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    Poulet au vinaigre
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    3,2
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    71 critiques spectateurs

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    podilato14
    podilato14

    28 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 avril 2014
    PAS MAL, surtout la belle plastique de la malheureuse Pauline Lafont et le regard vicieux de Jean Poiret.
    DaftCold
    DaftCold

    12 abonnés 213 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 juin 2020
    Ca se laisse regarder facilement sans pour autant être passionnant. Certains plans très jolis surprendront car la majorité n'est pas forcément d'une grande réussite. Le casting propose le meilleur et le pire, ce qui forme un contraste assez surprenant.
    pierrre s.
    pierrre s.

    348 abonnés 3 231 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 septembre 2017
    Le cinéma de Claude Chabrol n'est décidément pas le mien. Nouvelle illustration avec Poulet au Vinaigre, qui d'abord m'a ennuyé puis m'a endormi!
    Gonnard
    Gonnard

    214 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 janvier 2010
    "Poulet au vinaigre", c'est un peu l'inspecteur Harry chez les ploucs. Autant le rôle de l'inspecteur Lavardin est génialissime, une espèce de roublard adepte des entorses à la loi pour arriver à ses fins, autant les autres personnages font pitié. Entre la folle à deux roues, hyper possessive et casse-couilles comme pas deux, son rejeton de fils introverti et gauche, le médecin hautain, sa bonne aussi muette que Bernardo, le pervers-serveur du bar, big moustache le pote rustre de Michel Bouquet, etc... ça ressemble plus à une foire à monstres qu'à un polar. Plus largement, c'est l'ambiance glauque du film qui m'a déplu. On se croirait un peu dans un mauvais "Derrick" (oui, je sais, peut-on dire qu'il existe des bons "Derrick" ?). L'intrigue est super confuse, même à la fin il reste des doutes sur qui est qui. Bref, pas pour moi.
    Redzing
    Redzing

    908 abonnés 4 287 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 décembre 2023
    Dans une petite ville, trois notables mettent la pression au postier et à sa mère handicapée afin de récupérer leur maison. Jusqu'à une mort qui attire un flic intrusif, l'inspecteur Lavardin...
    Si comme moi vous avez vu "Inspecteur Lavardin" avant de découvrir "Poulet au Vinaigre" (qui introduit ce personnage), vous risquez d'être déçus. Le policier n'apparait qu'au bout d'une quarantaine de minutes, et se montre assez en retrait, à part peut-être dans le tout dernier acte. Jean Poiret est néanmoins excellent, avec quelques bons mots. Par contre si ce personnage est perspicace, son mépris des procédures et ses interrogatoires dignes de la Gestapo n'en font pas vraiment un fin limier (il sera plus finaud dans le film suivant !).
    Mais l'enquête n'est pas ce qui intéresse Chabrol. Qui ménage son intrigue policière pour dresser un portrait de la petite bourgeoisie, comme à son habitude. C'est froid et antipathique, ça ne plaira pas à tout le monde. Entre nos notables infects, le facteur hagard (un tout jeune Lucas Belvaux), sa maman givrée, et sa sublime collègue qui le drague inexplicablement (Pauline Lafont, au milieu de sa courte carrière), les personnages ne sont guère attachants !
    Mais aujourd'hui, il y a quelque chose d'amusant à voir ce portrait très rétro et authentique de la France des années 80. Car Chabrol aime à représenter la vraie vie en région, et ne s'enlise pas chez des bourgeois parisiens.
    Citroen CX ; gros billets & paiements en espèces ; importance des lettres & télégrammes, et par extension des postiers : toute une époque !
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 087 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2022
    Après sa période glorieuse des années 1969 à 1974 durant laquelle il met en scène cinq films policiers très sombres où il fustige les mœurs étriquées de la bourgeoisie à travers l’observation des relations adultérines où des déviances sexuelles de ses membres, Claude Chabrol connaît un passage à vide à trop vouloir se disperser. En 1978, il se relance avec « Violette Nozière » qui relate le parcours complexe et sordide de celle qui défia la chronique judiciaire entre 1934 et 1935, convaincue d’avoir empoisonné son père et sa mère. Il collabore alors pour la première fois avec Isabelle Huppert qui l’accompagnera au total pour sept films. Vient ensuite « Les fantômes du chapelier », adaptation de Georges Simenon tout-à-fait remarquable avec Michel Serrault et Charles Aznavour. Le réalisateur prouve au public mais sans doute aussi à lui-même qu’il n’est jamais meilleur que lorsqu’il ausculte les âmes via des intrigues policières où son sens du détail et l'atmosphère distillée font mouche. Alors revenu au premier plan, il continue dans la même voie lorsqu’il rencontre Dominique Roulet auteur d’une série de romans policiers mettant en scène un inspecteur iconoclaste, sorte d’inspecteur Harry sauce bourguignonne sans le magnum 44 qu’il a remplacé par un humour cynique et une brutalité verbale tout aussi efficace. Jean Poiret qui endosse le rôle est l’acteur idéal, doté d'une élégance chafouine pouvant en un clin d’œil se transformer en langage ordurier et coups de bottin généreusement distribués. Mais l’inspecteur Lavardin arrive bien tardivement dans ce « Poulet au vinaigre » qui démarre sur un rythme de sénateur un peu pesant, permettant toutefois à Chabrol de dresser un portrait acéré d’une bourgeoisie normande ratatinée sur elle-même au sein de laquelle trônent un Jean Topart, un Michel Bouquet et une Stéphan Audran délectables à souhait. Jean Poiret débarque dans cette torpeur générale où tout ce petit monde grenouille pendant que les cadavres s’empilent. Les affaires sont dès lors rondement menées par le biais de face-à-face jubilatoires remplis de perversité et de dérision entre l’inspecteur et les principaux suspects. Notamment les deux entretiens successifs entre Poiret et Topart puis avec Bouquet valant leur pesant d’or et faisant monter d’un cran la qualité d’un film parfaitement honorable qui n'atteint toutefois pas celle des cinq pièces maîtresses évoquées plus haut. On admirera au passage la beauté de la toute jeune et regrettée Pauline Lafont qui en sus de la gouaille de Bernadette, sa mère, semblait aussi en posséder le talent avant qu’elle ne se perde à jamais dans ses Cévennes natales.
    Hotinhere
    Hotinhere

    410 abonnés 4 728 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2021
    Un polar à l'humour noir pas déplaisant mais manquant de rythme, qui dresse un tableau au vitriol de la bourgeoisie provinciale, porté par une excellente interprétation et notamment le savoureux inspecteur Lavardin incarné par Jean Poiret.
    Santu2b
    Santu2b

    213 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 janvier 2023
    En 1985, Claude Chabrol s'attaque à l'oeuvre de Dominique Roulet avec "Poulet au vinaigre". Sous l'angle du polar, le cinéaste poursuit son exploration de la bourgeoisie de province, et de ses faux semblants. Confrontant une fils postier vivant avec sa mère infirme avec un petit cercle de notables, le cinéaste dévoile un monde de magouilles et de rancoeurs tenaces. Le film, sans être un sommet dans l'oeuvre de Chabrol, reste captivant. Apparaissant au bout de 40 minutes, Jean Poiret excelle dans le rôle de l'inspecteur Lavardin, sorte de faux calme amateur de bonne chère. On en sort plutôt rassasié.
    gabdias
    gabdias

    74 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 avril 2021
    C.Chabrol et une adaptation des enquêtes de l’inspecteur Lavardin, un polar honnête dans un cadre de la bourgeoisie de province, l’interprétation est souvent too much malgré pourtant un casting 5 étoiles et expérimenté. Au final un espèce de téléfilm policier au dénouement simpliste.
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 764 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 août 2023
    Vu à sa sortie en salle et oublié depuis.
    Claude Chabrol aime la province et sa petite bourgeoisie comme le notaire Lavoisier (Michel Bouquet) et le médecin Morasseau (Jean Topar). Il aime aussi les petites gens comme le jeune facteur Louis Cuno (Lucas Belvaux), fils d’une mère aigrie (Stéphane Audran), et Henriette (Pauline Lafont) employée à la Poste et amoureuse du brave facteur.
    Claude Chabrol aime aussi prendre son temps pour installer la scène d’exposition. Un peu trop longue à mon goût. Son inspecteur Lavardin sous les traits espiègles de Jean Poiret apparaît après 41 minutes de jeu.
    C’est long.
    Ce poulet aurait pu virer au vinaigre tant l’enquête menée par Lavardin m’a paru presque secondaire. Elle ne m’a pas du tout convaincu. Je l’ai trouvée précipitée et très superficielle. Pas plus je n’ai été convaincu des méthodes musclées dudit inspecteur : je ne crois pas au jeu des acteurs où Jean Poiret emploie la force physique pour maltraiter le notaire et le facteur.
    Réalisation et scénario sont un peu datés.
    Toutefois, la distribution sympathique de ce « Poulet au vinaigre » avec l’apport coquin de Pauline Lafont reste tout à fait digeste.
    PS : une pensée pour Caroline Cellier...
    Chevtchenko2
    Chevtchenko2

    39 abonnés 1 136 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 juillet 2023
    Un flic aux méthodes très « brutales » mène une enquête sur le meurtre d’un boucher dans un village sans histoire. Le film met trois plombes à commencer. Pendant une heure, il ne se passe pas grand-chose, ça manque clairement de rythme. L’inspecteur arrive beaucoup trop tardivement et trouve le coupable après deux ou trois interrogatoires musclés. Même si le dénouement est intéressant, celui-ci est très mal amené. J’ai donc trouvé ce film complètement bancal malgré quelques idées intéressantes. On est plus proche d’un téléfilm.
    Starwealther
    Starwealther

    48 abonnés 1 161 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 août 2021
    Une énième enquête policière pour ce film de Claude Chabrol utilisant à nouveau l'inspecteur Lavardin (Jean Poiret). Le milieu rural est encore le lieu propice à toutes les bassesses. Le casting est excellent avec une Stéphane Audran jouant une veuve devenue handicapée et complètement folle, Michel Bouquet interprète un notaire véreux et menteur. Je découvre avec beaucoup d'étonnement Pauline Laffont, une actrice à la plastique absolument superbe mais disparue trop tôt à l'âge de 25 ans dans des circonstances mystérieuses. Un bon Chabrol
    rocky6
    rocky6

    26 abonnés 1 620 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mai 2019
    Un film policier à l'ambiance particulière, typique de Chabrol. C'est surtout la présence de l'inspecteur Lavardin (qui d'ailleurs apparaît tardivement) qui donne une tonalité si particulière au film. Poiret est formidable dans son rôle et donne à Lavardin un caractère bien particulier. Le personnage est truculent et ses méthodes peu orthodoxes le rendent finalement très attachant.
    Roub E.
    Roub E.

    726 abonnés 4 820 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 décembre 2021
    C’est du pur Chabrol, un crime, une critique acerbe de la bourgeoisie provinciale, ses travers, ses convoitises, ses mesquineries, ses cachoteries. L’humour noir et un côté pince sans rire définissent parfaitement ce film à l’image du personnage de l’inspecteur Lavardin interprété pr l’excellent Jean Poiret qui relance complètement le film quand il apparaît. On peut cependant reprocher un manque de rythme et un manque de nuance chez certains personnages mais on s’amuse quand même.
    Loïck G.
    Loïck G.

    281 abonnés 1 626 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 janvier 2024
    Claude Chabrol a tant fait pour le cinéma français que l’on ne lui en voudra pas d’avoir raté la cuisson de ce « Poulet au vinaigre » rance et sans consistance. Un polar dans une bourgade tricolore où les notables ne sont pas bon à mettre tous à la même table. Si ce n’est celle des aveux quand les accidents et fuites à l’étranger deviennent de plus en plus suspects aux yeux du commissaire Lavardin qui débarque dans la ville pour y remettre un peu d’ordre. Sa descente épice enfin cette histoire peu palpitante menée de façon très prosaïque par un réalisateur un brin dépassé par la superbe affiche qu’il s’est offerte. Alors saluons l’avènement de Jean Poiret en flic pas très orthodoxe et celle de Lucas Belvaux encore tout jeunot dans son rôle de postier amoureux transi de la belle Henriette. Pauline Lafont tout en grâce et bavardage dont le souvenir se ravive à la vue de cette présence qui aurait dû porter le cinéma hexagonal des années durant.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
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