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    Halloween Ends
    Note moyenne
    2,7
    14 titres de presse
    • Mad Movies
    • Critikat.com
    • Dernières Nouvelles d'Alsace
    • Ecran Large
    • L'Ecran Fantastique
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Figaro
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Parisien
    • Positif
    • Télérama
    • Cahiers du Cinéma
    • Les Inrockuptibles
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    14 critiques presse

    Mad Movies

    par Alexandre Poncet

    La trilogie révèle avec ce dernier chapitre un commentaire politique assez complexe, qui amène Green à questionner le rapport de ses concitoyens aux armes, à l'autodéfense, à la justice et plus généralement à l'autre.

    Critikat.com

    par Jean-Sébastien Massart

    Le dénouement attendu est inversé : au lieu de boucler, le film défait ; au lieu de satisfaire des attentes narratives, il déprogramme ; au lieu de s’intéresser au tueur masqué, il regarde ailleurs.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Dernières Nouvelles d'Alsace

    par Thibault Liessi

    La trilogie filmée depuis 2018 par David Gordon Green ayant un fort sous-texte politique, "Halloween ends" a puisé ses inspirations dans la pandémie de Covid, mais aussi dans sa propre histoire, pour proposer une conclusion maligne, assez juste, mais cependant toujours sanglante.

    Ecran Large

    par Mathieu Jaborska

    Passionnant quand il met en scène l'agonie symbolique d'un boogeyman légendaire, beaucoup plus maladroit sinon, Halloween Ends est à l'image du reste de la trilogie : très bancal, mais audacieux.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    L'Ecran Fantastique

    par Jean-Pierre Andrevon

    Moins violent que le précédent, à part la rencontre finale dont nous ne dirons rien, le film sait s’attarder sur la vie quotidienne dans la petite ville, réussissant, par ses angles de prise de vue, un montage cut, une musique pour une fois efficace sans débordement, à imposer une ambiance de menace imprécise [...].

    Le Dauphiné Libéré

    par Thibault Liessi

    Une conclusion maligne, assez juste, mais cependant toujours sanglante.

    Le Figaro

    par É.S.

    Malgré ses cheveux blancs, Jamie Lee Curtis a encore des comptes à régler avec Michael Myers. Depuis le « slasher » original de John Carpenter (1978), la recette n'a pas beaucoup changé et les meurtres à l'arme blanche sèment toujours la terreur à Haddonfield, dans l'Illinois. On peut voir.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Journal du Dimanche

    par Stéphanie Belpêche

    S’appuyant sur l’angle intéressant de la transmission du mal, la saga se réinvente. Dommage que la dernière partie du film rentre dans les rails.

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

    Le Parisien

    par La Rédaction

    Pas très original, pauvrement référencé et faiblement interprété pour les rôles secondaires, cet « Halloween Ends » s’avère en deçà des meilleurs comme ceux de 1978 ou de 2018. Ils se consoleront avec les deux personnages féminins principaux (...).

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Positif

    par Philippe Rouyer

    Les inconditionnels de la saga s’amuseront à relever les clins d’œil et les variations sur une même situation à plus de quarante ans d’écart (Jamie Lee Curtis cachée dans la penderie). Mais on attendait un peu plus de David Gordon Green.

    Télérama

    par Cécile Mury

    David Gordon Green a encore frappé, et plutôt fort. Dans l’ultime volet de sa trilogie, en salles, le mal devient effroyablement contagieux, mais presque invisible. Un remake qui sort du lot des innombrables suites du classique de John Carpenter.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Cahiers du Cinéma

    par Yal Sadat

    Introduisant un nouveau personnage d’assassin (pauvre hère semblant venir tout droit de chez Stephen King), [David Gordon Green] fait jouer à plein le principe de passation, donc de contamination ; mais son beau portrait s’étrangle vite dans l’illustration boiteuse d’une alliance entre deux incarnations diaboliques, dont l’une donnera peut-être lieu à une nouvelle franchise.

    Les Inrockuptibles

    par Théo Ribeton

    Le dernier volet de la trilogie de David Gordon Green a l’arrogance de vouloir clore définitivement la saga et y ajoute l’impolitesse de bâcler sa copie.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Première

    par François Léger

    (...) le film n’atteint jamais la portée symbolique qu’il semble viser, la faute revenant à la fois à Green (en service minimum dans la mise en scène) et à un traitement presque grotesque du sujet, enchaînement de raccourcis scénaristiques et de nouveaux personnages désincarnés.

    La critique complète est disponible sur le site Première
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