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    Michel-Ange
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    Hervé L
    Hervé L

    63 abonnés 603 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 octobre 2020
    Un film décevant et très décousu ou les séquences de la vie de Michel Ange sont totalement désordonnées même si montrer la vie réelle est intéressant l auteur passe totalement à côté de son génie
    Cristina Crisci
    Cristina Crisci

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 octobre 2020
    Voilà l'illustration que ce n'est pas suffisant une histoire pour faire un film! Long, manque de rythme, surjoué, répétitif...bref, ennuyeux !
    Hotinhere
    Hotinhere

    437 abonnés 4 776 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2022
    Porté par l’interprétation excellente d’Alberto Testone, un biopic aussi fascinant qu’esthétiquement sublime, sur un génie en proie à ses démons, sur fonds de rivalité entre les familles Médicis et Della Rovere. 3,75
    Missa
    Missa

    23 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2020
    Michel-Ange vient d'achever les fresques de la Chapelle Sixtine. Une lutte entre 2 familles rivales va venir bouleverser son oeuvre...
    J'ai aimé ce film pour la beauté des paysages d'Italie et pour le portrait méconnu de ce "Gredin de Génie"(dixit un des personnages) qu'est Michel Ange. On le voit à la fois misérable et grandiose, parfois divin et d'autre fois très lâche.
    Le film est parfois un peu long comme c'est le cas pour la majorité des films historiques mais également instructif et dépaysant.
    Epikouros
    Epikouros

    30 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 octobre 2020
    Dès les premières images, j'ai été happé par cette œuvre (aussi passionnante qu'exigeante) qui n'a rien à voir avec le film hollywoodien qui l'a précédé (avec Charlton Heston dans le rôle principal). Ici, c'est puissant, intense, âpre et le vrai message, ce ne sont pas les péripéties d'un biobic mais les affres de la création artistique. Qui a dit : "Créer, c'est vivre deux fois" ? Notre Buonarotti (magistral Alberto Testone) ici vit cent fois ! Pas toujours sympathique, l'homme est dévoré par un feu intérieur, à une époque où la papauté est consternante ainsi que les luttes de pouvoir entre deux grandes familles qui, moyennant moult ducats, se disputent le grand artiste. Je conçois que ce genre de cinéma aux reflets pasoliniens puisse laisser... de marbre ! (de l'action, de l'action !!!) Quant à moi, j'ai été aussitôt ébloui, touché par cette figure de l'Artiste rugueux et indomptable dont la seule passion est celle-ci : apprivoiser la Nature, l'humaniser, comprendre LA roche, ses veines, sa "blancheur de sucre", ses pulsations prêtes à s'incarner dans une touchante Pietà ou un pathétique Esclave mourant. J'ai été surpris qu'aucune allusion ne soit faite aux amours (homosexuelles ) du sculpteur. Mais Buonarotti en avait-il le temps ? Tout à sa soif aussi immense qu'insensée, à sa quête indomptable, à ses hallucinations mystiques, à ses colères pathologiques, à ses mesquineries et filouteries aussi... dans un monde où la compassion n'a guère de place. Quel destin ! Quel génie surhumain ! Et à la fin du film, caresser — enfin ! — du regard les fameux chefs-d’œuvre extraits de leur gangue minérale, quel plaisir pour le spectateur, quelle émotion, quelle récompense après 2h 16 d'une projection fiévreusement habitée. Oui, oui, l'Homme peut être parfois génial. Et un cinéaste âgé aussi. Car le 7ème Art, celui d'Andreï Konchalovsky, permet célébration, intériorisation et sublimation. Grazie ou, comme on dit en russe, благодарю вас !
    riverainpsy
    riverainpsy

    23 abonnés 388 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mai 2023
    Un film de photographe mais où tout semble artificiel , forcé . Le réalisateur n'étant autre que le scénariste d'"Andreï Roublev" , ceci explique cela . Intellectuel et maniéré. On peut aimer ..
    Loïck G.
    Loïck G.

    299 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2020
    L’artiste n’a pas vraiment intéressé jusqu’à ce jour le cinéma qui lui rend enfin grâce, même si le contenu ne me semble guère consistant au regard de l’homme et de son œuvre. On ne la voit quasiment pas, excepté sur le générique de fin qui nous invite au musée. Andrey Konchalovsky évite le biopic, et pourquoi pas, en ne se concentrant que sur la période de gloire de Michel-Ange confronté à de nombreux concurrents et à une guerre interne entre les della Rovere et les Médicis. C’est principalement ce que j’ai vu et plus ou moins apprécié dans ce film qui ne montre pas vraiment qui était Michel-Ange l’artiste, mais plus l’homme un brin canaille, et cupide. Talentueux aussi, on le sait, on le devine , mais on ne l’aperçoit que très peu et s’il ne fallait retenir qu’une séquence, celle du bloc de marbre à retirer des carrières de Carrare est un beau moment de cinéma.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    229 abonnés 1 601 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 octobre 2020
    Intéressant à plus d'un titre. D'abord : dans la reconstitution d'une Renaissance italienne où les ors et velours des palais contrastent avec la fange des rues et la vulgarité des tavernes. Ensuite : dans le portrait à facettes de Michel-Ange, perfectionniste fou, tourmenté par son génie et par un enfer qu'il voit poindre à son horizon ; artiste méprisant, mais habité par une énergie propre à soulever des "monstres" de marbre ; homme d'affaires coincé entre deux sphères d'influence familiale et politique, et qui s'en joue de façon canaille, jamais à une trahison près, mais toujours près de ses sous… Autre atout du film : la composition excellente de l'acteur principal, Alberto Testone. Faciès qui le pose en cousin italien de Hugh Jackman. Nervosité irradiante. Yeux clairs et fougueux.
    Andreï Konchalovsky orchestre son projet avec métier. Cela donne un film de qualité, mais bizarrement sans aspérité, malgré l'intention d'aller hors des sentiers battus de l'hagiographie. Il manque probablement quelques "accidents", fulgurances ou pics dramatiques pour rompre le flux un peu monocorde et long du récit.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    152 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2020
    Bien des images de ce Michel-Ange pourront légitimement rester dans les esprits quand on pensera à l'artiste maniériste italien. Une séance-débat avec deux professeurs d'université dans mon cinéma de quartier a révélé que cette vision du XVIe siècle et de son principal créateur était assez juste. La reconstitution est ambitieuse, l'acteur principal hyper-impliqué, le témoignage des conflits entre les grandes familles romaine et florentine bien rendu. Mais le cinéaste se complet trop dans sa représentation rabelaisienne de la période moderne. ça chie, ça vomit, ça gueule, ça crache, ça saigne, ça pue, tout le temps, partout. Jusqu'à en devenir épuisant. D'autres choix scénaristiques auraient pu mener vers une vision plus sereine et équilibré d'un moment de l'histoire où les gens devaient tout de même de temps en temps se parler normalement, non ?
    Olivier Gallais
    Olivier Gallais

    39 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 mai 2021
    Une photographie à couper le souffle, des acteurs plus vrais que natures, une reconstitution époustouflante et une image brillante de cet artiste.
    mat niro
    mat niro

    308 abonnés 1 734 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 juillet 2021
    Ce film retrace une partie de la vie de Michel-Ange, peintre et sculpteur de génie, cherchant à financer son art sous l'influence de deux grandes familles. J'ai trouvé ce film assez ennuyeux même s'il nous replonge bien dans l'époque. En fait, je retiendrais surtout la scène du bloc de marbre à acheminer en bas d'une montagne qui est grandiose. Pour le reste, Alberto Teston qui joue Michel-Ange ne m'a pas convaincu, soliloquant trop pour accentuer ses problèmes psychiques et sa conscience tourmentée. Un long moment d'ennui (2h10).
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 octobre 2020
    « Michel-Ange » sorti en 2019 est loin d’être le premier film du réalisateur russo-italien Andreï Kontchalovski, âgé de 82 ans, dont j’avoue n’avoir vu aucun film.
    Ce film se focalise sur une période très singulière de la vie de Michel-Ange qui vient juste de terminer la chapelle Sixtine et se doit d’achever le tombeau du pape Jules II avec par moins de 48 statues (!) dont le fameux Moïse, mais ce pape meurt en 1513 et son successeur, Léon X, est de la famille des Médicis viscéralement opposée à celle du précédent pape. Compte tenu du talent reconnu de Michel-Ange (la Piéta a été achevée en 1499, le David en 1504…), les Médicis lui demandent d’orner la façade de la basilique San Lorenzo de Florence. Michel-Ange va donc être écartelé entre ses engagements et l’arrivée au pouvoir religieux et politique des Médicis… et le titre initial du film – il peccatori, le péché – en est à mon avis le meilleur reflet.
    On voit un artiste oscillant avec des moments d’exaltation et d’abattement quasiment de type bipolaire, très sûr de sa valeur critiquant sévèrement ses confrères en particulier Raphaël, et ayant des rapports très ambigus avec Peppe, son plus fidèle élève. Un artiste calculateur et roublard en particulier pour l’argent … qui lui permet d’acheter à Carrare les plus beaux blocs de marbre « blancs comme du sucre » dont « le monstre » pour le tombeau de Jules II, les carrières de Carrare appartenant au marquis de Malaspina, ennemi lui aussi des Médicis.
    Faute d’avoir ces points de repère on est un peu perdu devant le film Kontchalovski qui paraît confus avec des italiens très criards, et on en perd beaucoup de sa signification. Les décors sont bien sûrs magnifiques et la vie quotidienne de cette société crasseuse et violente, à peine sortie du moyen âge, contraste avec la délicatesse des palais des papes et des Médicis.
    Un film qui mériterait d’être présenté après quelques explications d’un spécialiste de l’art italien avant sa projection.
    Marc L.
    Marc L.

    41 abonnés 1 494 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2023
    Tourné en Italie, avec des acteurs en grande majorité italiens, par un des plus grands cinéastes russes encore en vie, ‘Michel-Ange’ touche parfois du doigt la grandeur du cinéma européen d’autrefois, dans son approche visuelle mais aussi dans le portrait de l’homme qu’il ambitionne de dresser et qui s’écarte de toute facilité, explication définitive ou lien trop évident avec le présent. Car on verra assez peu Michel-Ange peindre ou sculpter dans ce film, en dépit des nombreuses reproductions de ses travaux à l’écran (vous ne pensiez tout de même pas que Kontchalovski avait obtenu le droit de filmer directement dans la Chapelle Sixtine ?). En revanche, on verra l’artiste, incroyablement incarné par un Alberto Testone à la barbe hirsute et au regard fiévreux, dans ses tractations avec les humbles comme avec les puissants, avec les tailleurs de pierre, les papes et les condottières, tous ayant de temps à autre d’excellentes raisons de trucider Michel-Ange mais aussi d’excellentes raisons de réfréner cette envie…car celui qu’on voit évoluer avec aisance de palaces princiers en auberges mal-famées aligne tous les symptômes d’un homme qui aurait bien besoin d’être placé en institution psychiatrique quelques semaines. Le film n’a pourtant rien d’une désacralisation amusée comme Milos Forman avait pu le faire avec ‘Amadeus’ mais d’une tentative de décrypter le génie d’un homme mort voici cinq siècles et qui avait la réputation d’être notoirement difficile à supporter. Michelangelo Buonarotti est à l’écran un cyclothymique torturé, capable de passer de l’enthousiasme à la colère ou à la mélancolie en quelques secondes, lettré et cultivé tout en étant sauvage et colérique, exubérant mais porté à l’introspection, incapable de gérer l’argent qui lui est confié ou de terminer une commande dans les temps et coincé au milieu des complots et de la toile complexe de relations entre les grandes familles italiennes qui tentent de s’assurer ses services alors que la politique et la religion l’intéressent très peu. Le personnage exerce une authentique fascination, les causes et les conséquences de ce qu’on nommerait pudiquement aujourd’hui une personnalité atypique sont laissées à l’appréciation du spectateur. D’autre part, à regarder des films globalement agités, rivalisant de mouvements de caméra audacieux, de plan-séquences incroyables et d’avalanche numérique, on en oublierait parfois les bienfaits du statisme, du plan immobile dont chaque élément est soigneusement agencé pour qu’il ressemble à un tableau de la Renaissance…et les compétences de Kontchalovski en la matière dotent ce biopic d’un lustre visuel incomparable.
    Patjob
    Patjob

    23 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2023
    Ce film, intéressant sans être passionnant, n’est pas un « biopic » de Michel-Ange ; nous découvrons le personnage alors qu’il est déjà célébrissime pour son plafond de la Chapelle Sixtine, et nous ne saurons pas grand-chose de sa vie privée. Ce n’est pas un film sur la sculpture ou la peinture non plus ; aucune scène ne le montre pendant son travail créatif, et bien peu de ses œuvres apparaissent à l’écran. Le choix de Kontchalovski est ailleurs : il s’attache aux difficultés rencontrées et aux contraintes subies par l’artiste dans la conduite de sa démarche artistique. Ainsi l’exigence de perfection génère chez le créateur de terribles tourments. Ainsi l’approvisionnement en matière première (ici le marbre) se fait au prix d’obstination et d’efforts titanesques. Ainsi l’organisation de son travail (avec les œuvres sur commande) est-elle plus ou moins soumise aux volontés des pouvoirs politiques (la rivalité, la rouerie et la trahison sont monnaie courante, y compris chez Michel-Ange). On peut légitimement penser que le cinéaste parle ici de sa propre condition d’artiste en Russie, mais aussi plus universellement de celle de beaucoup de créateurs.
    Le film est aussi une immersion dans la société de ce début de 16ème siècle ; hors des cabinets et demeures des gens de pouvoir, la population vit dans la crasse (il est difficile d’échapper aux eaux usées et excréments jetés des fenêtres), et son quotidien, empli de querelles, cris et altercations, est guidé par la satisfaction des besoins primaires. Ce qui par contraste donne d’autant plus de grandeur et de beauté à la démarche artistique et à la pureté des œuvres qu’elle produit.
    Alain C.
    Alain C.

    23 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2021
    On ne voit pas le temps passer, les personnages vous embarquent dans la frénésie du moment, vous prennent dans des scènes poignantes, ça joue, c'est beau.
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