pensent qu'elle est super.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Hollywood Reporter
par Robyn Bahr
À tous les garçons : P.S. Je t'aime toujours est la suite dénuée de charme d'une comédie romantique pour jeunes adultes qui manquait elle aussi déjà cruellement de charme.
La critique complète est disponible sur le site Hollywood Reporter
AlloCiné
indieWIRE
Avec un film encore à venir dans la franchise, "P.S. Je t'aime toujours" fonctionne à la fois comme un long métrage à part entière et comme un pont vers les questions plus adultes que Lara Jean et les autres devront affronter dans le dernier opus. C'est une déclaration d'amour aux teen movies des décennies passées, mais également un film qui jette un regard intelligent à ce que le genre pourrait devenir à l'avenir.
The Guardian
À tous les garçons : P.S. Je t'aime toujours n'égale pas son prédécesseur en termes de romance qui fait fondre les coeurs, mais cette suite est tout aussi divertissante et charmante. Et doit beaucoup à la performance extrêmement plaisante de son actrice principale, Lana Condor. (...) Et même si la fin paraît précipitée, c'est un portrait plutôt prenant et fun de la manière dont le grand amour demande des efforts pour durer.
San Francisco Chronicle
Pas vraiment destiné à ceux qui sont en plein dans l'adolescence, ce film s'adresse finalement aux enfants qui sont sur le point d'entrer dans cette période de trouble et de confusion sociale et hormonale et qui la redoutent avec peur et horreur. Si À tous les garçons parvient à donner du courage aux préados et à les rassurer, alors il aura servi son but d'utilité publique. Mais en tant que film et en tant que divertissement, cette suite est juste passable.
Variety
Le problème avec P.S. Je t'aime toujours c'est que toutes les raisons qui font de Lara Jean une héroïne de comédie romantique différente et rafraîchissante se trouvent dans le premier film. Ici, elle est réduite à un rôle de princesse Disney passive, qui essaye de faire son choix entre deux mecs qui pensent qu'elle est super.
Hollywood Reporter
À tous les garçons : P.S. Je t'aime toujours est la suite dénuée de charme d'une comédie romantique pour jeunes adultes qui manquait elle aussi déjà cruellement de charme.