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    De son vivant
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    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    84 abonnés 286 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 décembre 2021
    ai vu "De son vivant" film d'Emmanuelle Bercot. Dès la première scène une émotion intense vous saute à la gorge et cela ira crescendo avec l'ouverture des vannes lacrymales sans limite pour les 2 heures à suivre. Il faut prévoir absolument en sortant un sasse de décompression avant de rentrer chez soi... pour moi cela a été un salon de thé - chocolat chaud et plusieurs pâtisseries. Le film se situe entre le mélo pour la fiction et le documentaire sur les méthodes de travail humanistes du Docteur Gabriel Sara véritable cancérologue qui tient ici le rôle principal. Tout le film se déroule pratiquement dans un hôpital, du jour où Benjamin, professeur de théâtre, apprend qu'il a un cancer du pancréas à celui de la phase terminale. D'une intensité émotionnelle puissante la mise en scène très précise et fluide d'Emmanuelle Bercot filme au plus près les non-dits, les gestes de réconfort, les regards perdus. La photographie d'Yves Cape est somptueuse et très lumineuse ce qui peut paraitre paradoxale pour un sujet si lourd. Mais ce magnifique travail nous permet aussi de voir la lumière vers une certaine forme de quiétude, vers l'au-delà. Emmanuelle Bercot offre à Benoit Magimel un rôle en or et cet immense acteur fait une composition d'orfèvre, il est absolument magistral de puissance, d'intensité, de subtilité... Magimel est certainement le plus grand acteur français actuel et sans aucune prothèse, sans cabotinage (à l'encontre de Dussolier dans le dernier film d'Ozon "Tous s'est bien passé") il rempli l'écran de ses tourments, de sa souffrance, de sa fragilité avec une économie de moyen admirable. Deneuve trouve ici un vrai rôle et l'actrice s'efface complètement pour laisser place à cette mère bouleversée en train de perdre son fils de 39 ans. Il y avait longtemps - trop longtemps - que Deneuve ne s'autorisait plus de disparaitre derrière ses personnages, ici elle est magnifique de vulnérabilité et de désarroi. Gabriel Sara est solaire et sa présence irradie le film, dont le scénario s'inspire de ses conceptions de travail, sa philosophie, ses théories sur la mort, la place qu'il donne à l'art dans l'acte de soin... on rêve tous de rencontrer un jour... Le Jour... une telle personne sur son chemin. L'on regrette quelques facilités de scénario inutiles (le rôle de Cécile de France, le rôle d'Oscar Morgan qui ne joue pas très bien). Le film est plus intense lorsque la caméra ne sort pas du milieu hospitalier. Bien évidemment c'est un film où le spectateur pleure beaucoup, souffre, où tous nos morts reviennent à la surface avec tous les regrets qui vont avec... on ressort épuisé, lessivé, vidé... Mais c'est aussi et surtout un film qui fait du bien, profondément, essentiellement.
    cameradine
    cameradine

    11 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 décembre 2021
    Benjamin, professeur d’art dramatique, est en phase terminale d’un cancer du pancréas, incurable. Sa mère se ronge d’une culpabilité toute maternelle. Le cancérologue qui le suit s’efforce de lui rendre ses derniers mois à vivre le plus supportable possible, et l’accompagne de manière à ce qu’il puisse partir en paix avec lui-même et les autres. Mais, rassurez-vous : ce film, qui pourtant se passe essentiellement dans un service de soins palliatifs, n’est pas le mélo morbide qu’on pourrait redouter. Car malgré le drame qui se joue, les remords ou le ressentiment parfois, on sent beaucoup d’amour entre les personnages : amour maternel, filial, altruiste… Emmanuelle Bercot saisit les émotions de manière à la fois intime et pudique, en filmant les personnages au plus près mais en préférant aux grands débordements de larmes une émotion contenue. Dans ce registre, Catherine Deneuve est parfaite, et Benoît Magimel, physiquement transformé, est tout aussi remarquable avec un jeu forcément très intérieur, étant voué à une certaine immobilité (une performance qui fait écho à la question que Benjamin pose à ses élèves : qu’est-ce-que la présence d’un acteur ?). Le travail de la lumière met en exergue la sensualité qui anime tous ces personnages : celle des caresses d’une mère, du corps à corps d’un couple de danseurs de tango, de la pression d’une main amicale… La vie quitte Benjamin, mais elle est partout. Et que dire de l’équipe médicale, débordant d’empathie ! Le bienveillant docteur Eddé (incarné par un véritable et charismatique médecin, Gabriel Sara) est, plus qu’un soignant, un passeur qui aide son patient à glisser sur l’autre rive (l’homophonie du nom avec le verbe « aider » ne doit sans doute rien au hasard !). Et même si pour être franche, certains développements m’ont semblé de trop spoiler: (la romance avec l'infirmière, le fils abandonné)
    , ce sont la compassion et la douceur émanant du film qui m’ont remuée, mais presque davantage à l’issue de la séance que pendant le film. Comme l’élève de Benjamin qui, après avoir réprimé ses sentiments pendant un exercice, se laisse submerger par l’émotion une fois la scène finie. Mélo, oui. Mais le film touche juste.
    Tboot
    Tboot

    13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 novembre 2021
    Un film parfait. Merci Emmanuelle Bercot pour ces milles notes de vie, d'amour et de joie. Un film sur la mort certes et un film absolument lumineux, brillant. Le casting est magnifique et le choix des musiques est à l'image de ce film indispensable. Foncez
    Aurélia R
    Aurélia R

    12 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 décembre 2021
    Un film incarné, qui assume le côté mélo... C'est intimiste et percutant... Emmanuelle Bercot film ses acteurs au plus près d'eux-mêmes ! Ce film fait réfléchir et vaut le détour, même si le thème reste difficile et que la trame tourne autour d'un seul horizon : le cancer et la mort...Bravo aux acteurs, ainsi qu'aux acteurs et actrices du conservatoire !
    Bruno CHEVILLARD
    Bruno CHEVILLARD

    5 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 décembre 2021
    Je suis bien embêté, je ne sais pas quoi penser de ce film. Je crois que j'aurais carrément préféré un documentaire sur la méthode de ce médecin, le docteur Gabriel Sara qui joue son propre rôle, qui vous apprend "Comment aborder et gérer la mort d'un proche". C'est le côté un peu didactique du film. Le récit principal est dilué, à mon avis, par des scènes artificielles et des récits périphériques pas toujours passionnants, notamment les cours de comédie qui sonnent faux, comme les scènes où les soignants débriefent. On est loin du naturel des scènes de "120 battements par seconde", par exemple. La vision de l'hospitalisation est à contre-courant de tout ce qu'on peut nous dire depuis deux ans : ici, médecins, infirmières et personnel soignant se retrouvent en salle de repos et chantent "Bye Bye, Love", en s'accompagnant à la guitare et en dansant. Ok...
    Alors évidemment, on est parfois au bord des larmes, comment ne pas l'être, vu le contexte ? Magimel et Deneuve sont très émouvants, mais j'ai trouvé que ça manquait quand même terriblement de profondeur, de relief. On a du mal à croire à certaines scènes, (la jeune comédienne qui spoiler: débarque dans la chambre pour répéter
    , l'infirmière qui spoiler: tombe amoureuse de Magimel
    , le fils qui spoiler: apparaît brusquement dans la chambre...
    ) et Bercot n'évite pas les clichés. Gênant. Et cette musique incessante, qui surligne l'émotion, que c'est pénible! Bref, au total, je n'ai pas trouvé le film à la hauteur d'Emmanuelle Bercot qui nous avait habitués à beaucoup mieux. Un petit coup de mou, sans doute. Mais la scène où le vieil homme voisin de lit de Magimel spoiler: quitte son lit pour chanter, danser et jouer des maracas
    est vraiment très embarrassante.
    Marie D
    Marie D

    12 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 décembre 2021
    Humain tout simplement. Magnifique regard sur le cancer, son acceptation ou son rejet, de ses conséquences sur la vie de celui qui en est atteint, de son entourage et des prises de décisions pour avoir la meilleure prise en charge jusqu'à la mort. Du sentiment, des sentiments sans mélodrame.
    À voir absolument.
    Françoise P.
    Françoise P.

    4 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 novembre 2022
    Très beau film sur la fin d'une vie. Magimel est Benjamin, qui nie d'abord et prend à la légère cette maladie qui l'empêche de vivre. Il est coincé entre sa mère très envahissante et sa remise en question., son envie de vivre et l'abattement qui l'assaille.. Les scènes avec ses élèves sont une vraie respiration pleine de réflexion et d'empathie, elles éclaire différemment son personnage. C'est magnifiquement filmé, les acteurs sont justes et éblouissant.
    manur37
    manur37

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 novembre 2021
    Quand tu vas voir un film pour accompagner quelqu'un sans t'attendre à grand chose et que ça te prend aux tripes de plus en plus ! Belle surprise et le genre de film qui te fait marque quelque temps.
    NardoBordo
    NardoBordo

    10 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2021
    Parler de la mort de son vivant, pourquoi pas ! C'est la "fatale issue" de sa vie. Superbe film... L'approche médicale des plus humaine et très forte du Dr Sala renforce... Acceptation de l'évidence, ranger son bureau avant de partir !
    Un bon "Bercot" et des acteurs formidables, connus ou inconnus...
    CinemaxGhinozzi
    CinemaxGhinozzi

    12 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 décembre 2021
    Tiré du roman éponyme, ce film est magistral, tant par la prestation des acteurs qui est mémorable que par l'ambiance visuelle et sonore qui y sont instaurées. On a vraiment affaire à une bonne histoire de deux heures tout de même qui est prenante, bien rythmée. On se sent proche, au contact de cette homme durant sa fin de vie. Le spectateur s'identifie aisément au personnel soignant notamment grâce aux scènes où ils discutent entre eux et évoquent leurs sentiments et leurs choix dans le travail : comme eux nous hésitons, nous pleurons malgré une fin qui, nous le savons, est inévitable. La prestation de Benoît Magimel est forte émotionnellement et très convaincante, il nous transporte dans son univers théâtrale et sa relation affectueuse avec ses élèves, presque charnelle parfois. J'ai terriblement apprécié la séquence où spoiler: il demande aux élèves de se toucher, se sentir comme si c'était la dernière fois qu'ils se voyaient
    : l'aurevoir est le leitmotiv de ce métrage, tout comme le pardon. Le personnage de Léandre spoiler: (le fils de Benjamin)
    en est le symbole : faut-il dire au revoir et pardonner à une personne qui n'a jamais voulu de nous ? De plus, on souligne assez rarement les films français pour leur bande-originale, celle-ci alimente vraiment la tension dramatique du film, elle sert le récit très efficacement tout en préservant le caractère intimiste de l'oeuvre. Même les musiques sont bien choisis avec une magnifique reprise de Voyage, Voyage de Desireless et Nothing Compares 2 U de Sinéad O'Connor. Enfin, la scène finale spoiler: (mort de Benjamin)
    est splendide avec ce panoramique qui nous montre spoiler: le moment exact de la mort (apparition de la lumière)
    , la guitare qui s'arrête : tout cela fait écho au début du film, spoiler: c'est le malade qui choisit quand mourir
    .
    Bref, j'ai adoré ce film qui selon moi est le meilleur long-métrage français de 2021. Ce qui est sûr c'est qu'on reverra ce film aux Césars. Je recommande vivement d'aller voir cette oeuvre.
    Bruno B.42
    Bruno B.42

    8 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 décembre 2021
    Film absolument bouleversant car ô combien réaliste On ne regarde pas un film, on est témoin d'un drame! A voir piur savoir comment accompagner un proche en fin de vie. J'ai éclaté en sanglots pendant la séance. Magimel et Deneuve sont au plus près de leur personnage. Le film le plus triste que j'ai jamais vu. A ne pas voir après un deuil récent
    Alois D.
    Alois D.

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 novembre 2021
    Chef d œuvre d une réalisatrice a qui a su transposer ces situations de l extrême et de la transmission.
    Un film extra-ordinaire servi par des acteurs en état de grâce.
    Catherine Deneuve est une de fois plus notre Reine du cinéma.
    Edith Martins
    Edith Martins

    2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 novembre 2021
    En sortant j ai eu l impression d un énorme mensonge.... Mme bercot n a vraisemblablement jamais été visite un service de soins palliatifs dans un hôpital français. Je suis médecin sans un hôpital public et j accompagne de nombreux patients en fin de vie. Je n ai pas de moyens dans mon service en personnel et je fais au mieux avec le temps donné mais jais je n ai eu envie de fêter la mort... Jamais je ne me suis immiscé sans la vie de mes patients...
    Tout cela est écœurant de tromperie
    Christian Estevez chaîne pro
    Christian Estevez chaîne pro

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 novembre 2021
    « De son vivant », une guimauve lacrymale à mourir d'ennui !

    Ce 24 novembre est sorti, au milieu d'un bon nombre d'excellents films, quelques uns qui semblent n'exister que pour nous empêcher de dire que la cuvée cinématographique de cette quarante-septième semaine de 2021 est un millésime.

    C'est, en tout premier lieu, le cas du nouveau film d'Emmanuelle Bercot intitulé « De son vivant », chronique d'une mort annoncée et sur la façon de s'y préparer, qui dégouline de guimauve mélo.

    Présenté au dernier festival de Cannes – sûrement parce que ses organisateurs avaient besoin de s'assurer la présence de grands interprètes pour ses montées des marches, comme Catherine Deneuve, Benoît Magimel...et de Cécile de France pour qui n'est pas difficile à contenter -, le dernier film d'Emmanuelle Bercot, intitulé « De son vivant », a tout pour plaire aux consommateurs de films faciles, bourrés de « bon sentiments », d'émotion pour animaux humains tétant encore le petit-lait ultra sucré du pathos de « supermarchés d'affects à bas prix » !

    Si vous aimez les « rebondissements téléphonés », les « grandes vérités vides » à la Cuelho, Levy et consorts, les gens qui pleurerait devant une vidéo de chat juste parce qu'il serait tombé dans trois centimètres d'eau, que vous vous indigné contre la guerre parce que c'est pas beau, devant la misère parce que c'est triste, et même devant une boule de glace tombée de son cornet parce que c'est injuste, alors...Ce film est fait pour vous !

    Pour notre part, très franchement, avec des personnages qui chialent pour un oui ET pour un non, qui s'emportent dans des colères de larmes parce que désemparés de constater que le ciel n'est pas fait que de ciel bleu et que, lorsqu'il pleut, on est mouillé, la seule chose que nous attendions au bout d'à peine vingt des cent vingt-deux minutes (et oui ! En plus, pour ajouter à la torture, vous en prenez pour une « peine de deux heures ») était que l'écran géant de la salle de cinéma redevienne tout blanc. Car, critique professionnel consciencieux, nous ne quittons jamais un film avant que le générique de fin soit bien terminé.

    Et, vraiment, ce parcours de fin de vie du héros est un véritable chemin de croix sans « passion » pour qui ne supporte pas ce pathos facile dont nous accable la réalisatrice qui, elle, a fait savoir qu'elle assumait pleinement le fait que son film soit un mélo total. Mais, hélas pour Emmanuelle Bercot – et encore plus pour nous -, n'est pas Ingmar Bergman qui veut, et, de ce fait, ne réussit pas à réaliser un chef d’œuvre avec les mêmes « ingrédients de base » que le monumental « Cris et chuchotements » ! La différence fondamentale entre le film de Bergman précité et ce « De son vivant » de la réalisatrice, c'est qu'est arrivé, il y a quelques années, ces concepts de faibles qui gangrènent la civilisation occidentale et rendent sa disparition inéluctable et très proche, que sont le fameux/fumeux « care » (« soin » en anglais, qui est, en fait, une idéologie anglo-saxonne se disant portée, avant tout, sur le fait de « donner de l'attention », « avoir de la sollicitude » et qui fait parti de l'arsenal « woke », consistant, en réalité, à ne faire que de la sensiblerie bien-pensante, qui traite en mineur des catégories prédéfinies d'individus comme « victimes par essence »).

    Sauf que, à n'avoir une grande actrice comme Catherine Deneuve ne jouer que la bienveillance à outrance et n'en faisant, du coup, que de la faiblesse de caractère, un Benoît Magimel qui doit s'affaiblir toujours plus physiquement (l'acteur à été obligé de perdre vingt kilos en quatre mois de tournage pour satisfaire les exigences de sa réalisatrice) pour qu'il puisse inspirer toujours plus de pitié (ce qui n'a rien à voir avec l'empathie) au spectateur, on se dit, définitivement, que ce film ne traite pas du cancer mais est, lui-même, un cancer mortel pour le bon sens, la maturité intellectuelle et la « résilience » nécessaires pour vivre la vraie vie de tous les jours.

    Quand on pense que cela faisait cinq ans qu'Emmanuelle Bercot n'avait pas réalisé de film et que l'on voit ce qu'elle nous sort au bout d'un lustre, on se dit qu'elle aurait été bien mieux inspirée d'attendre trois fois plus longtemps avant de revenir au cinéma.

    En fait, tout ce que réussit la réalisatrice, en nous parlant de l'accompagnement des personnes condamnés par un cancer irréversible, avec « De son vivant », c'est de nous faire prendre partie pour l’euthanasie, afin de faire cesser la longue agonie du héros...et celle du spectateur, par la même occasion !

    Christian Estevez
    clamarch
    clamarch

    9 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 novembre 2021
    On devrait tous apprendre à mourir en même temps que l'on apprend à vivre. Ce film est une leçon tendre, juste, sans mélo ni pathos inutile. Une seule scène est de trop, vite oubliée.
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