Avis : Vacances romaines - Page 5

Du tres grand William Wyler... Le brillant cinéaste américain signe avec "Vacances Romaine" une des plus belles romances de l'histoire du cinéma, et mettant en scene Audrey Hepburn et Gregory Peck, tout deux naturellement formidables ! Un film d'une tres grande beauté, plein d'émotions et de légèreté, raconté de manière fascinante et superbement mis en scene. Un film magnifique.

Vacances romaines est une belle comédie romantique portée par un très beau duo Gregory Peck – Audrey Hepburn.
Les deux personnages principaux sont sympathiques. Leur romance est assez original par rapport aux autres films du genre. L'histoire est assez belle (avec un final évitant toutes formes de mièvrerie). Les quelques touches d'humour marchent plutôt bien.
Le charme d'Audrey Hepburn marche comme jamais, et est parfaitement contre-balancé par la sobriété du jeu de Gregory Peck.
Enfin, une comédie romantique qui sort un peu du lot.

(...) Bon évidemment, c’est une histoire d’amour. Sur le papier c’est presque cliché : une belle ville, une belle fille, un beau mec… Des mensonges, des secrets etc. Mais voilà c’est les fifties et c’est délicieux. Suante et fraiche : Rome brûlante, Rome omniprésente ! La ville dévore la caméra, s’immisce, se glisse dans tous les plans. Cette immersion dans la capitale n’est pas sans rappeler Le voleur de bicyclette (1949). Mais là où De Sica en faisait l’amphithéâtre d’un drame, Wyler utilise l’énergie abondante de la foule, le magnétisme antique du Colisée pour légitimer cet amour d’un jour (...) Audrey Hepburn toujours plus jolie en noir et blanc (Ariane, Sabrina de B. Wilder) s’élève définitivement en figure d’une élégance disparue sous la caméra de W. Wyler à l’ombre des arcades. Égérie gracieuse, forte ou fragile, on ne sait pas trop, mais rayonnante de bout en bout de ses vacances romaines.

Quelle fraicheur si rare. Un romantisme qui donne une soirée réussie. Et tout cela en Italie à Rome.

Une perle ce film ! Du beau et grand Wyler !

Des scènes très drôles spoiler: (la scène où Joe lève le drap pour qu'Anya tombe sur le canapé)
et un trio très sympathique. On passe un très bon moment à voir cette histoire très bien écrite et bien dramatique. spoiler: (on retiendra aussi le jeu d'Audrey dans sa dernière apparition et le dernier plan en travelling arrière, très frustrant)

Vacances romaines est un film simple et délicieux sur une jeune princesse d'un pays européen inconnu qui en a assez de sa routine programmée et qui veut s'en défaire. À Rome lors d'une tournée européenne la princesse Audrey simule une maladie et s'enfuit pour une journée de plaisir. Hepburn et Peck forment un couple si séduisant et le réalisateur William Wyler obtient de nombreux plans magnifiques de Rome, dont la Fontaine de Trévi, la Place d'Espagne, le Château Saint-Ange et bien sûr la scène classique qu'ils ont à la Bocca della Verità. Tout cela en fait un film très romantique. Hepburn a joué son rôle à la perfection exprimant la frustration et la joie que lui procure ainsi que la retenue qui découle du fait d'être un membre de la famille royale. Parmi plusieurs autres la scène où elle se fait couper les cheveux courts est captivante et il n'est pas étonnant qu'elle ait remporté un Oscar pour son interprétation. La performance de Peck est également excellente et Eddie Albert réussit assez bien le rôle d'un jeune voyou malgré ses 47 ans à l'époque. Je ne gâcherai pas la fin sauf pour dire qu'elle est touchante et poignante et parfaitement tournée dans le Palazzo Colonna. C'est juste une comédie romantique avec sa part de sottises mais c'est tellement magique qu'elle se place tête et épaules au-dessus de tant d'autres du même genre...

Une comédie romantique charmante, au ton léger et désinvolte, agréable mais jamais passionnante. Car "Vacances romaines" a peu d'intérêt si se n'est son actrice principale, la délicieuse Audrey Hepburn, qui illumine l'écran à chacune de ses apparitions. Elle est parfaite dans le rôle de la princesse Ann, écrasée par ses fonctions et la rigidité du protocole et rêvant de liberté. Liberté qu'elle connaîtra durant 24 heures aux côtés de l'élégant Gregory Peck et qui lui permettra d'entrer dans l'âge adulte après tant d'années infantilisée par des conseillers ne la laissant décider de rien. Hepburn, l'actrice à la taille de guêpe et aux yeux de biches, est comme toujours la grâce personnifiée, tour-à-tour radieuse, espiègle, naïve, ennuyée, mais tous ça avec la classe et la dignité qu'on lui connaît. S'il ne faut voir "Vacances romaines" que pour une raison, c'est bien elle.

Les vespas, les glaces italiennes, le soleil, rien ne manque dans cette escapade au cœur de la ville éternelle ! Les deux personnages principaux, interprétés par Audrey Hepburn et Gregory Peck, forment un duo à l'énergie communicative et entraînent le spectateurs dans leurs flâneries dans les ruelles de Rome. Quelque chose de vrai s'échappe de cette promenade touristique, on y croit de bout en bout et je me suis reconnu dans plusieurs scènes. Une bonne partie du film repose sur les épaules d'Hepburn, qui joue avec un grand naturel, et c'est un plaisir de la voir sourire à chaque nouvelle découverte. On comprend aisément pourquoi elle a envoûté le personnage de Peck. Leur idylle rappelle beaucoup celle de Lost in Translation mais elle est beaucoup plus éclatante, elle vous met du soleil dans la tête ! Et cette histoire se conclut avec un plan final magnifique. Il faudrait presque voir le film juste pour cette scène tant elle est réussie. Ce break à Rome est décidément très rafraîchissant. Un film qui possède beaucoup de charme.

C'est un très beau film. gregory peck et Audrey hepburn sont définitivement des figures incontournables de l'âge d'or hollywoodien, et nous le prouvent une fois de plus.

Voilà ce que l’on peut appeler un film parfait. Ce joli conte de fée n’a pas pris une ride 55 ans après sa sortie. De par sa simplicité il fait montre d’une véritable modernité . Débarassé de toutes les lourdeurs qui pouvaient encombrer les mélos ou les comédies des années 40 et 50 le film est éclatant comme les bulles de champagne. Dans la même veine mais en moins réussi Hitchock avait tenté le même pari avec « La main au collet » deux ans plus tard.. L’histoire est un écrin pour la toute jeune Audrey Hepburn qui éclot dans ce conte de fées tel un papillon sorti de sa chrysalide. Gregory Peck est parfait dans le rôle du prince charmant d’un jour. Rome est là pour magnifier l’ensemble. Donald Trumbo le scénariste ménage une fin tout à fait subtile qui crédibilise l’histoire. Bravo !

Un film qui réuni deux de mes acteurs préférés, forcément, je me devais de le voir. "Vacances romaines" est une petite comédie romantique des années 50, bien plaisante et pas aussi cul-cul que certains pourraient le penser; elle est beaucoup moins prévisible qu'elle n'y paraît. spoiler: Surtout pour la fin car, s'agissant d'un amour impossible, ils ne finissent pas ensemble.
Le cadre est sublime. C'est frais, sympathique, léger. Le duo Hepburn / Peck fonctionne à merveille. D'ailleurs, je regrette qu'ils n'aient fait qu'un seul film ensemble. Notons que Miss Hepburn a obtenu l'Oscar de la meilleure actrice pour son rôle.

Une jeune princesse en tournée dans les capitales européennes fait escale à Rome. Elle s’échappe de son palais, s’endort sur un banc public ou la trouve un journaliste fauché. Le temps d’une journée il va lui faire découvrir Rome, la vraie vie et l’amour. Histoire drôle et bien construite ; joli conte de fée enjoué, frais, distrayant ; construit avec rythme, légèreté ; interprété avec classe et le charme pétillant d’Audrey Hepburn sur fond de balade touristique dans Rome.

Qu’Audrey Hepburn est belle dans son premier grand rôle dans un film … avec les cheveux longs ou avec les cheveux courts, habillée en princesse en représentation, en chemise de nuit, en pyjama d’homme ou même simplement vêtue d’une … serviette éponge entourée autour de son corps !
Mais « Vacances Romaines », ce n’est pas qu’Audrey Hepburn, c’est aussi Gregory Peck et Eddie Albert, tous deux excellents. C’est aussi un scénario plus profond qu’il n’y parait, un cadre et des lieux magnifiques, des scènes cultes (la bouche de la vérité, la ballade en vespa…) et surtout un charme éternel qui opère à chaque visionnage. C’est enfin l’occasion de se rendre compte qu’à l’époque avec l 000 lires (l’équivalent de 0,50 euro lors du passage de la lire à l’euro), on pouvait faire beaucoup de choses : se faire couper les cheveux, acheter des chaussures et une glace et, après tout ça, avoir encore de l’argent à dépenser ! Ça laisse rêveur !!!

un des meilleurs films jamais faits