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    La Maison du Docteur Edwardes
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    122 critiques spectateurs

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    yayo
    yayo

    55 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mars 2012
    Film très bien construit avec une brochette d'acteurs au top. La scène du rêve est magnifique.
    Akamaru
    Akamaru

    2 788 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 février 2012
    Loin d'être le Hitchcock le plus connu,"La maison du docteur Edwardes"(1945)est un film hybride,mêlant romance à l'hollywoodienne,drame criminel et surtout étude psychanalytique.Avec ce sujet,où un amnésique se fait passer pour un psychiatre réputé,Hitschcock peut laisser libre cours à ses interrogations sur le subconcient,et l'intérêt de la psychanalyse.Ce qui était quasi révolutionnaire à l'époque!Ainsi la jeune practicienne tente par des indices,des mots,des associations d'idées,de reconstituer le puzzle du souvenir de son patient/amant.Le jargon employé est par contre trop sophistiqué,et en même temps trop naïf.La mise en scène est magistrale,en particulier lors de la fameuse scènes d'hallucinations,dessinée par Salvador Dali lui-même.Le couple Ingrid Bergman/Gregory Peck est tout à fait cohérent.La Miss est particulièrement douce et juste,et son interprétation suscite l'enthousiasme,alors que Peck est plus en retrait,vaguement ténébreux.Belle musique également qu dicte les envolées dramatiques.Par contre,les impératifs de la romance et le suspense tout relatif n'en font pas un must dans la carrière de Hitch.
    Shawn777
    Shawn777

    456 abonnés 3 312 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mai 2020
    Ce film, réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1945, n'est pas mal du tout ! C'est l'histoire d'un homme qui se fait passer pour le docteur Edwardes, le nouveau directeur d'un établissement psychiatrique. Ne se rappelant plus qui il est vraiment, il se fait aider par une nouvelle psychologue. Entre la romance et le thriller, Hitchcock exploite cette fois la psychanalyse et l'amnésie pour alimenter son histoire aux multiples rebondissements. Appréciant beaucoup ce genre de thriller, je ne pouvais pas passer à côté de celui-ci, surtout étant réalisé par le maitre du suspense, et, sans en être déçu pour autant, je dois dire que ce n'est pas mon préféré du réalisateur ! Effectivement, si on rentre vite dans le vif du sujet, c'est-à-dire qu'on ne perd pas pas temps, le personnage principal nous est directement présenté avec quelques troubles psychologiques et Constance découvre très vite par la suite son imposture. Ensuite, l'enquête consistant à retrouver l’identité du personnage principal et la fuite de la police sont vraiment des éléments palpitants. Mais malgré tout, dans la dernière partie du film, j'ai trouvé que l'histoire trainait un peu en longueur, ce qui est très dommage, car plus nous avançons vers la réponse tant attendue, plus nous perdons de l'intérêt. Ce n'est peut-être qu'un avis personnel, je n'ai pas la prétention de dire que ce film possède une fin ennuyante mais enfin, je n'ai pas été captivé du début à la fin. Cependant, le film possède de très bons éléments de mise en scène, et notamment dans cette dernière partie, ce qui relève un petit peu le tout. Nous avons effectivement une mise en scène très inventive, notamment avec la reconstitution psychologique qui se passe dans la tête du personnage principal (et surtout très réaliste, l'inconscient donne très souvent des éléments flous et surréalistes qui ont en réalité un sens) et puis avec ce plan "final" très célèbre, mais que je ne dévoilerais pas pour les spectateurs n'ayant pas encore vu le film. Du côté des acteurs, nous avons principalement Ingrid Bergman, Gregory Peck et Michel Tchekhov qui jouent très bien. "La Maison du docteur Edwardes" n'est pas mon Hitchcock préféré mais il reste en tout cas un bon thriller.
    selenie
    selenie

    5 407 abonnés 6 007 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 février 2022
    L'usurpation d'identité est dévoilé très vite pour poser les bases de l'intrigue : qui est-il vraiment ? A-t-il tué le véritable docteur Edwardes ? Mais franchement ces questions on s'en moque un peu car étant joué par Gregory Peck on sait d'emblée que son personnage ne peut être un assassin et qu'il est assurément un homme bon. Le plus intéressant est donc surtout de savoir si le vrai Edwardes est mort ou vivant, et sinon de le retrouver, lui ou son assassin. C'est alors assez réjouissant de suivre les délires de cet Edwards et notamment ses rêves qui intriguent et qui fascinent surtout. Des rêves matérialisés par un certain Salvador Dali, que Hitchcock a pu engager pensant que son art est l'image idéal du rêve et non pas les flous et autres brumes qui étaient alors norme pour mettre en image le rêve. Avouons-le, cette partie fantasmagorique est une curiosité qui n'est pas pour rien dans la postérité du film. Hitchcock signe là un mélo sentimental sur fond psychanalytique, certe simpliste mais qui tient la route grâce à des idées formelles qui parsèment le film jusqu'à ce dénouement final.
    Site : Selenie
    Ti Nou
    Ti Nou

    400 abonnés 3 347 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2010
    Hitchcock utilise la psychanalyse pour créer l'ambiguïté et l'incertitude et renouveler sa vision du couple. "La maison du docteur Edwardes" surprend continuellement et se renouvelle sans cesse en partant dans des directions inattendues.
    JeremGar
    JeremGar

    78 abonnés 1 568 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 novembre 2010
    La maison du Docteur Edwardes fait partie intégrante des immanquables d'Hitchcock. L'histoire est finement menée sans tomber dans les clichés à l'eau de rose des histoires d'amour ni dans les troubles psychiques. On assiste à une véritable guérison mentale et à une enquête policière ne manquant pas de rebondissements. à voir!
    ygor parizel
    ygor parizel

    200 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2013
    Le film commence de manière assez classique avec une romance trop hollywoodienne (mais c'était obligatoire à l'époque) et une longue présentation des personnages. Le scénario est prenant, le mystère autour du personnage de Gregory Peck est intéressant. Avec la durée le film devient meilleur, on a droit aussi à plusieurs beaux, jeux d'ombres sur les visages.
    Alasky
    Alasky

    282 abonnés 3 071 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2009
    Un Gregory Peck jeune et subjuguant, une Ingrid Bergman lumineuse et irréprochable... sans être LE film d'Alfred Hitchcock, "Spellbound" s'avère être une des plus belles oeuvres du cinéaste. Enorme coup de coeur pour la courte scène du train tout simplement délicieuse.
    Sonia K.
    Sonia K.

    17 abonnés 157 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 janvier 2017
    Si Hitchcock n' a jamais été le "maître du suspens", il est encore moins celui de la psychanalyse! Comme suspens, nous avons une fin propre à tous les films du "maître": le gentil aidé par une gentille s' en sort; ils se marient et ils auront sans doute beaucoup de petits "nenfants"... Quant à la "psychanalyse", le "maître" nous offre en toute prétention une bouillabaisse de notions éclectiques de freudisme: spoiler: en un temps trois mouvements, le malade retrouve ses esprits, sa mémoire (perdue on ne sait guère) pourquoi, et son identité.
    Une psychologie que le "maître" a sans nul doute bûché dans "La psy en trois jours et trois leçons"; un suspens où nous imaginons la fin avant le début; bref, un spectacle grand-guignolesque, kitchissime à souhait, que ni G. Peck ni I. Bergman n' arrivent à sauver malgré leur talent et malgré une mise en scène honorable. Il faut regarder ce film comme on regarde la série "Zorro", pour le spectacle et sans ne jamais y croire! A noter qu' en prime, mais cela n' est pas la faute d' Hitchcock, le doublage d' I. Bergman est mauvais....
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 mars 2007
    Je suis un fan d'Hitchcock dont j'ai vu tous les films ... mais celui-ci est raté, particulièrement lent, avec une histoire d'amour improbable entre Gregory Peck et Ingrid Bergman, et une enquête amenant un rebondissement étonnant mais confus. Si vous souhaitez voir des films d'Hitchcock méconnus, privilégiez LE PROCES PARADINE ou CORRESPONDANT 17.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    247 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 décembre 2008
    Pur classique parfois très labyrinthique, ce film aux nombreux symboles souffre parfois de ses prétentions un peu fumeuses - sinon légèrement datées aujourd'hui - ; et ce outre le fait qu'il représente parfaitement ( d'ailleurs tel que l'avait voulu Hitchcok ) ce genre d'ambiance délètére et/ou trop calme voulu par ceux souhaitant la paix en temps de guerre, et donc appelés collaborateurs.
    jfharo
    jfharo

    48 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2009
    Une merveille que cette incurssion du Maître , au royaume des névroses .
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    661 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juillet 2012
    Grâce à un formidable duo de comédiens ou encore à un scenario parfaitement construit, Alfred Hitchcock réalise avec «Spellbound» l’une de ses pièces maîtresses. Ingrid Bergman est irréprochable dans le rôle d’une femme qui est prête à tout pour soigner l’homme qu’elle aime. Celui-ci se trouve être un homme paranoiaque, insomniaque et qui est interpréter par un Gregory Peck étincelant. Niveau mise en scène, Hitchcock nous sort le grand jeu et nous propose quelques séquences inoubliables et on notera aussi la présence d’une magnifique BO de Miklos Rozsa ainsi qu’une photographie en noir et blanc d’une très grande beauté.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 février 2012
    Qu’est-ce que peut bien raconter un réalisateur passé maître du suspense, une fois allongé sur le divan ? Des histoires, des histoires et encore des histoires. Car si Hitchcock s’intéresse ici à la psychanalyse comme point de départ de son intrigue, il se place bien plutôt du côté du regard surplombant et critique que de celui de l’introspection douloureuse. Jeu de pistes minutieux et réglé au millimètre près, " La maison du docteur Edwardes " se laisse dérouler tel un mécanisme emportant sur son passage récit, personnages et spectateurs. La soif d’enquête qui capte l’héroïne, elle-même interprétée par une Ingrid Bergman faussement gauche et naïve, est singulièrement communicative, et c’est de bon coeur qu’on est guidé au fil des rebondissements narratifs successifs qui forment tout le savant relief du suspense hitchcockien. Pourtant, signe des temps ou excès de recul engendré par un trop-plein d’ouvrages de vulgarisation et de théories médiatisées, on ne peut s’empêcher d’esquisser souvent un sourire franc devant la naïveté confondante avec lequelle les protagonistes exposent les fondements de la psychanalyse. Il ne s’agit certes pas pour autant de prendre le scénario totalement au premier degré, puisque le script, qui comporte un certain nombre de répliques savoureuses - “Faites de beaux rêves... On les analysera au petit déjeuner !”, lance aux héros un docteur plutôt facétieux -, s’amuse de cette tournure d’exposé et de la forme de petit guide de thérapie analytique pour les nuls qu’il semble revêtir fréquemment. Si la batterie de médecins domiciliés chez le docteur Edwardes prend soin de se placer de manière quelque peu appuyée sous l’étendard de la figure rassurante d’oncle Sigmund Freud, il ne faut pas se tromper sur l’ambition de l’oeuvre, qui reste avant tout non pas pédagogique, mais cinématographique.
    Et dans cette mesure, force est de constater que la précision d’Hitchcock fonctionne à merveille pour recréer un univers qui oscille entre ambiance de polar et surnaturel de bon aloi. L’ensemble n’est pas aussi grave qu’il le sera dans le chef-d’oeuvre Psychose, l’autre grand film de Hitchcock évoquant les questions de double personnalité et de démence, et la prestation de Gregory Peck en prince charmant névrosé n’a pas la même force de conviction que le terrifiant Anthony Perkins incarnant le gérant du motel Bates. Reste que cette souplesse de ton permet au film d’associer élégance et légère insolence, combinées avec un soin toujours constant, du premier au dernier plan, de la mise en scène. Un rai de lumière sous une porte, une maison toute en escaliers ou un couteau tenu dans une main au premier plan suffisent, dans une sobriété rare, à rendre l’espace de l’écran riche de surprises et de significations pour le spectateur. Ce qui n’exclut d’ailleurs pas le cinéaste de se livrer à des exercices plus “expérimentaux”, comme une très belle séquence de rêve - ce dernier étant évidemment analysé... - basée sur des oeuvres de Salvador Dali. Hitchcock, avec " La maison du docteur Edwardes ", démontrait déjà en 1945 que la notion de “film de divertissement” a le droit à toutes ses lettres de noblesse, pourvu que ce type de cinéma soit mené d’une main de maestro.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 mai 2012
    Un bon film sur la psychanalyse notamment avec une superbe scène supervisée par l'incroyable salvador dali, mais l'histoire est parasitée par un gros brin de mièvrerie.
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