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    De son vivant
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    ISABELLE LUCAS
    ISABELLE LUCAS

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 août 2021
    J'ai beaucoup aimé. Un retour plus, plus, pour Benoît Magimel magnifique et une Catherine Deneuve à la hauteur. Le rôle du médecin oncologue est d'une humanité qui fait un bien fou !!!! Merci Emmanuelle.
    J'ai pleuré, j'ai aimé et je suis sortie en planant
    Brigitte P
    Brigitte P

    4 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 novembre 2021
    Bravo B Magimel , remarquable .
    Façon trop romanesque pour traiter une situation si grave ! L'oncologue peut faire rêver , l'hôpital français est en crise , impossible d'imaginer une telle équipe médicale .
    MarcoFou
    MarcoFou

    6 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 décembre 2021
    Du pour être du contre...
    Des acteurs formidables, un médecin aux approches et méthodes exemplaires.
    Le contre : une musique larmoyante omniprésence et une histoire d'amour ridicule et inutile...
    Sabine K
    Sabine K

    2 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 novembre 2021
    C'est déchirant ; aussi cruel et beau que l'est de mourir vivant...
    film utile pour notre époque où mourir est un scandale, la maladie une faute de goût, et la mort un tabou .
    vidalger
    vidalger

    297 abonnés 1 229 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 novembre 2021
    Emmanuelle Bercot retrouve dans son dernier film ses acteurs-fétiches (Catherine Deneuve et Benoit Magimel) de La Tête Haute (2015) ou La Fille de Brest (2016). Tout en restant en haut des standards de qualité cinématographique, elle ne parvient pas toutefois à retrouver le niveau de ces deux précédents films en raison d'un scénario trop mélo comprenant nombre d'invraisemblances, dont la simili-romance avec Cécile de France aussi incongrue qu'en rupture avec l'esprit de l'histoire ou la curieuse histoire d'enfant abandonné qui nous renvoie aux romans feuilletons du 19ème siècle.
    Difficile pourtant de ne pas être ému par la très humaine manière de filmer de la réalisatrice dans des scènes où elle finit toujours par s'éclipser avec élégance.
    On découvre avec plaisir cette équipe remarquable de cancérologie menée par le Dr Sara (Dr Eddé dans le film) à l'œuvre - dans la vraie vie - dans un grand hôpital de New York et qui réalise sa tâche difficile d'accompagnement des malades en traitement, d'une humanité rare et d'un entrain musical surprenant entre soignants et soignés.
    On a pris plaisir aussi à fréquenter ces jeunes futurs talents de l'art dramatique que Benjamin (Benoit Magimel, magistral, c'est le cas de le dire dans toutes les dimensions de son rôle) conduit sur le chemin du Conservatoire.
    Un film à voir donc, ne serait-ce que pour le Dr Sara ou Benoit Magimel, qui nous a parfois déçu et qui est ici transcendé par son rôle, même si le thème, la maladie et la mort, peuvent vous effrayer.
    Blankovitch
    Blankovitch

    37 abonnés 203 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juillet 2022
    Pas facile de faire un film sur la fin de vie. Le film de beecaot est bien fait. Magimel est très touchant. La machine à pathos est poussée très loin (gros plan, musiques tire-larmes, focale courte) et c'est ce qui m'a un peu dérangé et sorti parfois du film.
    Yves G.
    Yves G.

    1 310 abonnés 3 312 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2021
    Benjamin (Benoît Magimel) est, de son propre aveu, acteur raté et professeur de théâtre. D'anodines douleurs au dos ont révélé un cancer de stade 4 au pancréas. L'issue en sera fatale, à très court terme, sans espoir de survie. C'est au professeur Eddé (le docteur Gabriel Sara quasiment dans son propre rôle) et à son assistante Eugénie (Cécile de France) de l'annoncer à Benjamin et à sa mère et de leur rendre les derniers mois à vivre les moins douloureux possibles.

    Je l'ai déjà dit plusieurs fois ces derniers mois. La fin de vie est décidément devenue un genre cinématographique à part entière. "Une vie démente", "Tout s'est bien passé", "The Father", "Falling", "Supernova".... on ne compte plus les films qui, cette année ou l'année dernière, ont traité, avec plus ou moins de réussite, la mort inéluctable d'un malade en fin de vie frappé d'un mal incurable.
    Ici, seule nuance, le malade est plus jeune. Benjamin a trente-neuf ans (le très juste Benoît Magimel en a quarante-sept en fait et interprétait dans "Amants" un personnage qui, avec dix kilos de plus et une cravate, en faisait bien dix de plus). Le cancer qui va l'emporter si jeune, alors qu'il a encore la vie devant soi, est plus injuste et plus cruel que les maladies dégénératives qui frappent les personnages principaux des films précités.

    Il est des films qui irrationnellement m'emportent. Cherchant un verbe pour définir la perte de raison, l'oubli à soi-même, j'ai failli écrire "me ravissent" au risque de laisser penser que "De son vivant" est un film ravissant. Il se situe plutôt dans le registre du rapt, du kidnapping émotionnel.
    La raison en est peut-être dans le sujet qui me touche profondément et dont j'imagine, cher lecteur, qu'il vous touche aussi. Soit que vous y ayez déjà été exposé dans votre vie. Soit que vous appréhendiez l'étourdissante douleur de voir l'être aimé y être exposé un jour et qu'il vous incombe de l'y accompagner. Soit enfin, hypothèse la plus probable et la plus égoïste, que vous redoutiez d'y être vous-même exposé un jour - avec au surplus, dans l'hypothèse où l'être aimé susmentionné vous ait jusque là survécu, la gêne et l'embarras de devoir lui infliger la douleur de vous accompagner dans votre lente agonie.

    De son vivant m'a irrationnellement emporté ou, oserais-je dire, ravi. Abandonnant tout esprit critique, j'ai pleuré à la première scène et ai inondé de mes larmes ininterrompues un bon paquet de Kleenex pendant les deux heures que dure le film. Circonstances atténuantes : mes voisins n'en menaient pas large non plus et sont sortis de la salle les yeux rougis et les mouchoirs essorés.

    Pourtant, avec un minimum de recul, j'en vois bien tous les défauts.
    "De son vivant" tangente un peu trop le documentaire et sonne comme un panégyrique au Dr Sara, cet oncologue qui sait montrer avec ses patients comme avec ses infirmières une si parfaite douceur, trouvant toujours le ton juste et le mot adéquat - même s'ils empruntent plus au registre de la communication bien rodée qu'à celui de l'empathie spontanée.
    "De son vivant" donne de l'hôpital et des services d'oncologie et de soins palliatifs une vision idéalisée, bien loin de la cruelle réalité de l'hôpital public, de ses infrastructures à bout de souffle, de ses services débordés, de ses soignants exténués (d'ailleurs, le professeur Sara a quitté la France pour les Etats-Unis et exerce aujourd'hui à l'hôpital "Mount Sinaï" de New York)
    "De son vivant" documente avec un peu trop de systématisme les étapes bien connues des réactions du malade face à son cancer : stupeur, incrédibilité, déni, révolte, tristesse, dépression, résilience.... et donne, comme un manuel de développement personnel, les recettes pour y faire face
    "De son vivant" enfin se perd dans plusieurs intrigues secondaires ni très crédibles ni très justes : l'élève du cours de théâtre amoureuse de son professeur, l'enfant prodige, l'infirmière compatissante.....

    Pour autant, l'émotion fut si forte, elle m'a à ce point submergé que j'ai aboli tout esprit critique face à ce film bouleversant.

    Terminons par une note plus gaie. J'ai enfin trouvé ce que je demanderai à l'heure de ma mort. Mehr Licht ? Non. Cécile de France !
    Audrey L
    Audrey L

    562 abonnés 2 426 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 novembre 2021
    Apprendre à mourir... Disons-le de suite : Benoît Magimel est impeccable, ironiquement le cœur battant du film. Le sujet du droit de mourir dignement, avec un accompagnement médical et familial adapté, en laissant autour de soi "un bureau propre" (peut-être la plus jolie métaphore qu'on a entendu depuis bien longtemps), est évidemment d'une tristesse infinie, et on regrette alors que De son vivant se soit senti obligé d'appuyer d'un pathos gratuit et excessif (toute la fin) ce sujet qui se suffisait à lui seul pour nous faire baisser le masque le temps de se moucher copieusement. Dommage que ces scènes soient si dramatisées (on avait deviné la fin dès l'anecdote de la table ronde du début, on trouve que la romance avec l'infirmière est un peu de trop, et l'excès de "violons" nous a empêché de pleurer à la fin), car Magimel en mourant nous a fendu le cœur, la triste réalité de l'impossible deuil de la mère "lorsque son fils est vivant" (comment parvenir à anticiper une situation qui est trop dure à imaginer, comment réaliser un deuil alors que l'on peut encore physiquement voir et toucher la personne, ou plus directement : comment "accepter" ?). Catherine Deneuve, en second rôle, est tout à fait à sa place et appuie d'une émotion sincère ce binôme très touchant. Le médecin également nous a beaucoup ému, lui qui semble (mais "semble" seulement, on le devine) pouvoir accepter d'accompagner jusqu'au bout ses patients avec le sourire et une belle philosophie, avant de s'effondrer intérieurement spoiler: à la nouvelle du décès
    (très belle scène, qui pour une fois n'a pas abusé des violons, et en est d'autant plus forte). Même les infirmiers ont droit à leur hommage dans des scènes bien construites où on découvre les coulisses "psychologiques" de leur travail (ils chantent, se réconfortent, parlent entre eux comme chez le psy...), un remerciement en images sincère pour leur accompagnement quotidien des mourants qui est plus que difficile. On perçoit le travail de deuil sous tous les angles : le mourant, la famille, les proches, les médecins... L'intelligence du discours est infinie dans De son vivant, et on ne regrette clairement pas de l'avoir vu, malgré la bonne dose de pathos qu'il aurait gagné à alléger pour percuter les cœurs comme un électrochoc.
    Loïck G.
    Loïck G.

    299 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2021
    Dans la série des films « médicaux » qui se succèdent en ce moment (« La Fracture », « Médecin de nuit », « Les Intranquilles » « Tout s’est bien passé » « The Father » « Le Bal des folles » …) Emmanuelle Bercot apporte une pierre de taille à un édifice conséquent. Si elle ne nous épargne rien de la pathologie cancéreuse, elle l’aborde en définissant les limites du médical face à l’absolu besoin d’humanité que requiert un tel domaine. La présence du docteur Sara dans son propre rôle (*) est un facteur déterminant dans la démarche. Tous les comédiens s'y associent, portés par Benoit Magimel extraordinaire dans le rôle principal. Cécile de France est tout aussi juste dans sa blouse d’infirmière à l’image de Catherine Deneuve dans celle d’une mère excessive. Ça remue plus qu’un instant et Emmanuelle Bercot l’a très bien saisi. Au-delà des faits et de ses conséquences, c’est le bilan d’une vie au milieu de son gué qu’elle nous rapporte, avec force et intelligence,
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Cinévore24
    Cinévore24

    303 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 novembre 2021
    "Je te pardonne, tu me pardonnes, merci, au revoir, je t'aime."

    Certains pourront voir, à travers le récit en quatre saisons de ce professeur de théâtre mourant qui tente de donner du sens à sa (fin de) vie une œuvre abusivement tire-larmes.
    Mais personnellement, ce mélodrame (qui s'assume en tant que tel) réalisé par Emmanuelle Bercot m'a beaucoup touché.

    Pour son casting d'une grande justesse, entre détresse et bienveillance, entre colère et acceptation.
    Pour cet accompagnement humain et pudique vers l'inévitable.
    Pour cette mère et ce fils qui s'écoutent et s'ignorent, se déchirent et s'aiment.
    Pour cet hôpital, à la fois lieu de vie et de mort, et pour ce personnel qui cherche à mettre des mots sur ce qu'il vit et ressent au quotidien.
    Pour cette angoisse, très parlante, de ne laisser aucune trace parmi les vivants, de disparaître et d'être oublié.
    Pour ces scènes muettes d'étreintes et d'adieux, de regards et de touchers, qu'elles aient lieu dans un cours de théâtre ou dans une chambre d'hôpital.

    «De son vivant», c'est un récit nous préparant à ce passage obligé qu'est la fin de vie, et à ce que nous voulons laisser de nous, nos mots, notre histoire, notre vérité.
    Une œuvre qui regarde la mort en face, filme la proximité des corps et des individus, raconte les partages et les regrets.

    Un film plein d'humanité et d'émotion, qui évite le piège du pathos plombant. Et un traitement auquel on peut être sensible ou non (cela dépendra de l'état d'esprit et du vécu de chacun). Pour moi, ce fut le cas.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    159 abonnés 2 773 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2024
    Un Benoît Magimel intense, qui légitimise à lui seul le fait de regarder De Son Vivant. On reste, en plus, suspendu aux réactions de chacun et le tout avec une sage précaution, face à cette maladie injustement arbitraire. Une élégance de réalisation tout à fait pertinente.
    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    166 abonnés 1 034 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 décembre 2021
    Un grand mélo assumé et émouvant, qui offre un bel espace d'expression aux acteurs et surtout à une philosophie, de la mort, et de la vie.
    La critique complète sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
    circusstar
    circusstar

    115 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 janvier 2022
    Âme sensible s'abstenir. Cette histoire va vous bouleverser. Catherine Deneuve est à son habitude excellente. Benoît Magimel toute en retenue. Il est dommage que ce film ne soit distribué que dans peu de salle. On ne peut retenir ses larmes tant l'émotion est intense.
    missfanfan
    missfanfan

    76 abonnés 831 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 décembre 2021
    Sujet certe pas très gai surtout en ce moment mais malgré tout ce film donne de l'espoir et surtout permet à Benoit Magimel de se voir offrir son plus grand rôle au cinéma chapeau de plus les acteurs sont tous bons
    bouddha5962
    bouddha5962

    56 abonnés 712 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 novembre 2021
    Bouleversant à souhait !
    Actrice et acteur splendide !
    Histoire touchante et tellement réaliste !
    Je conseille fortement car il met une claque
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