Avis : Shadow in the Cloud - Page 2

Extrême nul, pas plausible ! Pourtant, j'aime énormément les navets mais pour moi il ne rentre même pas dans la case "Navets nuls". Je l'ai regardé que parce que j'aime l'actrice, mais elle mérite de faire de vrais films. Du début à la fin, il se passe rien et le synopsis du site sur lequel je l'ai vu ne correspond pas... On va dire que sa seule chose que j'ai apprécié c'est que je ne m'attendais pas à cette tournure...

Petite pépite cinématographique néo-zélandaise passée sous les Radars au milieu de blockbusters souvent décevants (tepanet lol), Shadow In the cloud est pour moi une des meilleures surprise des 5 dernières années,
l'ambiance est excellente malgré un léger manque de moyens, la mise en scène m'a rappelé par moments ces BD d'aviation de la seconde guerre mondiale (Buck Danny, Biggles, etc...).

Faut dire que le dernier huis-clos dans un B-17 que j'ai apprécié était "La mascotte" (Histoires Fantastiques, réalisé par Spielberg himself), la barre était assez haute, et pourtant ce film a su me
tenir en haleine jusqu'au bout, une ambiance savamment mise en place avec une tension qui monte progressivement, la réalisatrice surfe brillamment entre action, rebondissements et fantastique, pour nous tenir en haleine jusqu'au bout du bout !

Une Chloé Grace Moretz au mieux de sa forme qui se démène au beau milieu de cette bande de mâles patibulaires mais presque, des personnages taillés à l’emporte pièce mais qui restent crédibles, des scènes d’action assez jouissives, le film ne pas dans la dentelle mais plutôt dans le 100 % efficace, et le pari est réussi, jusqu’au générique de fin : "Hounds of Love" de Kate Bush qui arrive comme la cerise au sommet d’un délicieux gâteau, j’ai adoré !

Un excellent film mélant plusieurs jours (guerre,drame, horreur, fantastique). inspiré d'un des meilleurs épisodes de la quatrième dimension, joué par la trop Badass Chloé. J'ai adoré pour le coté fun du film !

Pas mal, un bon film féministe. Se laisse regarder je dirais même que ça se boit comme du petit lait, spoiler: gare à la femme elle est coriace

Maude Garrett une jeune pilote embarque à bord d’un bombardier B-17 avec un mystérieux sac contenant des documents classés top secret. Pendant le vol, elle et l’équipage vont devoir faire face à une embuscade japonaise ainsi qu’à une inquiétante entité maléfique.

Second long-métrage pour la réalisatrice néo-zélandaise Roseanne Liang qui nous replonge en pleine période de la Seconde Guerre Mondiale, avec une pointe de fantastique. Si vous vous attendiez à voir un film de guerre, vous faites fausse route. On ne la verra jamais car ce n’est pas là le principal élément du film. Sachant que la quasi intégralité du film est un huis clos se déroulant dans le B-17 (en dehors de la scène d’ouverture et le final), il ne faut pas être claustrophobe pour pouvoir apprécier le film.

Ce dernier est découpé en deux parties, la première nous permet de faire connaissance entre Maude Garrett et le reste de l’équipage (que des hommes, particulièrement misogynes et abjectes). Le film se focalise uniquement sur le personnage de Maude Garrett et il faut bien l’admettre, Chloë Grace Moretz s’en sort admirablement, d’autant plus qu’elle se retrouve dans une fâcheuse position, dans un tout petit compartiment de l’avion, à savoir une « tourelle ventrale » (une tourelle sphérique dotée de mitrailleuses, située sous l’appareil, permettant d’avoir une vue plongeante). Cette dernière se retrouve même seule face caméra pendant près de 45min (!) non-stop (on ne fera qu’entendre les autres membres d’équipage, elle-même ne les verra pas), une fâcheuse situation qui ne fera que renforcer la tension entre elle et les autres membres de l’équipage. Quant à la seconde partie, le film prend un virage à 180°C et vire dans le fantastique et nous rappellera un épisode de la célèbre série télévisée "La Quatrième Dimension" (à savoir "Nightmare at 20,000 Feet").

L’ensemble au final ressemble surtout à une Série B à travers laquelle la réalisatrice a voulu se faire plaisir. On devine le manque de moyen mais cela ne saute pas trop aux yeux. On aurait simplement aimé un scénario un tant soit peu réaliste et qui ne parte pas en vrille aussi facilement. Shadow in the Cloud (2021) à « le cul entre deux chaises », oscillant entre le film de guerre, le fantastique et le brûlot féministe (dépeignant des hommes cons, machistes & beaufs). Certes on appréciera le clin d’œil au "Memphis Belle" (célèbre B-17 utilisé dans les années 40) à travers la toute première apparition du B-17 "The Fool's Errand", enfin il faut reconnaître que non seulement Chloë Grace Moretz porte littéralement le film sur ses épaules, mais elle s’en sort remarquablement bien.

Sauf qu’il ne suffit d’avoir une ravissante héroïne badass & féministe, il faut aussi une intrigue convaincante, éviter les péripéties abracadabrantesques, des SFX à la hauteur (les gremlins sont particulièrement laids) et surtout, éviter l’abus de fond vert car cela décrédibilise l’ensemble.

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Je la fais courte: j'ai vu la bande annonce (un bon teasing), puis le visionnage étant payant, j'ai lu les critiques sur Allocine, (très négatives comme pour la plupart des films ces derniers temps). Puis je me suis décidé par une nuit sans sommeil à le regarder.
Mon avis est qu'il n'y a pas à essayer de couper le cheveu en quatre: c'est un bon film, avec une histoire complètement barrée et un scénario imprévisible. J'ai l'impression que certains jouent les vierges effarouchées parce qu'il est inhabituel de voir mêler guerre, thriller/SF et fait divers sociétal.
Contrairement à ce que j'ai pu lire ici et là, ce film n'est pas une série B. C'est un film intelligemment mené, sur un bon un tempo, avec de super plans photo. Spoil: Mlle Maude Garrett, personnage principal, fait vivre ce film en étant pendant la majeure partie du film dans une tourelle de tir de d'1mx2m, et les autres personnages ne sont longtemps que "suggérés". Qui dit mieux ? Les moments de tension et d'angoisse sont très bien rapportés. Le personnage de Maud Garrett/ Johnson est joué par une Chloé Moretz toujours aussi badass.
Ce que je pourrais reprocher à ce film est qu'on sent que des plans ont été coupés au montage. La réalisation/production aurait dû être plus ambitieuse. Mais ça reste un bon film qui mérite ses 4 étoiles à la seule condition qu'on ne cherche pas à le regarder avec son propre scénario en tête. ceux qui le font ont besoin d'autre chose que du 7ème art.
Bref, ne vous laissez pas démonter par les critiques méchantes de ceux qui ne veulent voir que des films candidats aux Oscars. Regardez le sans prétention et vous passerez un bon moment.

Roseanne Liang nous donne un aperçu de ce qu’est devenu le néo-féminisme. Non pas un combat visant à obtenir une égalité des droits de la femme, mais une entreprise de destruction tous azimut visant à salir et détruire l’image de l’homme occidental. Pour ce qui est de la forme, le film de la réalisatrice ne reste crédible que durant sa 1ère demi-heure. Hélas, lorsque le vrai mystère est dévoilé, tout semble partir en caca(huette). La dernière demi heure est d’ailleurs tout simplement burlesque. Pour ce qui est du fond, on ne peut que déplorer le même travers que pour la forme. La critique du machisme tient la route pendant la 1ère demi-heure. Les réflexions salaces et misogynes de l’équipage vis-à-vis du membre féminin font mouche. En outre, elles répondent avec justesse aux répliques «correctrices» de l’intéressée par la suite aux machos. Sauf qu’après une heure de qualité, la Néo-Zélandaise introduit des scènes de bagarres qui deviennent une succession de clichés militants visant à montrer que la femme peut être un meilleur homme d’action que ses congénères masculins. Le film tombe d’ailleurs dans le grotesque lors de la scène finale où l’homme n’est assigné qu’au rôle de mère protectrice. Pour ceux et celles qui n’avaient pas bien compris, Liang ponctue son générique de fin par des images d’aviateuses célèbres. Raconter simplement la vie d’une ou plusieurs de ces femmes aurait suffi. L’image de la femme en aurait été plus vraisemblablement réhabilitée, et son importance dans l’aviation aurait mieux été mieux mise en évidence que ce trac loufoque.

Seb L n'aime rien, c'est à ça qu'on recnnait les bons films

Shadow in the cloud est un ride trés fun qui détonne à chaque choix artistique, que ce soit la musique, la mise en scène ou le scénar. Ca fait du bien bon sang !

En pleine Deuxième Guerre Mondiale, une jeune femme avec un mystérieux bagage embarque dans un avion entièrement rempli d’hommes pas tous très fins il faut le dire. Des attaques d’avions japonais et la présence d’une entité surnaturelle viendront bientôt chambouler tout ce beau monde. Ce pitch rappelant étrangement un segment des séries « Histoires fantastiques » et autres « La quatrième dimension » avec la présence d’un Gremlin hostile, sent bon les années 80 car tout dans ce film rappelle cette époque bénie par certains : une misogynie de beauf assumée, un côté cheap des effets spéciaux et un scénario complètement farfelu ! Seulement voilà, à vouloir faire un conglomérat de tout et n’importe quoi, mettre du féminisme à tout-va comme c’est la tendance actuelle, on frôle ici le ridicule et cela ne servira pas la cause féminine ! Alors quand en plus, on ne voit qu’une personne quasiment pendant tout le métrage (la toujours ravissante Chloë Grace Moretz malheureusement déjà passée par la case chirurgie esthétique à moins de 25 balais !), et que certaines scènes sont dignes des plus grands nanars avec des requins volants (cf. la scène du rebond d’un protagoniste sur un avion japonais en train d’exploser !), on se dit qu’on est là dans un métrage complètement improbable ! Certes, c’est regardable, mais on n’a plus 15 ans, l’âge probablement requis pour ce type de production !

Chloë Grace Moretz, à peine vingt deux ans lors du tournage, et elle est de tous les plans du film. Son interprétation est convaincante, surtout qu'elle doit rapidement embarquer le spectateur à ses côtés durant un long huis-clos, dont la mise en scène est un parti-pris assumé et réussi afin de respecter un budget limité, ne pouvant dialoguer avec ses comparses balourds masculins que via la radio. Elle incarne une héroïne bad-ass, telle qu'on a pu la découvrir dans Kick-Ass, qui met en lumière une partie des femmes qui ont officié durant la seconde guerre mondiale et dont on voit peu de représentation au cinéma, les WASP (Women Airforce Service Pilots). Cependant, son rôle est gonflé car elle a beaucoup de compétences alors qu'en général ces femmes n'avaient qu'une seule spécialité. Elle devient une sorte d'héroïne imaginaire comme on en trouve dans les comics, donnant encore plus de sens à la pastille animée introduisant le film, aucun des autres personnages ne lui arrivant à la cheville.
En plus d'un film d'action, situé en période de guerre (il ne faut pas trop s'attendre à un film de guerre par contre), dans lequel on ajoute une créature fantastique pour pimenter le tout, le scénario suit avant tout une démarche féministe. Alors que le film met rapidement en avant la lourdeur des hommes dans cet avion dès qu'ils aperçoivent Garrett monter à bord, avec tous les préjugés et propos déplacés qui conviennent, la production a du se séparer du scénariste initial, Max Landis, ce dernier ayant été accusé d'harcèlement sexuel, un comble. La réalisatrice s'est ensuite emparé du scénario et l'a remanié afin d'offrir à Chloë Grace Moretz un personnage de femme entier, dont l'enchaînement d'actions à la fin est assez osé. En tout cas, j'ai été agréablement surprise par Shadow in the Cloud, malgré des effets spéciaux inégaux, l'histoire est riche en rebondissements et se regarde comme une agréable série B.

Les personnages masculins caricaturaux a l'extrême,mle huit clos trop longues cascades invraisemblables et surtout l'absence totale d'un début d'explication sur l'origine ou la présence de la bestiole
spoiler: La scène de la chute puis le retour miraculeux (zéro dégât après malgré le souffle de l'explosion)m'a achevé

spoiler: Suis je le seul à me dire que la chave souris mutante voulait récupérer son petit?(Le plan sur la sacoche ensanglantée après le crash,ressemblant à celle de l'héroïne)

La scène la plus improbable du cinéma: L'héroïne, mégawonderwoman à la sauce holywwodienne, spoiler: tombe d'un bombardier, rebondit sur un avions de chasse qui explose, et revient sous le souffle de l'explosion dans le cockpit du bombardier qu'elle avait abandonné
.... Voilà j'ai calculé qu'elle avait une chance sur 1.000.000.000.000.452 que cela puisse arriver! Ridicule! Cela vous donnera une petite idée de ce film qui sa passe à 90% dans un avion avec du blabla!
A classer dans nanar...

Film WTF d'une nullité confondante. J'adore les nanars mais celui là loupe le coche. Aucune finesse, humour quasi inexistant, vulgarité...
Sa grande qualité est sa durée résolument courte. Vous ne subirez ça pas trop longtemps.

Les commentaires sont trop long le film est incohérent des le moment où l on découvre le colis et la bête en plus on ne sait même pas pourquoi elle veut le colis ect ce film est vraiment pas bon ne pas hésiter à ne pas le voir clairement

Au début on s'interroge puisque sa mission est de ne pas quitter sa mallette, mais qu'elle lâche pourtant très vite. Pas très cohérent.ais la réalisatrice ose et offre une première partie de plus de 30mn avec son héroïne isolée dans son cockpi avec les autres membres d'équipages qui restent hors champs tandis que l'action démarre. Mais ce parti pris, bien qu'ambitieux, est aussi casse-gueule. On frise la crise de rire lors de deux sauvetages hors carlingue façon "Fast and Furious" de l'air, cet instant signant le début du n'importe quoi. Malheureusement on rit pas pour les bonnes raisons ni aux bons endroits, la star monopolise l'écran et les autres membres s'avèrent juste des pions à peine exploités. Un générique sympa et stylé par ailleurs mais beaucoup trop "sérieux" pour être en corrélation avec ce film auquel il manque un minimum de subtilité ou de finesse dans son propos, auquel il manque il manque toute la partie maternelle nécessaire, auquel il manque un contexte 39-45 plus probant... Dommage...
Site : Selenie