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klap2fin
16 abonnés
376 critiques
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2,0
Publiée le 15 juillet 2022
J'ai apprécié le casting sans faute et l'interprétation, rien à dire de ce coté, mais pour le reste...mon Dieu ! qu'est-ce que je me suis fait chi..... C'est lent, très lent, trop lent et cette histoire n'est au final sans aucun intérêt. Une œuvre totalement surnotée.
Un sentiment partagé, entre œuvre magistrale et entourloupe cinématique. Faux western mais vrai thriller, "The Power Of The Dog" dégage des séquences captivantes, hypnotiques, mais accumule dans un même temps des effets de mise en scène lourds, voir pompeux. Sur quel pied danse-t-on ? C'est désarçonnant, à tout le moins.
Les frères Phil et Georges Burbank dont les personnalités diffèrent radicalement sont propriétaires d'un ranch dans le Montana. Le mariage de Georges avec Rose va venir bouleverser la vie de Phil.
Jane Campion nous parle ici de masculinité toxique et de sentiments refoulés dans un film dont la première heure sert à poser les bases d'une seconde partie vraiment remarquable. Certains seront d'ailleurs probablement découragés par la première partie du long métrage. L'écriture et le scénario servent le développement des personnages dont nous découvrons au fur et à mesure de l'histoire toutes les facettes. De plus, tous les acteurs jouent leurs partitions à la perfection avec une mention spéciale pour Dunst et Cumberbatch.
Mise à Part la qualité de l'interprétation de B. Cumberbacht et le soin apporté à la photographie, il ne reste pas grand chose de ce film soporifique. Tout d'abord, c'est beaucoup trop long car le côté contemplatif voulu par J. Campion tombe à plat. On s'attendait à un western atypique dégageant une intense émotion mais au final on s'ennuie ferme, attendant une histoire qui ne démarre jamais. La fin est sans surprise à l'image de ce film dont on attendait beaucoup et qui déçoit énormément...
Difficile pour moi de négliger un western, l'immersion est quasi impossible ...trop propre..certes du Grand netflix du Grand théâtre mais sûrement pas du cinéma .
Je ne suis pas et très loin de la un inconditionnel de cette réalisatrice mais il faut bien constater que ce film est réussi. Certe le rythme est lent mais l atmosphère étouffante de la vie de ce fermier renfermé est assez hypnotique. L histoire prend son sens dans la deuxième partie et le rapport entre lui et le fils de la femme de son frère monte jusqu'au final . Étonnant et surprenant.
Jane Campion a construit un film âpre, hermétique, rempli de longueurs, mais qui prend son sens sur la durée et lors de la révélation finale, ou plutôt surprise finale, qui donne une perspective différente des différents événements qui se sont déroulés avant, et surtout une perspective différente sur certains personnages. Film d'ambiance et contemplatif, avec une histoire où l'interprétation peu subtile de chacun des personnages maintient l'intérêt, car la progression dramatique fait évoluer les enjeux, car le drame latent entre les deux frères évolue vers un drame latent entre Benedict Cumberbach et le fils de Kirsten Dunst, nouvelle épouse de son frère. Le film commence par établir la relation entre les deux frères, Jesse Plemons, éduqué, chic, qui n'aime pas le bétail et le crottin, et Benedict Cumberbatch, éduqué, mais qui préfère la crasse, les vaches, le crottin, et le cuir qui le fascine, et qui sera à l'origine de sa perte. Nous avons donc une œuvre qui possède des beautés, des langueurs et des longueurs, mais qui au final prend toute sa saveur.
Pas un navet mais bien trop lent pour être même moyen. Malheureusement, ce film passe à côté de son sujet alors qu'il est d'une remarquable intelligence mais trop sous-exploitée pour nous surprendre...
Nommé pour douze Oscars : on m’avait vendu «The Power of the Dog» comme le grand western révolutionnaire. Après m’être infliger dix minutes du film (je n’ai pu aller plus loin), j’ai décider de prendre la plume et dire ce que je pensais du film. Alors même si il faut être honnête les images sont plutôt belles : le scénario manque clairement d’épaisseur. C’est long, chiant, inintéressant. Les acteurs jouent comme des pieds. Entre un Cumberbach inexpressif, et un Jesse Plemmons qui n’as aucun charisme compliquer d’être embarquer. Une véritable purge qui a connus un succès juste à cause du nom de sa réalisatrice. Mais que dire aussi ici : Jane Campion n’insuffle qu’un souffle de mort à son film. Pourquoi lui a-t-on donner un Oscar pour cette bouze quand des films comme «West Side Story», «Belfast» ou «Licorice Pizza» qui sont de véritables propositions le méritait milles fois. Un film mineur qui souhaite réinventer le western mais tout le monde ne peut-être Sergio Leone. Une balle dans le pied dont on se serait bien passer. Next.
Film très bien joué et réalisé, avec une belle musique. Mais on reste un peu sur sa faim, tout sent un peu le déjà-vu finalement et c’est bien dommage. A voir quand même mais pas indispensable.
Cette adaptation d'un roman éponyme d'autofiction de Thomas Savage (1967), réputé inadaptable, s'avère une grande réussite. Campion filme aussi bien les paysages somptueux de Nlle-Zélande censé représenter le Montana, que les gros plans voire très gros plans (le détail du poil d'été d'un cheval p.ex) dans une intrigue psychologique - Rose sombre dans l'alcoolisme tandis que Peter parvient à amadouer Phil - à la distribution parfaite. Encore un film Netflix à voir uniquement en salle, ce que j'ai pu faire en Suisse, pays ne connaissant pas la chronologie des médias...
#oscars2022 Puissant, vénéneux, érotique, Benedict Cumberbatch donne un visage au mal, un corps au tourment, sous la caméra ample et amoureuse de J. Campion. Tout le casting est superbe, Kristen Dunst et Jesse Plemons forment un couple très émouvant. Enfin le jeune Kodi Smit-McPhee, tout au long du film, et surtout dans la scène pivot fait preuve d'une subtilité envoûtante.
Un film surprenant, particulièrement beau, qui peut éventuellement sembler tirer un petit peu en longueur à certains moments. Heureusement, son style et sa réalisation parfaite suffit à nous offrir de quoi contempler l'image qui nous est proposée. L'histoire est particulière. Elle nous emplit de tension tant les personnages ont des caractères que tout oppose. Centré sur un quatuor pour qui on ne peut rester indifférent. On peut sentir la tension qui règne entre tous et elle nous absorbe aussi. Pourtant, il arrive un moment où on ne sait pas trop où le film veut nous mener. Il peut arriver beaucoup de choses différentes et c'est là que j'ai trouvé le film intéressant : il nous mène sur différentes pistes et on attend avec anxiété celle qui sera la bonne. On pouvait aussi craindre une fin ouverte, pleine de philosophie et de morale pompeuses. Il n'en est rien, les dernières minutes offrent une clé surprenante et plutôt brillante. Je ne pense toutefois pas que ce soit un film qu'on puisse facilement revoir plusieurs fois. 3,8/5
J. Campion filme une histoire plutôt charnelle & minérale, avec plein de matière mais aussi des sentiments qu'il faut savoir trouver. Un peu comme un P. T. Anderson aime le faire. Netflix aussi peut produire de bon films
Que d'ennui .. ça me confirme que les films primés par les professionnels sont souvent primés juste pour dire :" nous on sait ce qui est bien dans le cinéma .contrairement aux spectateurs lambdas " C est long, il se passe rien et j avais mm pas compris le final tellement j etais endormi par le film... C est plus que moyen.. seuls les acteurs sont bons