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    Pink Floyd The Wall
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    266 critiques spectateurs

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    kingbee49
    kingbee49

    30 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 décembre 2013
    Je prèféres 100 fois le film que je me fais en écoutant le disque que le film d'Alan Parker lui même... Il y a des choses réussies dans le film, quelques fulgurances poètiques et baroques mais noyées dans un magma d'outrances visuelles lourdingues pré MTV...Si le film tout entier n'avait été qu'en animation, à la rigueur, j'aurai vraiment aimé....
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 septembre 2012
    Attention, âme sensible s'abstenir! Et oui, moi-même j'ignorais que ce film était spécial à ce point là. au niveau des textes des chansons par exemple, je fus surpris de voir la vrai signification des paroles, j'avais déjà écouté l'album mais en voyant la traduction et les images, sur le coup je me suis dit "C'est ça The Wall !?". Mais toutes ses surprises ne m'ont pas empêcher de considérer ce film comme un chez d’œuvre, musicalement, ce film prouve le fait que les Pink Floyd sont des virtuoses uniques qui ont marqués l'histoire de la musique. Graphiquement, c'est tout simplement sublime, violent oui, parfois, mais c'est extrêmement bien fait. les décors font bien passer l'univers du groupe. Je ne met pas les fameuses 5 étoiles car je suis jeune et je crains de ne pas avoir tout compris à ce film.
    CH1218
    CH1218

    152 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2023
    Plus encore que le double-album de Pink Floyd, la mise en images de « The Wall » par Alan Parker porte d’avantage encore la patte personnelle de Roger Waters. Un long clip conceptuel de 95 minutes, dont les parties animées sont dues au dessinateur-caricaturiste Gerard Scarfe, plus culte que marquant.
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    120 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2015
    Si cela faisait un moment que j’avais envie de voir ce film, j’ai quand même retardé le visionnage le temps d’écouter de manière plus approfondie la discographie de Pink Floyd. The Wall est un album du groupe que j’aime beaucoup et sa version cinématographique promettait un moment assez intense. Ce film est une pure expérience sensorielle où l’image se marie parfaitement avec les douces sonorités de l’album. Autant dire que d'un point de vue visuel et auditif, j’ai vraiment pris mon pied. Alan Parker, en mêlant prises de vue réelles et animation, a réussi à proposer une mise en images de l’album qui fonctionne particulièrement bien, souligne brillamment ses propos.

    Après je suis un peu moins fan de l’histoire proposée en tant que telle sur la déchéance de cette rock-star bien que les thématiques liées à l’enfance soient très intéressantes. Pour ma part, il y avait matière à faire quelque chose de plus fou encore à partir de l’illustration de la santé mentale du personnage principal. Après c’est aussi possible que je chipote un peu mais j’avais l’impression qu’il manquait un petit truc en plus, quelque chose qui m’aurait encore bouleversé et pris aux tripes. Mais globalement l’expérience est très prenante et réussie. La mise en scène est remarquable. D’ailleurs je garde les images du film en tête à chaque fois que je réécoute quelques passages de l’album. L’illustration du morceau le plus célèbre (partie 2 d’Another Brick in the Wall évidemment) est vraiment forte par exemple avec ces enfants qui foncent tête baissée vers le broyeur qui ne fera d’eux qu’une simple bouillie uniforme.

    Et je dirais aussi qu’on a le droit à quelque chose de bien rythmé dans l’ensemble. L’album ne défile pas en continu, il y a quelques passages dialogués ou tout simplement muets, d’autres où le visuel prend le pas sur le son et inversement. Et cette alternance procure cette sensation de renouvellement qui permet de rester accroché au film. Et les fulgurances sont légion, la scène sur Run Like Hell est puissante notamment. Et toute la conclusion en règle générale, du procès jusqu’au plan final, a de quoi remuer les tripes. Un peu à la manière d’un Koyaanisqatsi, le film use pas mal de narration par l’image pour illustrer son propos. Et mine de rien, The Wall en a des choses à dire sur l’uniformisation des pensées, sur la perte de ses repères et finalement sur cet auto-procès que l’on peut potentiellement se faire à plusieurs moments de notre vie. De quoi donner envie de se replonger dans la filmographie des Floyd. Une très belle expérience de cinéma.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    66 abonnés 1 656 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 novembre 2023
    Déçu. Le film n'est finalement qu'un long clip du groupe de rock célèbre. Certes les images (du coup très clipesques) ne manquent pas d'inspiration mais encore faudrait-il avoir quelques chose d'intéressant à raconter. La c'est une salade composée d'images qui font branchées (pour l'époque...) et qui finissent en fait par m'ennuyer sévère...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 février 2020
    Éblouissante cette succession d’images de synthèse plus ou moins psyché délire pour nous faire comprendre en une mise en scène, ce qu’est le chef-d’œuvre chez ce groupe de rockeurs anglais originaire de Londres, Roger Waters, solo guitariste chanteur.
    Le scénariste délivre toute son âme et celui de Pink Floyd en musique symphonie classique cinéma, envoyé le son de la guitare et batterie électrique, les meilleurs tubes psychédéliques populaires sur MTV2 en clip !! La pochette album visuel impossible de comprendre les années fin 1970 au 80 weird, jusqu’à l’heure actualisée.

    La révélation révolutionnaire en route tour de bus sillonnant l’anglo-saxon américain vers les concerts, les fascinants groupies fans attendent de pieds fermes comme ensorcelés, lancés dans l’allégresse maladive par ce rock band grippé.
    De la fièvre température examinée, restez au lit...... reposez-vous..... l’accent est mis sur le sens de la mise en scène picturale, il y a une signification en conviction, beau à en pleurer, comprenant la dépression suicidaire, dans ce monde de la musique.

    Composé de sexe, drogue et Rock’n’roll, c’est le monde de Roger Waters et ses membres passés, défunts et présents, marqués à vie le psychisme, au pays de l’Angleterre, England England 🏴󠁧󠁢󠁥󠁮󠁧󠁿 and King, guerres mondiales 14-18, 40-45, propagande de films.
    Les conflits devant le symbolique de ce mur, pomme de discorde conspiration complot, la théorie philosophie de Pink Floyd, le fer eighties est à l’Ouest complètement, démocrate ultra libéral capital travailleur chaîne usine machine depuis les bancs d’école.

    Défenseur du monde chrétien érigé, c’est l’autre apostolique, devant l’Est de l’orientation autoritaire démocratie populaire sociale commune origine idéologie allemande, sous les feux de projecteurs brillants, Pink est Bob Geldof, condoléance tragique familiale connue.
    Via presse à scandale liée à la célébrité rockstar, short life Peaches RIP mélancolie maternelle telle une drogue veineuse introduction, d’une chanson succès charts britannique, les lyriques faut bien les prendre en compte avant d'apprécier.

    Maman figure remplace Papa, un révolté insoumis face aux conventions sociales qui s’imposent, par la force houleuse douloureuse refus, l’arrache cœur de l’enfant tenant au paternalisme, une discipline en gants de velours, première élue au pouvoir du Royaume uni.
    Mesure drastique austérité, des manifestations de mécontentements matraqués, débordement de vase devient embrasement succession interpellés, progressiste versus réactionnaire pluralité multiple politique conséquence grave économique.

    Les marteaux jambes, page sombre de l’histoire en marche, violent repli sur soi très personnel, The Wall est aussi d’actualité celui d’un combat d’activiste, prise de position sur la leçon d’ingérence, impériale et expansion, l’impressionnisme comme œuvre d’art du noir romantisme.
    Une connotation musicale à suivre, à écouter, à voir, à lire et bonne lecture sens critique cinémathèque anthologie, les paroles d’or sont pertinentes, croire en tout et n'importe laquelle puisse être et ne pas être poésie renaissance plume.
    NeoLain
    NeoLain

    4 231 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 février 2008
    Habitués des albums concepts tels que Dark Side of the Moon, les Pink Floyd accouchent en 1979 de l’album The wall. Enfin je devrais plutôt dire Roger Waters tant son implication dans le projet est primordiale, faisant écho à la place de plus en plus importante que prend le bassiste dans un groupe qui à partir des années 80 commence déjà à se disloquer à petit feu. Pour parachever son œuvre, Waters fait appel en 1982 à Alan Parker afin de mettre en image les chansons de l’album : ça donnera Pink Floyd The Wall (remercions au passage la traduction française sans qui on ne saurait pas qu’il s’agit bien d’eux), opéra rock halluciné nous emportant dans un univers foisonnant.
    The wall à son authenticité, sa fraîcheur, son énergie. On sent bien derrière le film et les chansons la rage sourde qui anime Roger Waters. Une volonté de tout balancer, quitte à trop en faire, tenter le tout pour le tout, et le sortir une fois pour toutes. La dénonciation est forte bien sûr, que ce soit celle de l’éducation rigide des années 60 (on voit clairement poindre les idées de mai 68), de la guerre qui a rarement été filmé aussi près des corps estropiés, mais aussi de la société de consommation et bien sûr cette comparaison qui fit scandale et pour autant sublime du star-system et du fascisme.
    Mais la grande réussite, ce qui fera de The wall un film culte pour certains, c’est l’alchimie parfaite qui existe entre le son et l’image. Alan Parker réussit ce tour de force rare de mettre en image un univers psychédélique riche tout en réussissant à captiver le spectateur : ni la musique ni les images ne prennent le pas l’un sur l’autre, le tout se tient impeccablement et l’un se nourrit de l’autre. On pense au Yellow Submarine des Beatles, on plane sur la musique et les images. Si bien qu’on ne peut plus aujourd’hui écouter The wall sans penser au film, et inversement.
    this is my movies
    this is my movies

    617 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 février 2011
    Un groupe mythique réputé pour ses expérimentations qui rencontre un cinéaste réputé pour ses comédies musicales, cela donne un film à nul autre pareil. On sent que le scénario est très personnel et il est parfaitement appuyé par la mise en images d'A. Parker qui fait corps avec le sujet. Pas vraiment de mise en scène à proprement parler içi, le film fonctionnant surtout au montage. S'y même de l'animation, un film classique et des rêveries, des métaphores, des allégories, des cauchemars en tout genres bref, c'est foutraque, plusieurs visions sont sans doute nécessaire pour tout comprendre et cet opéra-rock-symphonique (avec à la baguette le grand M. Kamen) est une vraie expression de liberté et de subversion. Parfois trop abscons et foutraque oui mais c'est aussi ce qui a fait sa légende. A voir absolument et à écouter, toujours.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    590 abonnés 2 705 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2017
    The Wall est une œuvre sans égale. Envoûtant de part la musique de Pink Floyd, lancinant de part la mise en scène de Alan Parker, cette œuvre, très actuelle, très pessimiste met en perspective une société oppressante qui conditionne, embrigade et empêche la liberté de pensée. Ce mur doit tomber et c'est le Message que veulent passer ces artistes.

    https://m.facebook.com/la7emecritique/
    Alain D.
    Alain D.

    492 abonnés 3 204 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2020
    Un Cocktail fantastique d'images psychédéliques, de scènes de guerre et de musique des Pink démarre ce film sur la vie de Roger Waters, chanteur, leader, bassiste et membre fondateur du groupe Pink Floyd formé avec Nick Mason et David Gilmour. Un Drame Musical, écrit et magnifiquement mis en scène par Alan Parker. Animations, parodies, révoltes et séquences fantastiques habillent les chansons du groupe Pop-Rock des années 60-70. Si le film débute sur des scènes d'enfance émouvantes, il se termine sur des séquences d'apocalypse très dures, d'une violence croissant jusqu'à l'extrême et que le Mur explose.
    Roger Waters a reçu un BAFTA en 1983 pour la Meilleure chanson ; et bien qu'adorant Pink Floyd, "The Wall" n'est pas du tout mon album préféré qui a toujours été "Atom Heart Mother"
    Santu2b
    Santu2b

    214 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2015
    Édité en 1979, "The Wall" est plus qu'un album, c'est un mythe. La virtuosité de ses solos ainsi que sa mise à l'index des institutions, scolaires surtout, ont définitivement fait date. Quelques années plus tard, le leader emblématique du groupe Roger Waters met sur pied une adaptation cinématographique de l'album, confiant la tâche à Alan Parker. Étant lui-même un cinéaste foncièrement impersonnel, il sait qu'il détient un matériau en or et y laisse trop souvent reposer ses lauriers dessus. D'où un degré d'inspiration très inégal pour mettre en images le support musical dont il dispose. Ainsi, si un morceau comme "Another Brick in the Wall" s'avère remarquablement mis en scène, on ne peut en dire autant de "Confortably Numb". En revanche, les séquences d'animations sont sublimes et n'accusent pas la moindre ride... à l'inverse des séquences filmées. S'il n'a pas réalisé que des chefs-d'œuvre, "Pink Floyd The Wall" représente sans doute l'aboutissement de son cinéma.
    matt240490
    matt240490

    70 abonnés 1 059 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mars 2012
    Pink Floyd - The Wall est une comédie musicale signée Alan Parker (Fame) qui fait partie des meilleurs films Allociné selon leur notation. Rythmé par les plus grands tubes du groupe mythique, le film se permet de tracer une grande satire du gouvernement, de la haine, de la drogue et du rock. Non seulement le film m'a permis de révéler en moi des goûts jusque là refoulés, mais en plus, sa bande-son, ses effets de style et son montage sont dignes d'un grand film. Mention spéciale d'ailleurs lorsque vient le moment d'Another Brick In The Wall, montrant l'embrigadement des enfants, devenus des robots / des numéros, pour en faire un produit à la chaîne qui adopte les valeurs que l'on veut qu'il adopte. Rajoutant à cela une belle propagande contre la guerre, Parker signe tout simplement là l'une de ses plus belles réalisations. Dans la veine du Rocky Horror Picture Show, donc forcément à voir.
    James Betaman
    James Betaman

    59 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 juillet 2016
    Je crois que je n’étais pas prêt. Je crois que… je ne sais pas quoi penser. Ce film est-il bon ? Oui. Mais ai-je passé un bon moment ? Dur, dur, vraiment dur. The Wall raconte l’histoire de Pink, une star de rock qui s’est isolé dans une chambre d’hôtel. Absorbé par la drogue, Pink se remémore son passé, sa vie et tout ce qui en découle pour nous ramener à une chose… ce mur. Chaque chose que je voyais dans ce film me renvoyait à ce mur… c’en est devenu une obsession. Pink fuie ce mur mais est à la fois meneur vers cette inévitable obstacle indestructible. Mais qu’est-ce donc ??? Ma réflexion a durée tout le long de mon visionnage et je n’ai jamais su déterminer ce que ce mur représentait. J’ai mal… Dans cette infinité d’anarchie et d’horreur, The Wall emmène le spectateur dans un univers qui le désoriente pour mieux le frapper. Et je me suis pris ce coup de poing en pleine face. J’ai sans cesse cherché un sens pour au final me prendre une claque sublime qui marquera mon âme de cinéphile à jamais. Et en voyant ce tout ce que j’ai écrit, je me rends compte que c’est très court. Mais cela prouve bien que je suis déstabilisé et que je n’étais pas prêt à voir The Wall. Ce film est le boss ultime, tu peux le regarder si tu as réussi à endurer toutes les folies du 7em Art. Car je sais maintenant, qu’il n’y aura pas pire… que ce mur. 4.5/5 Voilà qui est dit !
    zhurricane
    zhurricane

    69 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mai 2016
    Une expérience unique, parce qu'elle va au delà de ce que l'on peut ressentir en regardant un film. C'est métapsychologique. La bo est immense est se marie de manière parfaite à cet univers glauque,mais addictif. Si la BO fait tout le sel de ce film, il ne faut pas oublier que les images sont plus que des clips. Elles font le pont entre le son et les images. Bref un film grandiose sur la construction et la déconstruction de notre réalité. Un véritable bijou.
    Jipis
    Jipis

    32 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juin 2012
    Cigarette presque consumée, bains de sang, émeutes urbaines, soldats pulvérisés, classes dévastées, débauches sexuelles, tranchées mortuaires, régime totalitaire, acharnement thérapeutique.

    Alan Parker met en images le contenu interne d’un esprit en miettes brisé, sombre, ultra pessimiste cloîtré dans l’enfermement. Pink personnage emblématique d’une génération d’après guerre privée de lumière, brisée par l’absence du père mort au combat emmagasine des images cauchemardesques de souffrances non vécues, des folies et des angoisses héritées d’un géniteur absent incubées pendant trente ans se révélant dans des hurlements de décibels musicaux libérateurs réclamant entre deux crises de démences une chaleur maternelle et un retour à la position du fétus.

    Les conditionnements programmés géométrie unique d’un mur aux multiples briques identiques se matérialisent dans la paranoïa d’une rock star dissimulée rivée uniquement au monde extérieur par l’entremise d’une petite lucarne constamment zappée. Les rares éveils sont destructeurs, un mur se révolte contre un autre mur, toutes les dépendances matérielles se détruisent afin de redécouvrir une certaine conscience de soi dans le vide de l’espace.

    « The Wall » pratiquement sans dialogues est un film qui s’écoute, se lit, s’ingurgite de force comme une potion infecte. Le contenu est insoutenable, traumatisant, auto suicidaire. L’empreinte de la finitude dans un rouge vif porte des visages hideux, déformés, isolés, absorbés par la profondeur d'un refus d'exister en collectivité.

    Un quai de gare sans père engendre un traumatisme d’enfance, déroute le parcours d’un esprit vers l’exigence d’une notoriété insatisfaite ne conduisant que vers l’aliénation.

    « Je n’ai nulle part ou aller « est sans contexte le message de cette œuvre noire interminable, un puits profond d’immondices sans garde fou.
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