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    Give Me Liberty
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Give Me Liberty" et de son tournage !

    Sélection cannoise

    Le film est présenté à la Quinzaine des Réalisateurs au Festival de Cannes 2019.

    Origine autobiographique

    Le réalisateur s'est inspiré du boulot de conducteur de véhicule sanitaire qu'il exerçait dans les années 90. S'il souhaitait déjà en parler en 2006 dans un film, il en avait été dissuadé après s'être rendu compte que la réalité qu'il voulait décrire n'existait plus. Sa rencontre en 2013 avec la scénariste et productrice Alice Austen lui redonne envie de revenir sur cette idée : "La ville de Milwaukee était une vraie source d'inspiration et, du coup, j'ai eu envie d'y tourner un film plus modeste. J'en ai parlé à Alice. Ce boulot de conducteur de véhicule sanitaire donnait lieu à pas mal d'anecdotes drôles, touchantes et épatantes. C'est comme ça qu'est né le film. À partir de là, un scénario de fiction s'est mis en place, se déroulant sur sept ou huit jours, avec une bande incroyable de personnages hilarants".

    Un casting de débutants et d'inconnus

    Give Me Liberty mêle des acteurs professionnels et des non-professionnels. Kirill Mikhanovsky savait d'emblée qu'il voulait faire appel à des non-professionnels après son expérience sur son premier long, Sonhos De Peixe, tourné avec des habitants d'un petit village du Brésil. L'histoire de Give Me Liberty se prêtait également à ça : "Sachant que le protagoniste était chauffeur à Milwaukee et qu'il transportait des personnes handicapées ou des gens de divers milieux sociaux, on ne voyait pas comment on allait pouvoir trouver les acteurs professionnels qu'il nous fallait en sillonnant le pays – étant donné nos moyens et notre objectif" explique le réalisateur. Il était important pour lui de faire interpréter les personnages handicapés par de vrais handicapés afin de parler de leur condition avec respect et authenticité.

    Quant au rôle principal, l'équipe a cherché durant huit mois son interprète, aussi bien auprès d'acteurs professionnels (voire connus pour certains) que non-professionnels. La directrice de casting Jen Venditti a fini par sillonner les rues de New York pendant cinq semaines et a croisé Chris Galust dans sa boulangerie de Brooklyn. Il n'avait jamais pris de cours de comédie de sa vie et n'a eu que dix jours pour préparer son rôle.

    Milwaukee

    Give Me Liberty s'inspire de Milwaukee, il était impensable pour le réalisateur de ne pas y tourner mais les circonstances ne lui étaient pas favorables. Le film a mis 4 ans à se monter car la ville n'offre aucune aide financière ni crédit d'impôt. "Et à l'extérieur de Milwaukee, personne ne comprenait qu'on veuille y tourner. Personne – ou presque – n'était franchement enthousiaste à l'idée d'un film situé à Milwaukee. Pourtant, c'est une ville intéressante à plusieurs égards. C'est la colonne vertébrale de l'Amérique. C'est une ville américaine historique. C'est une ville communautarisée, où vivent plusieurs communautés ethniques" déclare le réalisateur qui y a tourné son premier court métrage.

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