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    Une histoire d'amour et de désir
    Note moyenne
    4,0
    25 titres de presse
    • Le Parisien
    • Marianne
    • Ouest France
    • Sud Ouest
    • 20 Minutes
    • Bande à part
    • CinemaTeaser
    • Culturopoing.com
    • Dernières Nouvelles d'Alsace
    • Femme Actuelle
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • La Croix
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Figaro
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Monde
    • Les Echos
    • Les Fiches du Cinéma
    • Libération
    • Marie Claire
    • Positif
    • Télérama
    • Première
    • Cahiers du Cinéma

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    25 critiques presse

    Le Parisien

    par La Rédaction

    Pour mettre en scène ce jeu du chat et de la souris érotico-sentimental miné par des blocages culturels, Leyla Bouzid utilise son outil de prédilection, sa caméra, nous offrant des images d’une sensualité inouïe qui créent l’émoi de façon inédite.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Marianne

    par Olivier De Bruyn

    Un film qui s'impose en toute discrétion comme l'un des plus beaux et nécessaires de la rentrée.

    Ouest France

    par Pascale Vergereau

    Un bijou à ne pas manquer.

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Une merveille lumineuse.

    La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest

    20 Minutes

    par Caroline Vié

    Un film incandescent, tout en sensualité délicate.

    La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

    Bande à part

    par Olivier Pélisson

    On reste envoûté par la beauté généreuse de ce film.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    CinemaTeaser

    par Perrine Quennesson

    Récit initiatique sur la carte du tendre, "Une histoire d'amour et de désir" est un poème intemporel qui a tout compris des enjeux contemporains.

    La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

    Culturopoing.com

    par Emna Mrabet

    La voix off et la bande son orchestrée par des instruments tel que le oud, sorte d’écho aux racines arabes, effleurent les fantasmes qu’Ahmed ne peut se résoudre à assouvir. Le choix délicat des teintes et des lumières opérées par Sébastien Goepfert, saisit les peaux et les chairs avec poésie et subtilité, répondant ainsi à la finesse de la littérature arabe qui n’a cessé, surtout à l’époque de son âge d’or, de chanter les louanges de l’amour et du désir.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Dernières Nouvelles d'Alsace

    par Nathalie Chifflet

    On est séduit par la grâce, l’amabilité et la sensualité de cet hymne à l’amour, qui procède d’une noble aspiration à une forme de romantisme contemporain.

    Femme Actuelle

    par La Rédaction

    Touchant et juste.

    L'Humanité

    par Michaël Mélinard

    Auréolé du valois de diamant récompensant le meilleur film et du prix du meilleur acteur couronnant Sami Outalbali au Festival du film francophone d’Angoulême, qui s’est achevé dimanche, Une histoire d’amour et de désir confirme les promesses entrevues dans À peine j’ouvre les yeux, le premier long métrage de Leyla Bouzid.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    L'Obs

    par Sophie Grassin

    Il suffit de quelques plans – l’étrangeté de gouttes d’eau sur une paroi vitrée (ils finissent par révéler un corps nu sous la douche), la vérité d’une volée de visages anonymes saisis dans un RER matinal – pour savoir que ce deuxième long-métrage, ovationné à la Semaine de la Critique au dernier Festival de Cannes, va nous couper le souffle.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Croix

    par Corinne Renou-Nativel

    Grand prix du Festival du film francophone d’Angoulême, ce film gracieux évoque les résistances d’un jeune homme face à ses sentiments pour une camarade de fac.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Dauphiné Libéré

    par Nathalie Chifflet

    Quelle belle histoire qu’ Une histoire d’amour et de désir, l’éducation sentimentale d’Ahmed, jeune étudiant de banlieue parisienne.

    Le Figaro

    par Etienne Sorin

    Sami Outalbali est très juste dans le rôle de ce jeune arabe frustré, écrasé par les conventions, les interdits, le regard des autres. Face à lui, Zbeida Belhajamor est une Farah magnifique.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Journal du Dimanche

    par Stéphanie Belpêche

    À la fois intellectuel et organique, poétique et sensuel, ce film parvient à un équilibre parfait entre la pudeur dans sa façon de montrer l'éveil à la sexualité ou la nudité et l'audace du verbe, qui décrit sans détour l'ardeur des sentiments et des fantasmes.

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

    Le Monde

    par Mathieu Macheret

    Un film tendre aux airs prudents, mais finalement assez risqué.

    Les Echos

    par Adrien Gombeaud

    Avec ce second long-métrage, la cinéaste franco-tunisienne Leyla Bouzid poursuit un sillon personnel, discret mais profond.

    La critique complète est disponible sur le site Les Echos

    Les Fiches du Cinéma

    par Michael Ghennam

    Ahmed fait la connaissance de Farah à l’université. Les deux jeunes gens se plaisent, mais la séduction ne se fera pas sans complications. Leyla Bouzid confirme l’étendue de son talent avec ce second long métrage sur l’être et le paraître, tout en subtilité.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Libération

    par Anne Diatkine

    [Une] délicate entreprise de démolition des clichés, dont la singularité emporte sans crier gare sous une facture classique.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Marie Claire

    par Emily Barnett

    Un récit d'apprentissage amoureux aussi charnel que palpitant.

    Positif

    par Yannick Lemarié

    La simplicité de l’échange final entre Ahmed et Hakim est à l’image de ce film : subtil et délicat.

    Télérama

    par Louis Guichard

    Leyla Bouzid conduit ce suspense avec pudeur, mais sans pruderie, de la première image, le corps d’Ahmed nu, de dos et flou, jusqu’à la dernière : son visage net, en gros plan.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Première

    par Thomas Baurez

    La mise en scène emprunte de sensualité, filme ses corps en mouvement et accompagne leur chemin intérieur pour que s’exprime cet amour et ce désir, enfin détachés de tout ce qui pouvait les retenir prisonniers.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Cahiers du Cinéma

    par Charlotte Garson

    Le titre souligne une dualité scénaristique voyante: amour, désir, il va s'agir de les distinguer pour mieux les faire se rejoindre.

    Les meilleurs films de tous les temps
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