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    Armageddon Time
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    3,7
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    287 critiques spectateurs

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    gooneur
    gooneur

    42 abonnés 840 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 décembre 2022
    C'est plutôt joliment réalisé avec une photo assez classieuse, mais le propos est par ailleurs franchement lisse et banal. Un Gray mineur.
    Dan S.
    Dan S.

    16 abonnés 413 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 décembre 2022
    Ambiance fidèle à l'idée du réalisateur mais qui ne transcende pas l'écran pas son scénario plutôt plat et sans vrai rebondissement. Plus proche d'un reportage que d'un film avec péripéties.
    elbandito
    elbandito

    319 abonnés 948 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2022
    Un récit d’apprentissage mélancolique et feutré, signé James Gray, qui aborde dans cette autobiographie d’une année décisive de son jeune parcours, une multitude de thématiques passionnantes sur l’Amérique du début des années 80. Le jeune Banks Repeta est une belle découverte !
    oniela
    oniela

    11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 décembre 2022
    Film puissant .
    Les dialogues moins présent sont la quand il faut pour donner toute la force et la justesse au film.
    Patjob
    Patjob

    25 abonnés 559 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Avec « Armageddon time », James Gray a voulu faire ses « 400 coups ». La référence à Truffaut est telle qu’il reproduit le célèbre vol par les deux gamins indisciplinés de la machine à écrire, ici, évolution technologique oblige, remplacée par un ordinateur. Ce triple portrait, celui d’un gamin quelque peu perdu, de son milieu familial marqué par l’antisémitisme, et de l’Amérique raciste et réactionnaire du début des années 1980 (on est au moment de l’élection de Reagan), manque tout de même de souffle et d’émotion profonde. La symbolique de l’amitié brisée est intéressante, l’ambiance triste et blafarde est bien rendue par une belle photographie et certains moments sont empreints de sincérité, mais le film dépasse rarement la suite de souvenirs moroses anecdotiques. Il serait peut-être passé inaperçu s’il n’était signé par un grand cinéaste, dont on retiendra beaucoup plus ses premiers polars, d’une toute autre densité.
    Eddie W
    Eddie W

    3 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Que d'ennui. Le film ne commence que dans le dernier quart d'heure, quand il se passe enfin quelque chose entre le héros et son copain noir arrêté par la police. Sinon c'est un plaidoyer prodomo avec le réal qui se filme enfant comme un héros (euh, un peu complaisant). Et le gentil grand-père qui offre des cerfs-volants et revient en fantome pour donner des conseils... C'est fatiguant tout ça.
    Papacroyable
    Papacroyable

    2 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 mars 2023
    Il faut bien évidement faire appel a la différence pour attirer public .. ... ce film est encore une fois fielleux ... où on vous impose l'idée que si vous êtes un "autochtone" c'est donc que vous êtes suspect ! .
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    278 abonnés 2 830 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Une chronique, probablement très personnelle, sur le début de l'adolescence et les "rêves d'ailleurs" souvent associés. Des thématiques sur la famille et son héritage, le rapport (ici profond) entre petit-fils et grand-père, l'amitié au delà de la couleur de peau sont ici notamment évoquées. Malheureusement trop en surface, rien n'est vraiment suffisamment développé, à l'image du final qui nous laisse en plan, sans offrir de décision tranchée. Ainsi, en restant dans un retrait permanent, les émotions ne peuvent vraiment s'exprimer : dommage!
    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    33 abonnés 255 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    “Armageddon Time”, c’est une ambiance, un amour pour le New York des années 80, une immersion dans l’enfance du réalisateur James Gray, quelque chose d’assez personnel au final. Cela se sent rapidement, au devant de la caméra, par delà la photographie, les filtres et les couleurs, ainsi que le soin dans les décors et les costumes. L‘atmosphère du film nous transporte rapidement, on s’y croirait tellement, la bande originale ne fait qu’ajouter une immersion des plus agréable dans le quartier du Queens, à l’époque des Sugarhill Gang de du fameux “Rapper’s Delight” song. Mais “Armageddon Time”, c’est surtout l’histoire d’un enfant lucide, Paul Graff (Banks Repeta) victime des diktats de la société Américaine, des familles de riches comme la famille Trump qui impose son modèle de société et souhaite éduquer les générations à venir, qui assurera une Amérique forte sur le plan économique, stratégique et démographique. Un racisme omniprésent qui rayonne au travers du jeune Johnny Davis (Jaylin Webb), l’immigration marque également une partie de l’histoire et de la famille Graff. Un passé qui fait ce que Paul est ce qu’il est aujourd’hui. Et face au vaste monde, il essaye de se faire une place, écoute ses envies. Une ode à la jeunesse, à l’écoute de soi, au détriment des codes de la société. Paul rentre dans un conflit intérieur, déchiré entre l’état d’esprit de sa famille, un modèle forgé par la société, et celui qu’il souhaite réellement, une âme d’artiste. Une scission marquée dans les relations entre le père et son fils très autoritaire, et entre la mère et son fils d’autant plus basée sur la médiation et le partage. Ainsi qu’une relation grand-père/petit-fils d’une grande force et d’une grande sagesse. Anthony Hopkins dans le rôle de Aaron Rabinowitz est juste, je rêve de l’avoir comme grand-père dès les premiers échanges, si amoureux pour sa famille, si attentionné, avec un regard plein d’espoir de bienveillance. Le long-métrage met du temps à trouver un rythme, car d’une inertie plutôt lente, mais quand on regarde l’ensemble, nous avons un récit sincère, authentique et probant. Marquant la fin du citoyen américain qui reproduit inlassablement le modèle patriotique, familial et s’épanouit de la beauté de la vie, des gens qu’il rencontre, des opportunités qui s'offrent à lui, de son âme de créateur.
    Christophe Forey
    Christophe Forey

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Un film magnifique ! J'étais sceptique à la lecture non enthousiaste de la presse, mais j'ai été enchanté. James Gray nous raconte une histoire sensible et émouvante (son histoire). Les acteurs et actrices sont formidables, à commencer par le jeune Banks Repeta dans le rôle Paul Graff , enfant pré-ado un peu lunaire et dépassé par les événements qu'il provoque. Cette famille qui se déchire autour de cet enfant nous entraîne au milieu des contradictions du monde de cette époque. L'image du New-York des années 80 est magnifique (Darius Khondji).
    Véro F
    Véro F

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 décembre 2022
    Un excellent James Gray .Un film touchant où la description des rapports familiaux entre chaque génération est transcendée par des dialogues et des jeux d.acteurs succulents.
    bobmorane63
    bobmorane63

    159 abonnés 1 907 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 décembre 2022
    Un film autobiographique de la jeunesse du cinéaste James Gray qui arrive à nous l'exposer à l'écran avec beaucoup d'émotions !!
    Ce long métrage parle de l'enfance du réalisateur sur fond d'une Amérique des années 80 sous l'ère Ronald Reagan ou le racisme blanc/ noir était un sujet et des faits biens réels. Un jeune garçon en début d'année scolaire sympathise avec un camarade de classe noir, l'un rêve de dessins et l'autre d'intégrer la NASA, font les 400 coups en fumant par exemple du cannabis et d'autres bêtises mais cette œuvre a aussi comme sujet la famille avec un grand père vieillissant bienveillant envers le petit garçon, des parents strictes qui lui donneront une éducation correcte dans un collège dont les donateurs sont la famille Trump, un lieu bien raciste. J'ai beaucoup aimé ce très beau film, je n'ai pas vu le temps passé en le visionnant. On est happé par l'histoire d'amitié de deux enfants de couleurs différentes qui s'apprécient, par les images sublimes de Darius Khondji comme chef opérateur, par la mise en scène de James Gray qui signe un plus que correct scénario. Puis les comédiens, emmené par le petit Banks Repeta dont le film repose sur ses petites épaules, le touchant Anthony Hopkins , la belle Anne Hathaway et Jeremy Strong jouant les parents et le jeune acteur noir sont magnifiques dans leurs interprétations. J'en suis sortis très ému, c'est assez rare au cinéma depuis quelques temps et je mets un max d'étoiles mérité.
    Flower 0478
    Flower 0478

    40 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 décembre 2022
    L'histoire est intéressante mais j'ai trouvé le film long l'acteur Anthony Hopkins pour ma part c'est lui qui porte le film très bonne acteur je l'ai trouvé attachant et touchant dans son rôle de Grand père j'aime bien Anne Hathaway comme actrice mais la je l'ai trouvé effacé dans ce film je me suis pas attaché à son personnage.
    Mirobole Pancrate
    Mirobole Pancrate

    22 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 décembre 2022
    Fresque auto-biographique douce-amère dans le N-Y des années 80. C'est maîtrisé, bien interprété, légèrement engagé, gentiment cynique, mais du coup un peu trop tendre et, surtout, pas toujours passionnant. Pas un James Gray majeur à mon sens.
    rvrichou
    rvrichou

    91 abonnés 385 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 décembre 2022
    C est le cas de chacun de vivre une histoire personnelle qui s inscrit dans l histoire universelle. C est facile de dénoncer le racisme, l'antisémitisme, l injustice. C est plus difficile apparemment de faire un film captivant. Je l avoue je me suis endormi. Peut-être n avais je pas assez d atouts dans les mains pour m interesser au jeu.
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