Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
Un film fascinant. Sa structure claire et simple, comme l’idée fixe de son héroïne, son ton loin du superlatif, son attention au concret captivent du début à la fin. Une grande réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Humanité
par Michèle Levieux
Découvert lors du dernier Festival de Cannes, Lillian, du cinéaste autrichien Andreas Horvath, magistralement incarné par la jeune Patrycja Planik, est un sidérant voyage initiatique à pied à travers l’Amérique du Nord, de la côte Est à l’Alaska.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Nathalie Simon
Le film d’Andreas Horvath convoque Hitchcock, Antonioni, Nicolas Roeg et même La Ruée vers l’or de Chaplin. Puissant, bouleversant, magistralement interprété.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Yann Tobin
Mais surtout, la magnificence des paysages américains pourtant hostiles au gré des saisons fait de ce périple un western planant, où les vues au drone alternent avec des inserts quasi entomologiques sur la mort d’une civilisation.
Télérama
par Samuel Douhaire
Entre nature hostile et sauvagerie des hommes, une odyssée fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Chloé Cavillier
De ces conditions rudimentaires émerge pourtant un film ample, où se dessine le portrait critique d’une Amérique qui pratique encore la peine de mort et milite contre l’avortement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
Lillian est un film dérangeant dont on ne sort pas indemne. Ce road movie survivor fascine et ne ressemble à aucun autre film.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
Au delà du récit romancé d'un véritable drame, on ne voit pas très bien à quelles conclusions aboutit le film.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Pour le reste, le réalisateur qui a tourné en équipe réduite s’est laissé porter par les rencontres de hasard (...). C’est la limite de ce film qui fascine par son mouvement et la beauté de ses images mais manque finalement de point de vue.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Quasi mutique – son héroïne ne pipe mot –, un peu longuet et un brin redondant, il n’en demeure pas moins aussi beau que surprenant.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un très beau film contemporain sur l’effacement d’un être dans le paysage.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Tout au long de sa marche, ce survival movie abstrait et rugueux se pare d’une densité plastique (un dédale de paysages aux formes et couleurs changeantes), théorique (la réalité plus folle que la fiction) et politique (traverser un territoire pour joindre deux terres irréconciliables) solide. Le geste est passionnant mais manque d’envergure et reste comme suspendu à la cabine de pilotage d’un appareillage formel sans faille.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Du pur chantage à la performance (de tournage et d’interprétation) qui masque mal un appétit d’exploitation des corps qu’il prétend pourtant dénoncer.
Ouest France
par La Rédaction
Un road movie qui empile les images d'Epinal et n'arrive jamais à trouver une quelconque poésie.
Les Fiches du Cinéma
Un film fascinant. Sa structure claire et simple, comme l’idée fixe de son héroïne, son ton loin du superlatif, son attention au concret captivent du début à la fin. Une grande réussite.
L'Humanité
Découvert lors du dernier Festival de Cannes, Lillian, du cinéaste autrichien Andreas Horvath, magistralement incarné par la jeune Patrycja Planik, est un sidérant voyage initiatique à pied à travers l’Amérique du Nord, de la côte Est à l’Alaska.
Le Figaro
Le film d’Andreas Horvath convoque Hitchcock, Antonioni, Nicolas Roeg et même La Ruée vers l’or de Chaplin. Puissant, bouleversant, magistralement interprété.
Positif
Mais surtout, la magnificence des paysages américains pourtant hostiles au gré des saisons fait de ce périple un western planant, où les vues au drone alternent avec des inserts quasi entomologiques sur la mort d’une civilisation.
Télérama
Entre nature hostile et sauvagerie des hommes, une odyssée fascinante.
Critikat.com
De ces conditions rudimentaires émerge pourtant un film ample, où se dessine le portrait critique d’une Amérique qui pratique encore la peine de mort et milite contre l’avortement.
Culturopoing.com
Lillian est un film dérangeant dont on ne sort pas indemne. Ce road movie survivor fascine et ne ressemble à aucun autre film.
Franceinfo Culture
Au delà du récit romancé d'un véritable drame, on ne voit pas très bien à quelles conclusions aboutit le film.
La Croix
Pour le reste, le réalisateur qui a tourné en équipe réduite s’est laissé porter par les rencontres de hasard (...). C’est la limite de ce film qui fascine par son mouvement et la beauté de ses images mais manque finalement de point de vue.
Le Journal du Dimanche
Quasi mutique – son héroïne ne pipe mot –, un peu longuet et un brin redondant, il n’en demeure pas moins aussi beau que surprenant.
Le Monde
Un très beau film contemporain sur l’effacement d’un être dans le paysage.
Les Inrockuptibles
Tout au long de sa marche, ce survival movie abstrait et rugueux se pare d’une densité plastique (un dédale de paysages aux formes et couleurs changeantes), théorique (la réalité plus folle que la fiction) et politique (traverser un territoire pour joindre deux terres irréconciliables) solide. Le geste est passionnant mais manque d’envergure et reste comme suspendu à la cabine de pilotage d’un appareillage formel sans faille.
Cahiers du Cinéma
Du pur chantage à la performance (de tournage et d’interprétation) qui masque mal un appétit d’exploitation des corps qu’il prétend pourtant dénoncer.
Ouest France
Un road movie qui empile les images d'Epinal et n'arrive jamais à trouver une quelconque poésie.