Le film s'ouvre sur une voix qui déclare : « Après la mort de mon père, je ne voulais qu'une chose: le bonheur de ma mère. Quel homme serais-je si je n'aidais pas ma mère ? » . Ambiance pesante, dès le début on appréhende le moment où tout va basculer.
Trois personnages Phil, Rose, Peter semblent à la limite de la chute, toujours en disharmonie entre leur apparence, leur vie quotidienne et leur pulsion, leur désir, leur vérité... Seul Georges promène un regard placide, témoin naïf ou spectateur scrutateur. Il suit le mouvement alors qu'il est celui qui a bousculé l'équilibre fragile des rôles bien établies. Que sait il ? Que laisse t'il faire ?
Des paysages majestueux, des plans tout en délicatesse aux couleurs très picturales.
Des cowboys, un saloon, un ranch et même quelques indiens. Je n'aurais pas parié qu'un western me plairait autant. J'y vois un drame psychologique et familial tourné comme un thriller à la tension grandissante.
Excellente prestation d'acteurs et particulièrement le duo Benedict Cumberbatch et Kodi Smit-McPhee.
Verset d'une prière, le titre est un emprunt au psaume 22:21 : « Protège mon âme contre le glaive, ma vie contre le pouvoir des chiens ! ». Délivre mon âme, libère ma vie...
C'est le genre de film qui est comme un bon vin.... il décante quelques jours et il en n'est que plus parfumé et puissant : c'est un film de garde.
Le film s'ouvre sur une voix qui déclare : « Après la mort de mon père, je ne voulais qu'une chose: le bonheur de ma mère. Quel homme serais-je si je n'aidais pas ma mère ? » . Ambiance pesante, dès le début on appréhende le moment où tout va basculer.
Trois personnages Phil, Rose, Peter semblent à la limite de la chute, toujours en disharmonie entre leur apparence, leur vie quotidienne et leur pulsion, leur désir, leur vérité... Seul Georges promène un regard placide, témoin naïf ou spectateur scrutateur. Il suit le mouvement alors qu'il est celui qui a bousculé l'équilibre fragile des rôles bien établies. Que sait il ? Que laisse t'il faire ?
Des paysages majestueux, des plans tout en délicatesse aux couleurs très picturales.
Des cowboys, un saloon, un ranch et même quelques indiens. Je n'aurais pas parié qu'un western me plairait autant. J'y vois un drame psychologique et familial tourné comme un thriller à la tension grandissante.
Excellente prestation d'acteurs et particulièrement le duo Benedict Cumberbatch et Kodi Smit-McPhee.
Verset d'une prière, le titre est un emprunt au psaume 22:21 : « Protège mon âme contre le glaive, ma vie contre le pouvoir des chiens ! ». Délivre mon âme, libère ma vie...
C'est le genre de film qui est comme un bon vin.... il décante quelques jours et il en n'est que plus parfumé et puissant : c'est un film de garde.
The Power of the dog
Sur Netflix Enfin vu !
De mon canapé soirée 9 février 2022
Petit clin d'œil @smile_matou les plateformes ont aussi du bon.
Le film s'ouvre sur une voix qui déclare : « Après la mort de mon père, je ne voulais qu'une chose: le bonheur de ma mère. Quel homme serais-je si je n'aidais pas ma mère ? » . Ambiance pesante, dès le début on appréhende le moment où tout va basculer.
Trois personnages Phil, Rose, Peter semblent à la limite de la chute, toujours en disharmonie entre leur apparence, leur vie quotidienne et leur pulsion, leur désir, leur vérité... Seul Georges promène un regard placide, témoin naïf ou spectateur scrutateur. Il suit le mouvement alors qu'il est celui qui a bousculé l'équilibre fragile des rôles bien établies. Que sait il ? Que laisse t'il faire ?
Des paysages majestueux, des plans tout en délicatesse aux couleurs très picturales.
Des cowboys, un saloon, un ranch et même quelques indiens. Je n'aurais pas parié qu'un western me plairait autant. J'y vois un drame psychologique et familial tourné comme un thriller à la tension grandissante.
Excellente prestation d'acteurs et particulièrement le duo Benedict Cumberbatch et Kodi Smit-McPhee.
Verset d'une prière, le titre est un emprunt au psaume 22:21 : « Protège mon âme contre le glaive, ma vie contre le pouvoir des chiens ! ». Délivre mon âme, libère ma vie...
C'est le genre de film qui est comme un bon vin.... il décante quelques jours et il en n'est que plus parfumé et puissant : c'est un film de garde.
Le film s'ouvre sur une voix qui déclare : « Après la mort de mon père, je ne voulais qu'une chose: le bonheur de ma mère. Quel homme serais-je si je n'aidais pas ma mère ? » . Ambiance pesante, dès le début on appréhende le moment où tout va basculer.
Trois personnages Phil, Rose, Peter semblent à la limite de la chute, toujours en disharmonie entre leur apparence, leur vie quotidienne et leur pulsion, leur désir, leur vérité... Seul Georges promène un regard placide, témoin naïf ou spectateur scrutateur. Il suit le mouvement alors qu'il est celui qui a bousculé l'équilibre fragile des rôles bien établies. Que sait il ? Que laisse t'il faire ?
Des paysages majestueux, des plans tout en délicatesse aux couleurs très picturales.
Des cowboys, un saloon, un ranch et même quelques indiens. Je n'aurais pas parié qu'un western me plairait autant. J'y vois un drame psychologique et familial tourné comme un thriller à la tension grandissante.
Excellente prestation d'acteurs et particulièrement le duo Benedict Cumberbatch et Kodi Smit-McPhee.
Verset d'une prière, le titre est un emprunt au psaume 22:21 : « Protège mon âme contre le glaive, ma vie contre le pouvoir des chiens ! ». Délivre mon âme, libère ma vie...
C'est le genre de film qui est comme un bon vin.... il décante quelques jours et il en n'est que plus parfumé et puissant : c'est un film de garde.