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    Slalom
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    164 critiques spectateurs

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    Dora M.
    Dora M.

    50 abonnés 480 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 janvier 2022
    Lyz (Noée Abita) vient d’intégrer une section ski-études dont l'entraîneur est Fred (Jérémie Renier). Il exerce une forte pression sur la jeune fille, qui commence à enchaîner les victoires.
    On est plongés dans un milieu très dur mais très intéressant qui est le sport de haut niveau. C’est très réaliste, les acteurs sont très justes et crédibles.
    Il y a des scènes très fortes, très bien filmées, dont les détails permettent d’être au coeur de l’action, des sentiments des personnages, comme la scène de la 1ère fois de Lyz.
    On ne voit pas le temps passer.
    Seule remarque : le sujet est important et intéressant, mais c’est vrai qu’il y a peu de surprises dans le scénario.
    Didier C
    Didier C

    20 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mai 2021
    Si la première partie laisse entrevoir de bonnes perspectives, la suite est un peu trop mollassonne. Ca manque d’images de ski et de descentes !! Si les images trop contemplatives permettent d’entrer dans la tête de l’héroïne, elles plombent le rythme de l’ensemble.
    Par contre, on reverra sûrement l’actrice principale !
    Yves G.
    Yves G.

    1 307 abonnés 3 309 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mai 2021
    Liz (Noée Abita) a quinze ans et une seule passion : le ski alpin. Elle vient d'intégrer la section sport-étude du lycée de Bourg Saint-Maurice. Son entraîneur, Fred (Jérémie Renier), est connu pour son exigence mais aussi pour son efficacité. Il a tôt fait de repérer Liz et de la pousser dans ses retranchements pour qu'elle se dépasse.
    Entre la jeune championne et l'entraîneur sadique se noue une relation toxique.

    J'ai souvent parlé des "Dossiers de l'écran" dans mes critiques quotidiennes, au risque de n'éveiller d'écho que parmi les seuls lecteurs âgés de cinquante ans ou plus. Eux seuls se souviennent de cette émission-débat du mardi soir sur France 2, ouverte par un film censé illustrer le thème du jour : "Marathon Man" sur la chasse aux criminels nazis, "La Dérobade" sur la prostitution, "La Maison du lac" sur le troisième âge, etc.

    "Slalom" aurait pu parfaitement introduire un débat sur les violences sexuelles dans le sport. Le sujet est hélas d'une brûlante actualité. Arte lui consacrait l'été dernier un documentaire édifiant. Les faits divers, souvent scabreux se succèdent, dans le patinage artistique, le moto-cross, la natation...

    "Slalom" décrit à la perfection le phénomène d'emprise. Il montre l'ambiguïté structurelle de la relation qui unit une jeune sportive à son entraîneur, ce mélange explosif d'admiration, de soumission, de crainte, d'attraction aussi (le film montre, trop brièvement peut-être cette dimension-là aussi). Loin de sa famille, à un âge difficile, la jeune adolescente ne sait opposer aucune défense à l'adulte qui abuse de sa situation.

    Jérémie Renier est comme d'habitude parfait dans un rôle qui aurait pu verser dans la caricature. Il ne s'agit pas d'un pervers sexuel, d'un prédateur, mais d'un homme à l'ego malmené qui transfère sur la jeune championne l'ambition qu'il n'a pas su réaliser pour lui-même.

    Le seul défaut de "Slalom", qu'on se sent bien mesquin de pointer, est de suivre un peu trop à la lettre ce projet-là. Toutes les étapes de cette emprise sont scrupuleusement consignées, les unes après les autres : l'apprivoisement, la complicité naissante, le basculement, la révolte, la disparition de tous les soutiens possibles (famille, amis...), la prostration... jusqu'au sursaut final et ce mot de trois lettres qui conclut le film en laissant un beau message d'espoir à tous ceux et celles qui pourraient connaître un tel sort.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 187 abonnés 4 004 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2021
    Alors que la parole des victimes d’agressions sexuelles se libère de plus en plus, le mouvement #Metoo a bouleversé le paysage cinématographique. Il est désormais fréquent de retrouver cette libéralisation dans des longs-métrages et “Slalom” en fait partie. La comédienne Noée Abita incarne une adolescente sportive de quinze ans qui rejoint la prestigieuse section ski-études du lycée de Bourg-Saint-Maurice. L’ex-champion Fred est désormais entraîneur et prend la jeune fille sous son aile. La lycéenne s’investit pleinement dans cette aventure au point de se livrer totalement à son entraîneur, joué par Jérémie Renier. Le film met à nu les pulsions interdites d’un homme pourtant stable en apparence. Nous sommes alors témoins de cette relation qui dérive froidement vers la manipulation malsaine. “Slalom” montre avec justesse l’emprise psychologique d’un prédateur sexuel sur sa victime.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Roub E.
    Roub E.

    751 abonnés 4 840 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2022
    Un film d’une grande justesse et d’une grande maîtrise sur le sujet complexe et casse gueule de l’emprise. Slalom ou l’itinéraire d’une jeune fille qui intègre un sport étude de ski, dans une structure qui doit lui faire donner le meilleure d’elle même et qui la fragilise par la même occasion. L’écriture est fine, évite le manichéisme et la simplification du sujet et parvient de ce fait à heurter et sensibiliser de manière plus forte le spectateur tant tout paraît crédible. Bien structuré les différentes scènes de ski soulignant les obstacles que doit éviter le personnage de Liz. Un personnage formidablement interprété par la révélation du film Noée Anita. Sur la longueur j ai trouvé que le film s’asséchait un peu et perdait de sa force au fur et à mesure mais ça reste tout de même une réussite et un film qu’on peut juger au minimum nécessaire.
    Loïck G.
    Loïck G.

    295 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juin 2021
    On imagine dans un premier temps que « Slalom » va traiter de l’intransigeante discipline imposée par le système des « sports-études ». On évoque le sujet, et puis très rapidement l’emprise des entraîneurs sportifs sur leurs protégé(e)s donne au récit sa connotation très actuelle autour du harcèlement sexuel. Ce sur quoi la réalisatrice, Charlène Favier, qui a eu à connaître ce milieu et ses agissements, pose un regard presque neutre, nullement manichéen en tout cas sur une situation qui aux yeux de la société – pour ne pas dire la loi – est répréhensible. Dans l’ambiguïté des rapports entre cet homme marié et cette adolescente sans réelles attaches familiales , Charlène Favier soulève bien des questions , et n’apporte aucune réponse immédiate, évidente . C’est dans le jeu indéfectible, dur et admirable de Jérémy Rénier qu’il faut chercher cette raison d’être, cette impuissance masquée, face à l’innocence magnifique mais meurtrie de la jeune Noée Abita. Une très grande et belle révélation au cœur d’un premier film qui l’est tout autant.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    152 abonnés 511 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mai 2021
    Dommage que les producteurs/distributeurs se soient sentis obligés de troller totalement Allociné avec des critiques 5 étoiles bidon. ça laisse entendre qu'ils ne croient pas en ce film, et ils ont tort. Évidemment, on devine la difficulté de vendre en plein printemps ensoleillé un récit se passant en plein hiver (et qui devait sortir en plein hiver...), traitant, qui plus est, d'un sujet difficile. Peut-être faudra-t-il accepter que le succès attendu ne soit pas au rendez-vous : les circonstances veulent ça sans doute, mais ça ne doit pas laisser croire que ce film ne soit pas bon ni utile. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le thème traité n'est pas tant le harcèlement sexuel dans le sport que l'agression sexuelle et le viol. On ne sent pas une pression continue de l'entraîneur cherchant ouvertement à coucher avec cette jeune sportive de 15 ans ; les évocations sexuelles sont d'ailleurs assez rares dans ce récit. Un temps, on croit que l'on s'oriente vers un mécanisme de séduction qui convaincra l'adolescente de coucher volontairement avec son entraîneur (ce qui n'enlève rien à l'abus, quand on parle d'une fille de 15 ans...). Mais non, le film montre surtout le surgissement d'une agression sexuelle dans une camionnette, puis un viol dans une salle de sport. L'un des points d'intérêt ici est l'attention portée à ce qui suit le viol (ce que souvent on occulte) : les premières minutes qui suivent, la pilule du lendemain, etc. On assiste à ces moments qui marqueront assurément cette future femme pour le restant de ses jours. On voit ce que le mécanisme du refoulement effacera sans doute pour un temps de la mémoire de la victime (avant un éprouvant retour du refoulé plusieurs années après). Ce thème central est mis en situation dans un cadre sportif, qui est très bien décrit. Le progressif isolement de l'adolescente, un certain égoïsme de la mère qui malgré ses coups de fil est tout accaparée par sa vie (son nouveau travail, son nouveau mec), la promiscuité des corps lors des entraînements et des visites médicales, etc. : tout rend possible les abus. La mise en scène est très réussie et affronte avec la même efficacité des scènes de ski à grande vitesse et des discussions intimistes. Elle sert d'ailleurs très bien les deux comédiens qui sont absolument remarquables. Bref, un film dont le parcours ne s'arrêtera pas aux aléas d'une sortie en salles décontextualisée, mais trouvera sans doute son public sur le long terme, jouant ainsi pleinement son rôle artistique et sociétal.
    Jonathan M
    Jonathan M

    115 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juillet 2021
    Il y avait dans ce retour en salle, une excitation inégalable. Le choix du film en devenait alors, primordial. Charlène Favier nous offre un premier film impressionnant de maîtrise. Formidablement bien aidé par un duo d'acteurs - Noée Abita et Jérémie Rénier - en tout point précis dans leur jeu. Rien n'est surligné dans la mise en scène, tout est posé devant nous avec justesse pour que la résilience de Lyz soit imparable. On n'accuse pas, on raisonne, là est toute la nuance entre un bon et un mauvais film de dénonciation. Et puis, il y a cette farouche volonté de faire du cinéma. Cette scène de slalom, en début de film, souffle coupé, avalant une bouffé d'air frais dans la figure et dévalant avec grâce la piste enneigée. Le premier coup de coeur 2021 est bien là!
    VOSTTL
    VOSTTL

    70 abonnés 1 802 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2022
    J’avoue être troublé par le point de vue de la réalisatrice. « Slalom » ne chausse pas de gros sabots et ne glisse pas avec autant d’évidence.
    En ce qui me concerne, pendant plus d’une bonne heure, « Slalom » déstabilise mes émotions, je ne sais pas trop quoi penser de Lyz (Noée Abita) et de Fred (Jérémie Renier), pourtant, il ne devrait pas y avoir photo, il ne devrait pas y avoir d’hésitation : Fred est un personnage toxique. Oui, son emprise et ses agressions sexuelles sur une ado sont légitimement condamnables et passibles d’emprisonnement. Point barre.
    Toutefois, la réalisatrice Charlène Favier semble s’amuser avec les sentiments du spectateur, en tout cas avec les miens. Si le but de la réalisatrice est de skier avec subtilité pour décrire une situation faussement normale, pour culpabiliser son spectateur, alors c’est réussi. Je veux penser plutôt que la réalisatrice veut décrire une situation qui n’a rien de manichéenne, il n’y pas d’un côté un méchant prédateur, Fred, et de l’autre une victime, Lyz. L’un, nécessairement faible, fragile, malade est tombé dans le piège d’une maladroite. En effet, la réalisatrice ne manque pas de nous montrer une ado qui est animée d’un trouble pour Fred. Comment interpréter la séquence du véhicule conduit sur un circuit sur glace ? On sent bien le trouble de Lyz. Elle semble espérer être embrassée par Fred. Evidemment la scène qui suit est terriblement malaisante avec un Fred incapable de maîtriser ses pulsions sexuelles en forçant Lyz à libérer de force son désir niché entre ses jambes. Mais si Fred avait tout simplement déposé un baiser délicat sans même avoir pris la précaution de demander à Lyz, aurait-on parlé de viol ? D’agression sexuelle sur mineure ?
    Je reste persuadé qu’une relation majeur-mineur existe sous le manteau. Tant que ça se passe bien, tant que la discrétion est verrouillée, tant qu’il y a tout simplement consentement, amour. Mais là, est un autre sujet… de film.
    « Slalom » ne se contente pas de slalomer entre les piquets plantés sur une piste enneigée, il slalome sur l'émotion pour finir sa course sans aucune ambiguïté : spoiler: les scènes qui suivent prouvent que Lyz est bien la victime d’un prédateur sexuel qui a abusé de son pouvoir d’entraîneur sur une athlète adolescente de surcroît.

    Mais j’irai plus loin, Lyz est victime de sa maladresse.
    Le fait de poser la question suivante : « Lyz est-elle pour autant innocente ? » signifie implicitement qu’elle a provoqué le prédateur. C’est pourquoi, je préfère employer maladresse. Oui, Liz est victime de sa maladresse.
    Il est à rappeler que Liz était enchantée de partager le même toit que son entraîneur, elle a forcé la décision et auprès de sa mère et auprès du directeur du centre étude et sport. Tout dans son attitude traduisait un trouble amoureux. Quelques scènes plus tard, la compagne de Fred quitte le domicile, cela ne semble pas déplaire à Liz.
    Bref, je me pose la question suivante ?
    Ai-je bien saisi la portée du récit ?
    Ai-je bien compris la réalisatrice ?
    Comment interpréter les signes de Lyz ?
    Une ado a le droit d’avoir un trouble amoureux pour son entraîneur, elle a le droit d’être maladroite en donnant des signes de consentement mais pour autant l’adulte ne doit pas avoir un comportement inapproprié.
    En tout cas, la relation Noée Abita et Jérémie Renier fonctionne parfaitement. Et par instants, le jeu troublant de Noée m’a troublé au point de me piéger sur le comportement parfois ambigu de Lyz.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    78 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2022
    Ce premier long-métrage de Charlène Favier décrit avec une force indiscutable la relation toxique qui se noue entre une jeune skieuse et son entraîneur, interprétés par les convaincants Noée Abita et Jérémie Renier. Sans manichéisme aucun, en s’appuyant sur son propre vécu, la réalisatrice nous montre le glissement progressif d’une jeune fille appliquée et isolée vers des désirs qui ne sont plus les siens, mais ceux d’un homme dont l’ascendant est trop fort. Tout à fait honorable.
    Olivier Gallais
    Olivier Gallais

    39 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mai 2021
    Un excellent film, une très prometteuse jeune comédienne, un sujet très bien traité, Jérémie Renier génial comme d'habitude et c'est très maîtrisé au niveau de la mise en scène
    jmjbest2
    jmjbest2

    18 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mai 2021
    Sans doute le meilleur film de cette 1ère semaine de reprise, bien filmé, bien joué, peut-être que ça reste un peu en surface du problème mais en 1h30 bien sûr c'est difficile. Exemple type d'un sujet méritant adaptation en une mini-série, car comment cela va-t-il évoluer ? L'ado se remet-elle en cause de sa naïveté sinon fascination ? Ecrira-t-elle un livre dix ans plus tard?
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    225 abonnés 2 883 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 janvier 2022
    Mon avis est partagé quant à ce film... d'un côté j'ai adoré ça car j'aime le ski, j'aime Rénier (qui est encore fabuleux dans ce rôle) mais surtout le thème abordé est fabuleux car il faut dénoncer les abus sexuels dans le milieu du sport mais d'un autre j'ai été déçu ! Déjà la crudité pure des scènes de sexe m'a un peu dérangé car oui il faut que ce soit plus ou moins réaliste pour mobiliser les spectateurs mais là c'est un peu trop... en plus je trouve que plus le film avance et plus le scénario patine et à la fin il ne se passe quasiment plus rien et c'est vraiment dommage... Un film dynamite qui aurait pu être bien meilleur selon moi !
    mat niro
    mat niro

    307 abonnés 1 731 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juillet 2021
    Film ô combien d'actualité sur l'emprise d'un entraineur de ski alpin (Jérémie Renier) sur celle qu'il va malmener puis prendre sous son aile (Noée Abita). Avec de nombreux cas d'abus sexuels révélés dans des sports divers (patinage artistique ou autres), le film met en avant l'influence puis l'emprise mentale et physique que peuvent générer l'aura de certains coachs. Noé Abita est parfaitement crédible en sportive émérite (même si les scènes de ski sont doublées), et Jérémie Renier joue parfaitement son rôle de pervers manipulateur. Une oeuvre qui va faire écho à beaucoup trop de sportifs mais qui s'avère profondément nécessaire. spoiler: Malheureusement la fin du film laisse un petit peu le spectateur sur sa faim quant à l'avenir de Liz.
    Michel C.
    Michel C.

    240 abonnés 1 384 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2021
    La reprise tant attendue et bienvenue !! Merci ( J'ai retrouvé "mon" siège au milieu de la dernière rangée ....
    Un film dans l'ambiance ambiguë et complexe entre les coach et les athlètes à fort potentiel : les affaires récentes illustrent ce point d'équilibre si fragile ! Ici Jeremie Renier (Fred) apporte tout son talent dans l'exercice de pousser des champions potentiels, même si pour beaucoup les promesses ne pourront se réaliser ( Ils partirent nombreux... etc ). Plus en difficulté avec le rôle de Noée Abita (Lyz), sans doute par ce qu'elle reste secrète, ne nous laisse pas découvrir son ressenti, sinon celui assez classique des ados renfermés et à fleur de peau. Cela est un peu frustrant, bien que nous nous forgeons forcément une réponse. Hormis cette étanchéité, ce film offre une belle dynamique sportive - très belles images de glisse et de compétition - également de montagne en saison froide, une précision de mise en scène, avec une belle construction, sauf peut être vers la fin, précipitée et nous laissant en plan. Lyz aura ainsi le dernier mot de l'histoire, se libérant de l'emprise malsaine .. !!**
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