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    Le Milieu De L'Horizon
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    19 critiques spectateurs

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    Denis Ouarne
    Denis Ouarne

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 mars 2023
    Petit film sur l'été 76 qui se laisse regarder malgré des maladresses et un anachronisme : la Renault supercinq a été lancée en 1984 !
    Brol le chat
    Brol le chat

    8 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 août 2022
    Drame rural et homosexuel avec des poulets et deux poules. Jeune acteur qui ne connaît que trois expressions, servies toutes les cinq minutes. Erreur chronologique: Clémence Poésy au volant d'une Super5, voiture qui n'apparaîtra que huit ans plus tard... Au milieu de tout ça, Laetitia Casta et Patrick Descamps font ce qu'ils peuvent.
    hhh t
    hhh t

    3 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 avril 2022
    Spoil possible
    Ce film montre comment les histoires de *** des adultes peuvent détruire une famille, qui enchaine ensuite les galères, le tout enrobé de niaiserie surtout la fin impossible.
    L'infidélité qui disloque la famille prend la plus grosse place, au détriment du reste, le manque d'eau, le travail à la ferme et "surtout" la vie de l'adolescent.

    C'est l'un des gros points noirs, son point de vue n'apporte rien si ce n'est les quelques scènes qu'il a de son côté. Il ramasse des poules et sert juste de trou de serrure pour montré ce que le réal à envie de montré. Le reste du temps il ramasse des poules mortes, point.

    Le point de vu du père aurait été plus pertinent, lui qui essai de sauver sa ferme et sa famille et voit tout partir en éclat malgré ses efforts.
    Wasapat
    Wasapat

    24 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 avril 2022
    très belle surprise et pourtant je ne suis pas fan de . casta
    le casting et la direction des acteurs est remarquable, la réalisation est juste les temps morts sont là ou ils doivent etre c 'est vraiment du beau travail, une synergie parfaite
    mat niro
    mat niro

    296 abonnés 1 723 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2022
    La canicule et la sécheresse font des ravages durant cet été 1976 dans l'exploitation agricole où Gus voit les poulets et le maïs de son père dépérir. Ce drame rural évoque un sujet tabou dans le milieu agricole : l'homosexualité de la mère de famille incarnée par Laetitia Casta. Delphine Lehericey filme tout cela à travers le regard d'un jeune enfant candide qui va devoir grandir trop vite. Le résultat est encourageant même si le film est parfois maladroit et laisse au final un goût amer avec beaucoup de questions en suspens. Il y avait peut-être mieux à faire sur l'émancipation d'une femme à cette époque même si l'ensemble dégage une émotion certaine.
    Alasky
    Alasky

    286 abonnés 3 083 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mars 2022
    Film sans prétention, tout en sobriété et en authenticité. On peut sentir la moiteur de la sècheresse narrée ici, grâce à la mise en scène simple mais soignée et au son des grillons. Un beau film de terroir, en milieu rural, et Laetitia Casta est convaincante et juste dans son rôle.
    elleminione
    elleminione

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 mars 2022
    C'est vraiment lourd de voir à l'écran le monde paysan tel que l'intelligentsia du petit monde clos du show biz se l'imagine!
    Une fois de plus on parle d'homosexualité et de handicap: le cahier des charges de la bien pensance est rempli.
    Ça c'est fait.
    Donc la gentille maman a raison de tromper son méchant mari qui se démène avec son fils et le cousin handicapé pour sauver ses pauvres poulets. La gentille maman va même abandonner le foyer familial pour vivre je ne sais quoi.
    Vraiment j'ai honte de la France ou des francophones qui se complaisent dans la décadence.
    En ce moment il n'y a plus de films drôles, intéressants, ils ont tous perdu leur sens et celui là est vraiment le pire:
    Ames sensibles s'abstenir: animaux morts montrés dès le début du film, les voisins sont agressifs, les enfants malheureux, et le cousin finit dans le coma!
    Voilà! Si vous avez une déprime vu ce qu'il se passe en ce moment, ne voyez surtout pas ce film.
    Seule chose positive: le cheval et l'enfant très touchants!
    Guillaume
    Guillaume

    90 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 mars 2022
    Un bel ouvrage de mise en scène pour un scénario lui-même empreint d'une torpeur estival...
    Sécheresse sur l'émotion, mais regard d'aujourd'hui d'un monde pas si lointain. Une menthe à l'eau SVP.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    62 abonnés 805 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 février 2022
    Nième drame agricole, avec cette fois pour toile de fond la fameuse sécheresse de 1976. Le film manque cruellement de relief, de poigne, et évolue dans un faux rythme du début à la fin, sans jamais prendre la mesure des enjeux qu'il veut dépeindre : les scènes s'enchainent dans une monotonie aussi assommante que la chaleur de cet été là, ressassant qui plus est souvent les mêmes situations. On se dit que l'intrigue va prendre son envol, puis les minutes défilent, défilent, défilent, sans qu'aucun emballement ne jaillisse jusqu'au dénouement.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 173 abonnés 3 973 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 novembre 2021
    Après “La Nuée” et ses sauterelles, “La Terre des Hommes” et “Louloute” et leurs vaches laitières, c’est au tour du “Milieu de l’horizon” de nous conter cette année la crise agricole avec les poulets. Nous sommes en 1976 et cette année de sécheresse ne fait pas les bonnes affaires du père de Gus qui voit ses poulets mourir de chaud tandis que la concurrence surexploite leurs productions. Alors que le climat est déjà bien moite, voici qu’une amie de sa mère débarque à la maison pour quelques jours et semble décomplexer sa mère qui retrouve le sourire. Il faut dire que les deux femmes entreprennent une relation homosexuelle suscitant les ragots dans le village.
    Malgré le plaisir de retrouver Laetitia Casta sur les écrans, le drame amoureux ne séduit pas à cause d’une narration trop sage et d’une mise en scène sans étincelle. Seuls les hommes, pourtant au second plan, parviennent à nous toucher lorsqu’ils tentent de sauver leur ferme tant bien que mal.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Yves G.
    Yves G.

    1 288 abonnés 3 295 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 octobre 2021
    Gus (Luc Bruchez) a treize ans. Il vit à la ferme avec ses parents, sa sœur aînée et son cousin un peu demeuré. C’est l’été 76, l’été de la canicule qui s’abat sur les hommes et les bêtes mettant en péril l’équilibre, déjà fragile, de l’exploitation familiale. Tandis que le père (Thibaut Evrard) se démène comme un beau diable pour sauver ses poulets et ses vaches, la mère (Laetitia Casta), fatiguée d’une vie de corvées, nourrit pour une amie de passage (Clémence Poésy) des désirs coupables.

    Le monde paysan a décidément la côte dans le cinéma français [Oui. Je sais. J’ai commencé avant-hier ma critique d’"Illusions perdues" de la même façon en parlant des adaptations de Balzac]. Après les très réussis "Petit Paysan" et "Au nom de la terre", on a vu se multiplier les mélodrames ayant pour héros des hommes et des femmes durs à la tâche, se frottant aux rudes travaux agricoles : "La Terre des hommes", "La Nuée", "Revenir"… sans parler de l’engouement soudain pour les documentaires sur le monde paysan : "Honeyland", "Cyrille, agriculteur, 30 ans, 20 vaches, du lait, du beurre, des dettes"…

    La réalisatrice suisse Delphine Lehericey est allée tourner en 35mm en Macédoine l’adaptation d’un roman de son compatriote, Roland Buti, publié en 2013, dont l’action se déroule quarante ans plus tôt. On retrouve les couleurs, le grain de l’image et la moiteur de "L’Eté meurtrier". Mais, même si Laetitia Casta est presqu’aussi sexy qu’Isabelle Adjani au sommet de sa gloire, la comparaison s’arrête là. "Le Milieu de l’horizon" (pourquoi ce titre qui ne veut rien dire ?) n’est pas l’histoire d’une machiavélique vengeance dans un village des Hautes-Alpes, mais plus banalement un coming of age movie, un film sur la sortie de l’enfance comme on en a déjà vu treize à la douzaine.

    Il n’y a pas grand-chose à lui reprocher : les acteurs font le job (avec une mention spéciale pour Patrick Descamps dont c’est le troisième film qui sort en quatre semaines), le scénario se tient…. Mais il n’y a pas grand-chose non plus d’immémorable dans ce récit convenu et sa conclusion sans surprise.
    Diego C
    Diego C

    6 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 octobre 2021
    Un magnifique portrait du monde paysan en plein processus d'industrialisation. Le casting est très juste et les paysages sont à couper le souffle. Belle réussite.
    Camille Cottin
    Camille Cottin

    10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 octobre 2021
    Laetitia Casta est vraiment bouleversante dans ce film, et les paysages sont juste sublimes !
    À voir impérativement sur grand écran
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    307 abonnés 1 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2021
    La sécheresse de 1976. Sous le soleil implacable de cet été, Gus quitte l’enfance. La nature se désagrège, les sentiments s’exacerbent, le noyau familial éclate : tout craque et se fissure jusqu’à ce que l’impensable arrive. Les orages tant espérés balaieront une campagne épuisée et emporteront un monde avec eux.

    C’est une réalisation de la Suisse Delphine Lehericey. Elle a adapté le roman Le Milieu De L'Horizon de Roland Buti. Le scénario a été écrit par Joanne Giger.

    J’ai trouvé que ce drame était vraiment très bon.



    J’ai été captivé par le contexte. On se retrouve dans une campagne au milieu des années 70. C’est l’époque où une grande sècheresse frappe une partie de l'Europe. Forcément, cela va avoir beaucoup d’incidence sur le dérouler de l’histoire. Plus le temps passe, plus la tension autour de cette chaleur va se faire sentir. Déjà car sans eau les champs meurent, et donc cela met en grand danger l’exploitation. Puis, parce que cela va peser sur les nerfs de plus en plus. L’occasion de découvrir ce milieu assez dur qu’est était celui du monde agricole.

    Au-delà de ce contexte, les personnages vont être confronté à une situation inhabituelle. Rapidement, on va découvrir que la femme cache un secret très lourd pour l’époque et pour le milieu. Nicole est attirée par une femme. Un non-dit qui va faire voler en éclat cette famille. L’ouverture d’esprit n’était pas ce qu’elle est actuellement, alors si en plus vous rajoutez le fait elle soit déjà mariée, et donc engagé, il n’est pas dur de comprendre les répercutions que ça peut avoir. Entre-les “on dit”, et les répercussions sur ses enfants, la situation va devenir aussi tendue qu'incontrôlable.



    C’est là que cela va être intéressant de voir l’évolution de chaque membre de la famille. On sera surtout avec le gamin Gus. Cet enfant est partagé entre un grand nombre de sentiment mais reste prisonnier de sa colère. Je dirais même parfois trop car ça peut paraître excessif. On comprend son désarroi que ce soit après rapport à la ferme et à sa mère, mais même les enfants arrivent à être plus nuancé. Après, il y le mari qui va devoir faire face aux difficultés de l’exploitation, et de voir sa femme qui s’éloigne. Il a un caractère très dur. Sans demi-mesure, j’ai apprécié cette force qu’il met dans ce drame. La fille sera un peu passé sous silence, étrangement la mère aussi. Elle sera plus un catalyseur provoquant le chamboulement, qu’une protagoniste dont la psychologie est recherchée. Cependant, cette situation convient totalement.

    Il faut dire que Laetitia Casta remplit son rôle à merveille. Elle brille tellement dans chaque passage qu’on se contente de vibrer avec ça. Thibaut Evrard est celui qui m’a le plus impressionné par sa vigueur. Sa situation m’a beaucoup touché. Sa force physique ne cachera pas sa fragilité émotionnelle. Par contre, je n’ai pas apprécié Luc Bruchez. Son jeu manque trop de nuance, et une meilleure performance aurait sublimé ce film et lui aurait fait passer un cap. À noter la présence de Patrick Descamps qui enchaine avec réussite son troisième rôle secondaire en un mois avec L'Homme de la cave et Les Intranquilles.
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    170 abonnés 380 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 octobre 2021
    C'est fou ces acteurs parisiens qui pensent pouvoir tout jouer. Laetitia Casta et Clémence Poésy ne sont pas convaincantes en paysannes. Le film est d'une banalité confondante et montre toutes ses coutures. Il s'agit là d'un tout petit téléfilm larmoyant qui rabâche des idées reçues sur les paysans et sur l'homosexualité. On aurait mieux fait de ne pas l'exploiter au cinéma.
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