Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le traumatisme de l'Amérique n'a jamais tant confiné au sublime.
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Paul Schrader vient sublimement assombrir cette fin d’année.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par La rédaction
En définitive, The Card Counter séduit par son script millimétré, son casting talentueux, sa mise en scène sobre et ses musiques sombres.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Paul Schrader signe à 75 ans l'un de ses meilleurs films. Parabole politique obscure, « The Card Counter » met en scène un joueur professionnel énigmatique et un comédien magnétique : Oscar Isaac.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Nathalie Dray
Annonçant le retour en majesté du cinéaste dans les salles obscures, ce nouvel opus impressionne par sa façon de relancer encore les dés, mais aussi par sa tentative d’en gripper la machine. Comme s’il s’agissait désormais, pour Schrader, de creuser son cinéma d’une dimension supplémentaire, réflexive et auto-analytique : être à lui-même son propre sujet d’étude.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Bauche
Paul Schrader est de retour avec The Card Counter, nouvelle plongée dans les noirs tréfonds du cœur humain, porté par un Oscar Isaac en majesté.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Depuis le virage entamé avec The Canyons, magnifiquement prolongé par First Reformed, le cinéma de Paul Schrader, soixante-quinze ans, n’a jamais semblé aussi inventif, capturant la modernité américaine dans une esthétique numérique pleine d’impureté, à mille lieues du glacis arty et vintage, désormais tristement ordinaire, de l’underground made in Sundance.
Voici
par La rédaction
Il y a en William (impressionnant Oscar Isaac) quelque chose du Travis de Taxi Driver, dont Schrader fut scénariste, tissant toujours, de film en film, le fil de ses obsessions de rédemption.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Envoutant et diaboliquement mené, le film de Paul Schrader constitue un joyau de lumière, de noirceur, de musique et de tensions. L’évènement cinématographique de la fin d’année 2021.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Une mise en scène et une écriture taillées au cordeau font de The Card Counter une œuvre majeure soulignant les dommages collatéraux des conflits et interrogeant sur des notions aussi passionnantes que la responsabilité et la culpabilité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Sobrement classieux, le nouveau Paul Schrader happe grâce à un scénario minutieux et à une interprétation d’orfèvres, Oscar Isaac en tête. Tout cela au service d’une parabole frontale de l’Amérique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
The Card Counter sidère par la façon incroyablement sèche et décapante qu’a Schrader de filmer les lieux, ou ces non-lieux qui sont les casinos. (…) C’est bien un purgatoire que la succession de ces lieux postiches jalonne sous les pas de William, condamné à y vaguer comme dans le labyrinthe de sa conscience entachée.
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Comme First Reformed, The Card Counter est un film volontairement éteint, assourdi et dévitalisé, au centre duquel Schrader a placé, non sans une certaine ironie, les restes d’un jardin d’Eden scintillant, comme si l’imaginaire chrétien avait lui-même été colonisé par le capitalisme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par La rédaction
On retiendra surtout de The Card Counter la simplicité dévastatrice de sa mise en scène, entièrement pensée pour mettre en avant le jeu d'Oscar Isaac, dont le seul regard semble abriter des galaxies. Un bel écrin pour l'un des acteurs les plus talentueux de sa génération.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Yann Perreau
Oscar Isaac incarne magnifiquement ce "compteur de cartes" qui tente d'échapper à son destin.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Un thriller psychologique, magistralement maîtrisé dans son scénario comme dans sa composition, d’une redoutable rigueur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par David Ezan
Schrader évide son film avec la patience du vieux sage et l’assurance de celui qui a trouvé son langage ; pas d’empressement ni de superflu ici. Mais la beauté grave d’une œuvre en phase terminale, moins best of que sereine transfiguration.
Le Figaro
par Éric Neuhoff
The Card Counter est tendu, maîtrisé, pessimiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Paul Schrader signe un constat sans appel et impitoyable sur l'état de la société américaine, le scandale de Guantánamo, les droits de l'homme bafoués...
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On pourrait aussi bien voir en The Card Counter, venant de ce fin connaisseur de l’art cinématographique, l’alliance du Pickpocket de Robert Bresson (1959) et du Samouraï de Jean-Pierre Melville (1967). Mais ici, Schrader aura comme infléchi sa gamme. Passé de la stridence à la ouate, de la consomption charnelle au retrait érémitique, il signe un film froid et magnétique à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La rédaction
Un film très réussi, mais aussi très sombre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Avec un Oscar Isaac plus magnifique que jamais, Paul Schrader livre un nouveau film juste et acerbe, aux accents bressoniens, qui traite à la fois de l’univers des casinos et des traumatismes d"‘hommes de guerre” devenus des monstres incontrôlables.
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
The Card Counter esquisse le rêve d’un destin schraderien et d’une sorte d’hérédité qui pourraient être enrayés.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
The Card Counter esquisse le rêve d’un destin schraderien et d’une sorte d’hérédité qui pourraient être enrayés.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Sophie Avon
A 75 ans, le scénariste de "Taxi Driver" dévoile l'envers d'une Amérique morose, désenchantée, dont les souterrains sont hantés par les horreurs d'Abou Ghraib.
Télérama
par Jacques Morice
Avec ce The Card Counter, Paul Schrader signe sans doute l’une de ses œuvres les plus fortes. Où la mauvaise conscience d’un homme fait écho à celle d’un pays, les États-Unis, qui a vite évacué ses crimes infâmes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
On a l’impression de voir deux films distincts, mais la partie consacrée au jeu est passionnante. Et l’ambiance, inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Dans l'épure des silences, dans la violence qui affleure, le réalisateur décharne son cinéma, parfois à l'excès, mais signe un film crépusculaire, rehaussé par le magnétisme d'Oscar Isaac.
Première
par Frédéric Foubert
Si Oscar Isaac impressionne en samouraï masochiste, mutique et félin, la recherche d’épure de Schrader finit par se retourner contre le film.
La critique complète est disponible sur le site Première
CinemaTeaser
Le traumatisme de l'Amérique n'a jamais tant confiné au sublime.
Culturopoing.com
Paul Schrader vient sublimement assombrir cette fin d’année.
L'Humanité
En définitive, The Card Counter séduit par son script millimétré, son casting talentueux, sa mise en scène sobre et ses musiques sombres.
Les Echos
Paul Schrader signe à 75 ans l'un de ses meilleurs films. Parabole politique obscure, « The Card Counter » met en scène un joueur professionnel énigmatique et un comédien magnétique : Oscar Isaac.
Libération
Annonçant le retour en majesté du cinéaste dans les salles obscures, ce nouvel opus impressionne par sa façon de relancer encore les dés, mais aussi par sa tentative d’en gripper la machine. Comme s’il s’agissait désormais, pour Schrader, de creuser son cinéma d’une dimension supplémentaire, réflexive et auto-analytique : être à lui-même son propre sujet d’étude.
Positif
Paul Schrader est de retour avec The Card Counter, nouvelle plongée dans les noirs tréfonds du cœur humain, porté par un Oscar Isaac en majesté.
Transfuge
Depuis le virage entamé avec The Canyons, magnifiquement prolongé par First Reformed, le cinéma de Paul Schrader, soixante-quinze ans, n’a jamais semblé aussi inventif, capturant la modernité américaine dans une esthétique numérique pleine d’impureté, à mille lieues du glacis arty et vintage, désormais tristement ordinaire, de l’underground made in Sundance.
Voici
Il y a en William (impressionnant Oscar Isaac) quelque chose du Travis de Taxi Driver, dont Schrader fut scénariste, tissant toujours, de film en film, le fil de ses obsessions de rédemption.
aVoir-aLire.com
Envoutant et diaboliquement mené, le film de Paul Schrader constitue un joyau de lumière, de noirceur, de musique et de tensions. L’évènement cinématographique de la fin d’année 2021.
20 Minutes
Une mise en scène et une écriture taillées au cordeau font de The Card Counter une œuvre majeure soulignant les dommages collatéraux des conflits et interrogeant sur des notions aussi passionnantes que la responsabilité et la culpabilité.
Bande à part
Sobrement classieux, le nouveau Paul Schrader happe grâce à un scénario minutieux et à une interprétation d’orfèvres, Oscar Isaac en tête. Tout cela au service d’une parabole frontale de l’Amérique.
Cahiers du Cinéma
The Card Counter sidère par la façon incroyablement sèche et décapante qu’a Schrader de filmer les lieux, ou ces non-lieux qui sont les casinos. (…) C’est bien un purgatoire que la succession de ces lieux postiches jalonne sous les pas de William, condamné à y vaguer comme dans le labyrinthe de sa conscience entachée.
Critikat.com
Comme First Reformed, The Card Counter est un film volontairement éteint, assourdi et dévitalisé, au centre duquel Schrader a placé, non sans une certaine ironie, les restes d’un jardin d’Eden scintillant, comme si l’imaginaire chrétien avait lui-même été colonisé par le capitalisme.
Ecran Large
On retiendra surtout de The Card Counter la simplicité dévastatrice de sa mise en scène, entièrement pensée pour mettre en avant le jeu d'Oscar Isaac, dont le seul regard semble abriter des galaxies. Un bel écrin pour l'un des acteurs les plus talentueux de sa génération.
Elle
Oscar Isaac incarne magnifiquement ce "compteur de cartes" qui tente d'échapper à son destin.
La Croix
Un thriller psychologique, magistralement maîtrisé dans son scénario comme dans sa composition, d’une redoutable rigueur.
La Septième Obsession
Schrader évide son film avec la patience du vieux sage et l’assurance de celui qui a trouvé son langage ; pas d’empressement ni de superflu ici. Mais la beauté grave d’une œuvre en phase terminale, moins best of que sereine transfiguration.
Le Figaro
The Card Counter est tendu, maîtrisé, pessimiste.
Le Journal du Dimanche
Paul Schrader signe un constat sans appel et impitoyable sur l'état de la société américaine, le scandale de Guantánamo, les droits de l'homme bafoués...
Le Monde
On pourrait aussi bien voir en The Card Counter, venant de ce fin connaisseur de l’art cinématographique, l’alliance du Pickpocket de Robert Bresson (1959) et du Samouraï de Jean-Pierre Melville (1967). Mais ici, Schrader aura comme infléchi sa gamme. Passé de la stridence à la ouate, de la consomption charnelle au retrait érémitique, il signe un film froid et magnétique à la fois.
Le Parisien
Un film très réussi, mais aussi très sombre.
Les Fiches du Cinéma
Avec un Oscar Isaac plus magnifique que jamais, Paul Schrader livre un nouveau film juste et acerbe, aux accents bressoniens, qui traite à la fois de l’univers des casinos et des traumatismes d"‘hommes de guerre” devenus des monstres incontrôlables.
Les Inrockuptibles
The Card Counter esquisse le rêve d’un destin schraderien et d’une sorte d’hérédité qui pourraient être enrayés.
Les Inrockuptibles
The Card Counter esquisse le rêve d’un destin schraderien et d’une sorte d’hérédité qui pourraient être enrayés.
Sud Ouest
A 75 ans, le scénariste de "Taxi Driver" dévoile l'envers d'une Amérique morose, désenchantée, dont les souterrains sont hantés par les horreurs d'Abou Ghraib.
Télérama
Avec ce The Card Counter, Paul Schrader signe sans doute l’une de ses œuvres les plus fortes. Où la mauvaise conscience d’un homme fait écho à celle d’un pays, les États-Unis, qui a vite évacué ses crimes infâmes.
L'Obs
On a l’impression de voir deux films distincts, mais la partie consacrée au jeu est passionnante. Et l’ambiance, inoubliable.
Paris Match
Dans l'épure des silences, dans la violence qui affleure, le réalisateur décharne son cinéma, parfois à l'excès, mais signe un film crépusculaire, rehaussé par le magnétisme d'Oscar Isaac.
Première
Si Oscar Isaac impressionne en samouraï masochiste, mutique et félin, la recherche d’épure de Schrader finit par se retourner contre le film.