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    Lupin III: The First
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    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    579 abonnés 2 749 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 octobre 2020
    Il faut certainement beaucoup aimer mangas et animés originels pour apprécier cette nouvelle adaptation de Lupin III que gonflent des effets numériques envahissants et que dessert un scénario très cliché puisqu’axé sur la Seconde Guerre mondiale avec ses méchants Nazis aux sourires figés et à l’accent à couper au couteau. Le principal défaut de ce long métrage tient à l’écriture des dialogues qui échoue à rendre son duo de personnages attachant : tout est sans cesse expliqué, explicité, ce qui donne lieu à des bavardages continus entrecoupés de courses-poursuites illisibles parce que dépourvues du moindre rythme. Le montage charcuté n’arrange rien... Et si le soin apporté à l’animation et la qualité de la composition des plans ravissent de temps à autre la rétine, forts d’une partition musicale empreinte de jazz que signe Yūji Ōno, ils ne sauraient suffire à distinguer ce film du tout-venant du film animé d’action contemporain.
    Frederic S
    Frederic S

    36 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 octobre 2020
    bon scénario et bluffant de réalisme.
    un bon petit film d animation japonais......................
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    590 abonnés 2 705 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Lupin III, malgré son approche parfois trop enfantin, parviens à séduire. Notamment grâce à ses quelques fulgurances visuelles, et ses hommages appuyés à Indiana Jones et James Bond. Un bon divertissement, qui rend honneur à la franchise Arsène Lupin
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    676 abonnés 1 416 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Mais quelle lourdeur !
    Basé sur le manga éponyme au succès mondial, ce film d'animation japonais nous transporte dans les aventures extraordinaires de Lupin III, le petit-fils d'Arsène Lupin, cherchant ici à récupérer le fabuleux journal de Bresson que même son illustre grand-père n'a jamais réussi à dérober.
    Sur le papier, l'histoire pouvait paraître convaincante, mais le souci principal est que tout est "trop" dans ce film : le héros est trop caricatural (à la limite du lourd), le policier à ses trousses trop enragé, les méchants nazis trop grotesques, sa fan numéro un trop prévisible et le scénario globalement trop déjanté.
    C'est le style manga me direz-vous ? Peut-être, mais je n'ai pas totalement adhéré !
    Si vous êtes fan du genre, ça ira, sinon, bon courage !!
    Site CINEMADOURG.free.fr
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 146 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Il suffit de voir le générique pour comprendre.
    Oui, ce « Lupin III » a un charme, c’est certain ; un charme qu’il tirera pour l’essentiel de sa série originale.
    D’abord il y a ce personnage de Lupin aux faux airs de Bébel, mais aussi cet univers gentiment bordélique qui pioche un peu dans tout et dans n’importe quoi, et puis surtout ce goût prononcé pour la cabriole bien plus que pour la cambriole.
    Et je ne vais pas vous mentir, sitôt j’ai entendu les premières notes du célèbre thème de « Lupin III » – un bijou d’énergie et d’années 70 que je me suis déjà écouté des centaines de fois sans me lasser – j’ai ressenti ces petites vibrations qui ne m’assaillent que très rarement au cinéma.

    Seulement voilà, il était dit que ce générique était voué à annoncer tout ce qui allait advenir – et notamment la terrible déconvenue qui allait s’en suivre – car en même temps que je vibrais pour la musique je sentais en parallèle que le moteur était déjà en train de se gripper.
    L’élan insufflé par la musique s’avérait lesté. La mise en scène qui aurait dû accompagner cette puissance dynamique était à côté de ses pompes. Pas de punch. La coupe molle. Le mouvement trop peu saillant…
    Un détail diront certains… Mais de mon point de vue il s’agissait bien plus là d’un véritable fardeau.
    …Un fardeau amené à gâcher tout le plaisir.

    Parce que le problème avec ce long-métrage « Lupin » c’est qu’il est désespérément plat.
    A dire vrai la mise en scène n’est qu’une des multiples déclinaisons formelles de tout ce qui cloche dans ce film.
    Alors certes l’image est très soignée, on s’efforce de respecter le matériau original en mobilisant pas mal de figures de l’animé original et l’intrigue sait à la fois jouer la carte de la grandiloquence attendue d’une adaptation au grand écran de l’œuvre de Monkey Punch. Sur tous ces points-là, rien à redire : c’est du travail tout ce qu’il y a de plus honnête.
    Seulement voilà le problème c’est que le cinéma ça ne s’arrête pas qu’à ça.
    Le cinéma c’est de l’image mise en mouvement. C’est de la rythmique. C’est une orchestration savante de tous les aspects formels pour qu’à un moment donné on ait l’impression que ça prenne vie.

    Or là, dans ce « Lupin III », l’élan est désespérément atone.
    Les plans sont longs, les transitions s’enchainent selon un rythme régulier quelque-soit la nature de l’instant, le cadre ne parvient jamais à sortir d’une banale forme d’illustration.
    De même, à force de s’enchaîner les scènes révèlent des choix curieux en termes de mise-en-scène. Parfois on s’étale dans des discussions un brin longuettes alors que d’un autre côté on opère des ellipses assez violentes qui peuvent passer à côté de l’essentiel.
    spoiler: Je pense notamment au moment où Lupin et Laëtitia décident de s’associer pour retrouver le livre de Bresson. A peine l’accord est-il acté que les deux aventuriers se retrouvent planqués dans les caisses d’un cargo. Pourquoi ? Comment ? Dans quel but ? Tout ça n’est pas clairement dit. Il est juste question d’un rendez-vous mais dont on ne sait pas grand-chose. Et quand soudain un immense avion vient se poser, une transition s’opère brusquement au sein du repère de Lambert et de Geralt. On remarque alors que Lupin et Laetitia sont là. Par déduction j’ai fini par me dire que le repère était certainement dans l’avion mais sans en avoir la certitude sur l’instant. Et c’est con parce que franchement, l’idée d’avoir un repère avec des vieilles bibliothèques à l’intérieur d’un avion de combat ça envoie vraiment pas mal, du coup c’est aurait quand même une phase où on le découvre !

    D’ailleurs, il faut savoir que durant tout le premier tiers du film, la réalisation opte d’ailleurs assez régulièrement pour la transition en fondu enchainé. C’était comme si le cut était perçu comme quelque-chose de trop brutal alors du coup on amortit tout.
    Ça donne en conséquence un film mou qui n’arrive pas à faire impacter quoi que ce soit.
    Et vu que l’intrigue et les personnages ne sont pas des trésors d’inventivité et de profondeur non plus, cette mise-en-scène a un effet anesthésiant des plus pénalisants.

    Et franchement c’est triste, parce que sur la longueur ce « Lupin III » parvient à poser quelques bonnes idées qui auraient pu faire de lui un spectacle frais et charmant.
    Le dernier tiers avec l’exploration de la cave de l’Eclipse est assez sympa. Et cette idée de faire intervenir un Hitler ayant survécu à 1945 est aussi – l’air de rien – quelque-chose d’assez original et culotté.
    La frustration n’en est donc pour moi que plus grande. Le fait de constater qu’il y avait un fond intéressant dans ce film mais que c’est au final la forme qui le savate en grande partie ne peut générer que d’autant plus de regrets…
    …Des regrets et des questions.

    Parce qu’en effet, avec le recul, il y a quand-même des choix qui questionnent.
    Il m’a suffi de me refaire un épisode de la série originale en rentrant chez moi pour que certaines évidences me sautent aux yeux.
    Alors certes, un épisode de « Lupin » à la base c’est aussi assez figé. On sent qu’on a affaire à du manga un peu fauché qui économise de l’animation un peu partout. Les foules sont immobiles, les visages sont rigides et les discussions dans les lieux clos, sans mouvements, sont bien plus nombreux qu’il n’y parait…
    Seulement voilà, à l’époque on a visiblement conscience de ces contraintes alors on les compense avec plein d’autres choses. On créé des dynamiques à l’écran en jouant sur des contre-plongées, on enchaine les postures et les expressions très signifiantes, on multiplie les zooms ou rotation, on enchaine les coupes et les effets de rupture, on habille avec des musiques… Et surtout on fait ça avec la cohérence et le savoir-faire pour que ça fonctionne ; pour qu’on ressente la tension et l’aventure alors que, dans les faits, il n’y a pas grand-chose à l’écran.

    Mais là, dans ce « Lupin III : The First » on a presque tout l’inverse.
    C’est comme si le choix qui a été fait d’animer en images de synthèse avait bousculé et perturbé toute la grammaire visuelle de la série.
    Vu qu’avec cette méthode, les contraintes en termes de nombre de valeurs de plans différentes, de mouvements ou de détails dans l’image ne se posent plus de la même manière, plus rien n’est géré de la même façon. Ainsi se retrouve-t-on désormais avec une image très belle mais en contrepartie on a perdu toute la percussion de la mise-en-scène.
    Pire, dans ce nouveau cadre où tout devient plus souple, les jeux de gestuelles en deviendraient presque étranges. Comme ils ont voulu garder la gestuelle de Lupin mais que la fluidité de l’animation rend désormais caduques ses longues poses figées, alors Lupin se retrouve désormais à bouger partout et tout le temps sans raison particulière.
    Et le problème se retrouve aussi sur les scènes d’action. Entre d’un côté les scènes très cartoon et de l’autre ce rendu visuel assez réaliste, l’osmose ne prend pas toujours.
    En fait il aurait fallu faire des choix : soit acter le changement de mode de production et dans ce cas là revoir totalement l’identité visuelle de la série, soit vouloir rester fidèle aux gestuelles et la grammaire de la série et dans ce cas faire de l’animation classique.
    Or, ce choix-là, il n’a pas été fait, ce qui explique certainement cette mise-en-scène qui ne sait pas où se poser au point d’en perdre jusqu’à sa grammaire la plus élémentaire.

    Alors oui, d’accord, oui c’est vrai que ce « Lupin III : the First » n’est pas malhonnête, ça je l’entends. Mais malheureusement il n’est pas vraiment pertinent non plus.
    Être fidèle à une série qu’on adapte, ce n’est pas seulement reproduire des personnages, des intrigues et une esthétique. Être fidèle à une série qu’on adapte c’est aussi être fidèle à une atmosphère et à un esprit. Or ça, ça se traduit aussi par la forme ; par la mise en scène.
    Et sur ce plan-là, je suis désolé, mais ce « Lupin III : the First » passe à côté de l’essentiel.
    Il n’a ni le sel, ni le rythme, ni le relief de l’œuvre qu’il entend adapter.
    Il est juste tristement plat.
    Et faire du cinéma plat, non seulement ce n’est pas rendre hommage au travail de Monkey Punch, mais ce n’est clairement pas non plus rendre hommage au cinéma tout court…
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 171 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 octobre 2020
    “Lupin III” est un personnage de fiction créé en 1967. Le petit fils du gentleman-cambrioleur Arsène Lupin a été adapté en mangas, séries animées, téléfilms et films d’animation. En 2020, le héro est adapté pour la première fois en CGI, une technique d’animation en 3D. Visuellement très attrayant, “Lupin III : The First” propose une aventure effrénée où notre héro s’associe à une jeune femme pour mettre la main sur le journal du professeur Bresson, vingt ans après la Seconde Guerre Mondiale. Sur fond d’Indiana Jones et James Bond, l’histoire s'avère palpitante grâce à l’humour et au dynamisme des personnages. Le scénario connaît quant à lui quelques faiblesses, mais l’animation dès 10 ans trouvera à coup sûr son public.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    cortomanu
    cortomanu

    63 abonnés 403 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 octobre 2020
    J'étais curieux de découvrir ce dessin animé. A l'arrivée, ne reste que de l'agitation supposée être de la virtuosité, un scénario et des dialogues indigents, des personnages réduits à quelques traits sans finesse, un humour pénible, des situations à gros sabots simplets...
    Quel ennui !
    7fabcool7
    7fabcool7

    47 abonnés 595 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Somptueux, super images de synthèse carrément magnifiqueS. Une belle aventure! on est pris dedans dés le début : 1h30 qui passe vite. A voir absolument en vue des comédies françaises catastrophiques et ridicules qu'on nous propose en ce moment! A voir au ciné. Bluffant.
    Roub E.
    Roub E.

    732 abonnés 4 823 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2020
    Je le qualifierai de Blockbusters d’animation. Cette histoire de Lupin 3e du nom est un concentré d’aventure, d’action, de malice qui lorgne sur le film populaire français à la Belmondo, un gros côté Indiana Jones et un aspect familial presque Disney. Extrêmement rythmé, la première partie m’a vraiment accroché et scotché. Malheureusement le film a tendance à se déliter un peu au fur et à mesure, il finit par abuser de facilités scenaristiques un peu comme s’il perdait sa maîtrise en voulant toujours en faire plus. La galerie de personnages fonctionne bien mise à part le personnage de Laetitia qui devient trop la jeune fille en détresse au fur et à mesure que le film avance. Au niveau artistique c’est remarquable, c’est beau, très bien mis en scène et tout est fait pour rendre grâce à l’action au rythme. Il a un aussi un côté cartoon, enfantin à l’image de son personnage de Lupin à la fois malin, espiègle, provocateur très adolescent dans sa manière d’être. Bref c’est un bon film d’aventure familiale qui s’il souffre de quelques problèmes d’écriture s’avère extrêmement soigné.
    Cinévore24
    Cinévore24

    299 abonnés 596 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Malgré un scénario téléphoné et des méchants caricaturaux, cette nouvelle adaptation en images de synthèse fait plutôt le taf.

    Divertissante sans être exceptionnelle, cette course au trésor fonctionne notamment grâce à son rythme frénétique et ses scènes d'action qui défient les lois de la gravité, ainsi que son animation, cartoonesque et classe à la fois.
    Citrouilleman
    Citrouilleman

    61 abonnés 584 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2020
    Un scénario déjanté, des personnages haut en couleurs et excessifs au possible, une très belle animation qui ravira les fans du genre. Des aventures délirantes, d'une facilité déconcertante, mais agréables et faciles à suivre. Un bon moment en perspective. J'aime bien.
    Sly F.
    Sly F.

    10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 octobre 2020
    Le film est fidèle au manga - l'esthétique graphique est trés bien conservée, on retrouve les mêmes visages et les mêmes silhouettes. Les personnages sont à leur place. Le scénario n'est pas davantage élaboré non plus. Cela ne gâche pas l'excellent travail de transposition. J'ai adoré.
    selenie
    selenie

    5 437 abonnés 6 016 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Le début donne surtout une incohérence chronologique (10 ans après ?! âge de Laëtitia ?! années 60 ?!), dommage mais on prend un réel plaisir dans un trip fidèle au délire manga dans la forme, et qui sur le fond fait surtout appel à d'autres références et/ou inspirations comme "Indiana Jones" et "Spider-Man". La dernière demi-heure est nettement moins intéressante, on est trop dans du pompage, avec un Lupin presque à se faire voler la vedette par la belle Laëtitia. Au vu de l'attente et du potentiel le film reste une petite déception donc, mais esthétiquement ça reste une petite claque visuelle, Lupin/Edgar et son équipe restent un régal de cool attitude, le rythme est bien géré avec un mixte action/humour savamment dosé. Un très bon moment donc, mais avec un chouïa d'objectivité on précisera que la note reste très indulgente.
    Site : Selenie
    Philippe Moreau
    Philippe Moreau

    11 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 octobre 2020
    Vous attendiez une version dessin animé de James Bond. Vous y êtes. Vous allez être pris par l'aventure, les personnages avec leur lots de méchants. Ma fille adolescente a adoré. Et les images sont superbes.
    Yetcha
    Yetcha

    745 abonnés 4 292 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 novembre 2020
    Ce Lupin III, le premier en image de synthèse est tout simplement une superbe réussite. Il est beau, il est drôle, il est dynamique, il est respectueux de l'œuvre originale classique. L'auteur Monkey Punch n'a malheureusement pas eu le temps de le voir achevé mais peut être fier du passage à la "3D". Le respect des attitudes et des démarches des personnages préserve le côté "manga" indissociable de la franchise et ce n'était pourtant pas gagné car trop souvent le côté burlesque est gommé par la passage aux CGI. Mais pas ici et c'est là toute la réussite de cette œuvre. La musique de Yuji Ono est toujours aussi envoutante et apporte une vraie valeur ajoutée à l'ensemble. Une modernisation de Lupin III extraordinaire à ne pas rater.
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