Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Closer
par La rédaction
Jacqueline Bisset, toujours sublime, et Alice Isaaz, vibrante, sont magnifiquement filmées dans ce thriller troublant.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Bien qu’inabouti, le film distille un charme vénéneux et surprend par son séduisant mélange des genres, son jeune réalisateur convoquant aussi bien Polanski et Chabrol que L’Aventure de Mme Muir de Mankiewicz.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un thriller fantasmatique qui tient en haleine - si on accepte sa proposition.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Philippe Rouyer
Des maladresses d’écriture freinent notre adhésion, mais la qualité de l’interprétation de Jacqueline Bisset et d’Alice Isaaz nous donne envie de croire à cette histoire de fantômes, qui réactive en nous les souvenirs de "L’Aventure de Mme Muir" et de "Répulsion".
Première
par Thierry Chèze
Si cette ambivalence fonctionne de manière aussi fluide, c’est aussi grâce à la part laissée à ses deux magnifiques interprètes, Jacqueline Bisset et Alice Isaaz, aussi remarquables de justesse que de complicité. Elles permettent de transcender le côté un peu trop programmatique de la dernière ligne droite du récit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Malgré quelques passages superflus ou maladroits, Messe basse captive par son mélange de romanesque fantastique et d’érotisme vénéneux, en développant un crescendo de folie violente.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un huis clos onirique, qui vaut essentiellement pour le jeu du chat et de la souris auquel se livrent avec brio les deux interprètes principales.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Une singularité certaine parcourt le film, qui peine toutefois à incarner son idée.
Libération
par Laura Tuillier
Parce qu’il ne ménage aucune distance entre son histoire et le traitement qu’il en fait, le film barbotte dans une imagerie vieillotte qui l’entraîne souvent sur la pente du ridicule, d’autant que la mise en scène évoque plutôt un téléfilm poussiéreux de la fin du XXe siècle qu’une tentative de secouer le genre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Closer
Jacqueline Bisset, toujours sublime, et Alice Isaaz, vibrante, sont magnifiquement filmées dans ce thriller troublant.
Le Journal du Dimanche
Bien qu’inabouti, le film distille un charme vénéneux et surprend par son séduisant mélange des genres, son jeune réalisateur convoquant aussi bien Polanski et Chabrol que L’Aventure de Mme Muir de Mankiewicz.
Les Fiches du Cinéma
Un thriller fantasmatique qui tient en haleine - si on accepte sa proposition.
Positif
Des maladresses d’écriture freinent notre adhésion, mais la qualité de l’interprétation de Jacqueline Bisset et d’Alice Isaaz nous donne envie de croire à cette histoire de fantômes, qui réactive en nous les souvenirs de "L’Aventure de Mme Muir" et de "Répulsion".
Première
Si cette ambivalence fonctionne de manière aussi fluide, c’est aussi grâce à la part laissée à ses deux magnifiques interprètes, Jacqueline Bisset et Alice Isaaz, aussi remarquables de justesse que de complicité. Elles permettent de transcender le côté un peu trop programmatique de la dernière ligne droite du récit.
Télérama
Malgré quelques passages superflus ou maladroits, Messe basse captive par son mélange de romanesque fantastique et d’érotisme vénéneux, en développant un crescendo de folie violente.
aVoir-aLire.com
Un huis clos onirique, qui vaut essentiellement pour le jeu du chat et de la souris auquel se livrent avec brio les deux interprètes principales.
Le Monde
Une singularité certaine parcourt le film, qui peine toutefois à incarner son idée.
Libération
Parce qu’il ne ménage aucune distance entre son histoire et le traitement qu’il en fait, le film barbotte dans une imagerie vieillotte qui l’entraîne souvent sur la pente du ridicule, d’autant que la mise en scène évoque plutôt un téléfilm poussiéreux de la fin du XXe siècle qu’une tentative de secouer le genre.