Derniers Avis : Armageddon Time - Page 9

"James Gray revisite son enfance dans une famille juive new-yorkaise des années 1980 à travers l'amitié impossible entre deux préadolescents, l'un blanc, l'autre noir".

Un film extrêmement bien filmé et réalisé qui nous plonge dans les États-Unis des années 80. Le sujet peut paraître banal mais il est mis en scène de manière très subtile. L'histoire est touchante et montre l'importance de la famille, touche les sujets du racisme, des discriminations ...
Anthony Hopkins est impressionnant et on accroche à tous les dialogues durant les enfûtons 2h de film.
Une belle réussite.

Sur le papier, le film fait envie, mais la réalité rattrape vite tout ça ... c'est chiant a mourrir, les dialogues sont beaucoup trop longs ...

Très lent , aucun rebondissement, le sujet n'est pas traité jusqu'au bout... dommage ça aurait pu être intéressant avec un peu plus de conviction.

Comment dire ?... Dans le désordre: C'est ennuyeux, frustrant, manichéen, cliché, mou, insipide, prétentieux, vide, bien-pensant, fastidieux, soporifique, creux... La liste est longue des adjectifs rédhibitoires qui me font regretter d'avoir vu ce film et qui, assurément, ne me laissera aucun souvenir. Si ce n'est la rage de poster cette critique négative...

Autant James Gray est capable du meilleur — et encore, ça commence à dater —, autant il frôle ici le pire avec cette histoire téléguidée, d'une platitude extrême, sans ressorts d'envergure. La mise en scène est au diapason : sans inspiration et totalement atone. Comme quoi, s'appuyer sur une histoire vraie n'est pas gage de qualité.

Des cadors certains des acteurs, une palme personnelle pour Anthony Hopkins superbe , Anne Hattaway que je venais juste de quitter en cat ; Jessica Chastain qui fait une courte apparition en sœur de Trump mais chapeau bas aux deux enfants.
Je découvre James Gray et j'aime ça. J'avais déjà vu des films de lui sans savoir qui il était. On apprend tous les jours!

Hopkins et Hathaway excellents dans cette chronique de l'Amérique des années 1980.
En revanche la fin laisse un sentiment d'inachevé, presque bâclé

Une jolie pellicule pour un double clicher très prévisible sur le passage à l'âge de la conscience, et les conséquences du racisme aux États-Unis dans les années 70. A voir uniquement pour comprendre (encore une fois) le besoin de nettoyer la conscience du réalisateur qui ferait mieux d'aller voir un psy que de nous faire perdre du temps en nous livrant l'équivalent de sa thérapie dans un film où il nous confie une partie peu glorieuse de son histoire de gamin aisé et pas très malin (c'est le moins qu'on puisse dire) qui par un acte bien débile va injustement pourrir le destin de son copain black...
À la fois soporifique et tellement prévisible que c'en est énervant. Film idéal pour s'endormir ou s'engueuler avec sa copine qui voudrait que vous puissiez voir comme elle du "bon" partout même quand c'est franchement nul. Seul le grain de la pellicule est à la hauteur du jeu d'Anthony Hopkins qui se retrouve quand même dans un véritable navet.

Excellents acteurs pour un sujet dur et d actualité.
La réalisation est leche bien que parfois le film traîne un petit peu en longueur.
Un bon film à voir.

Ce n'est pas the Yards ou d'autres films plus ambitieux de James Gray, c'est une capsule temporelle plus humble à hauteur de l'enfant qu'il a été. Le personnage principal est montré sous un jour peu sympathique mais malgré tout attachant. La photo a un grain bien 70's. De grands acteurs un peu sous exploités pour Anne Hathaway .On suit cette balade dans New York sans déplaisir et à la fin on en voudrait plus. Certes pas incontournable mais un intéressant portrait de famille, d'un milieu et d'une époque.

Je n'ai pas réussi à vraiment m'intéresser à l'histoire de ce jeune garçon et de ses états d'âme. Pour tout dire, c'est quand même un peu long.

merveilleuse chronique new-yorkaise d'une famille juive durant les années 80. Vue par les yeux d'un enfant rêveur, le passage de l'enfance à l'adolescence, la découverte du collège avec son lot d'inégalités et d'injustices.
le grand-père adoré accompagne son petit-fils jusqu'au bout de ses forces.
Des acteurs somptueux, des plans sobres et tendres, le cinéma de James Gray est sensible et très émouvant. un très très grand!

J'ai beaucoup aimé ce film autobiographique très sensible qui relate le passage initiatique de l'enfance à l'adolescence dans le Queens du début des années 80.
Même si le film est ancré dans le contexte et l'histoire de l'Amérique de ces années là et au sein d'une famille juive, c'est surtout le portrait d'un enfant rêveur qui a un peu de mal à grandir et à affronter la dureté du monde. Les acteurs sont remarquables, notamment l'enfant double de James Gray et son grand père adoré, incarné par Anthony Hopkins. Film intemporel de l'adieu au monde de l'enfance, pour grandir, avec la conscience de pertes irréparables.

Très bon film, malheureusement gâché pour moi, par l'image ! Image très sombre, interieur jour, exterieur nuit...
J'ignore si c'est dû à la réalisation ou à la réalisation

Je regrette beaucoup le James Gray de The Yards et We own the night, un de mes films préférés. Le film est bien realise, les acteurs excellents et l'image travaillée , rien a dire la dessus. Mais je ressors de la salle avec une impression d'une oeuvre égocentrique, un brin prétentieuse avec un aspect didactique assez convenu et dispensable. Au final, un film mineur il me semble.