Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Adelme d'Otrante
149 abonnés
1 025 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 25 septembre 2021
Comment faire le deuil de l'homme de sa vie? Connait-on vraiment les gens qu'on aime? Puisque son mari est enterré et qu'elle vit désormais seule qui peut donc bien souffler sur la nuque de cette femme le soir venu? Est-ce qu'une jeune veuve doit continuer à vivre dans une grande maison en bois isolée dans une forêt près d'un lac? Et bien non....mais si elle avait déménagé pour aller en ville il n'y aurait pas eu de film...et çà n'aurait pas été plus mal.
Voilà encore un film gâché par son réalisateur qui veut absolument qu on se souvienne de lui et de sa façon de filmer . Cet égo commence sérieusement à m énerver. C est comme au théâtre il faut voir le metteur en scène à tous prix . Un film c est un tout mais c est surtout un scénario qui ici n était pas si mal mais noyé dans un stylisme qui rallonge le temps et laisse peu de place aux acteurs. Même les dernières 20 minutes sont foutus en l air par ce faux esthétisme qui ne sert à rien .
The Night House n’est jamais aussi fort que lorsque les indices et les fausses pistes dessinent, par l’intermédiaire de cette « maison de nuit » à la fois cabane dans les bois où s’adonner à ses pulsions et demeure inversée dans laquelle sont cristallisés les non-dits, un centre vide autour duquel gravite Beth. Le somnambulisme, la dépression, le traumatisme du deuil, le recours à l’occulte pour conjurer un mauvais sort, la lutte contre un choc bien plus profond, antérieur en somme : le film déplie ces trajectoires possibles tel un origami, à l’image de la construction par pliage de niveaux et de réalités que dessinait Owen dans son cahier. Et l’horreur, quand elle intervient et s’exprime à l’écran, reste subordonnée à l’architecture, comme une émanation même de cette maison hantée par l’ombre, comprenons par le fantôme du mari défunt.
Nous regretterons alors que The Night House finisse par céder à la tentation d’une explication métaphysique, à mi-chemin entre le paranormal et le psychologique, lors d’un dernier acte proche du Grand-Guignol ; de même, certains tics de mise en scène contraignent le film à une recherche de l’étrangeté qui paraît forcée et qui enferme Rebecca Hall dans un rôle unilatéral – alors que l’actrice s’avère des plus talentueuses. Les répétitions et les longueurs achèvent de faire du long métrage de David Bruckner une curiosité dotée de belles idées scénaristiques et esthétiques, mais qui ne témoigne ni d’une vision d’auteur ni d’une rigueur symbolique conjurant les sursauts faciles de l’épouvante à la mode aujourd’hui pour s’aventurer dans le « rien ».
La proie d'une ombre oscille entre le thriller et le surnaturel. Dans une grande maison près d'un lac entouré de forêts, Beth est emplie de douleurs du fait du suicide de son mari et vit un deuil difficile. C'est alors que des bruits étranges mêlés à des découverte sur la vie de son mari, Owen, vont l'amener à douter de l'amour qu'il lui portait. L'aimait-il ? Pourquoi s'est-il suicidé ? Qu'il y a t-il de l'autre côté du rivage ? Ces questions pragmatiques trouveront-elles leurs réponses dans le surnaturel ? Voici donc la base de ce film qui tangue entre la psychologie et la paranoïa, est-ce réel ? Ces deux aspects sont traités avec une réalisation intelligente toute en finesse, en suggestion. L'atmosphère pesante et le suspense transparaissent grâce à l'équilibre entre l'écriture et les images. Le réalisateur a fait le choix d'éviter au maximum les effets spéciaux grandiloquents pour privilégier le travail sur les bruitagesDe plus la réalisation de plans serrés autour de Rebecca Hall permet de mettre en valeur son jeu d'actrice tout en profondeur, en subtilité et en intensité : magistrale. Le film est en parfaite adéquation avec un scénario construit en couche qui se déroule tout doucement au fil des lieux et du temps. Le rythme est assuré par les scènes mettant en avant le surnaturel et dont l'intensité monte petit à petit. Les éléments du surnaturel et ceux du thriller se superposent feuille par feuille sans que l'un ou l'autre ne prenne le dessus. Malgré que l'on reste sur notre faim, à cause d'un final un peu trop brusque, ce long métrage bénéficie d'un équilibre, d'une sensibilité et d'une atmosphère très atypique peu exploité au cinéma. Une réussite.
Belle réalisation, beau casting, un mystère bien préservé pendant les 3/4 du film, mais un dénouement décevant qui n'est pas du tout à la hauteur de ce que l'histoire aurait pu laisser présager. L'intrigue tombe à plat et c'est un regrettable car cette œuvre méritait un switch bien plus travaillé.
Suite au suicide de son mari une femme semble entendre un appel de l au-delà ... on navigue entre existe t il ou pas cet au-delà ... je ne spoilerai pas ... c est assez bien réalisé pour poursuivre jusqu'à la fin
Un petit 4 pour remonter la note que je trouve vraiment basse par rapport au film que j'ai trouvé vraiment pas mal. Thriller un peu surnaturel, parfois horreur mais pas trop, et Rebecca Hall toujours au top
Un thriller horrifique (ce qui déjà ne veut pas dire grand chose), ou le déjà vu, la lenteur sont de mise. L'actrice principale joue très mal (à part haleter et montrer sa mâchoire chevaline) le film est vide, creux et pour le côté effrayant, laissez moi rire, plutôt à la limite du ridicule !! Ne perdez pas votre temps et regardez un bon vieux nanar d'horreur, au moins vous passerez un bon moment.
C'est un film assez captivant, car le scénario est solide, nous sommes embarqués dans cette recherche de vérité par une actrice convaincante. Seul bémol le film est classé comme un film d'horreur alors qu'on frissonne peu, c'est plus psychologique.
Un film d'épouvante avec scénario pauvre qui part dans tous les sens : maison hanté, serial killer,deuil, somnambulisme/cauchemar. Beaucoup de mal a entrer dans l’histoire. Bref à oublier...
Je déconseille ce film car film très répétitif du début à la fin je me demande comment le film a pu être créé et surtout comment ce film peut passer au cinéma 2h25 de film ou je me suis entièrement ennuis pour rester poli Le même meilleur moment du film c'est quand le film était fini Pire film que j'ai vu depuis que je vais au cinéma (Ps merci de renomé ce film en la proie du sommeil)