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    Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait
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    330 critiques spectateurs

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    FG92
    FG92

    2 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 septembre 2020
    Magnifiquement tourné et extrêmement bien interprété, un film à ne pas manquer en cette rentrée !
    Belle étude de sentiments qui ne tombe jamais dans le sentimentalisme, Bravo !
    Valerie L
    Valerie L

    8 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 septembre 2020
    Film très intéressant mais totalement gâché par le piètre jeu de Camélia Jordana. On ne croit pas un instant au fait qu'elle s'appelle Daphné et de manière plus large à ce qu'elle raconte
    Kenzo
    Kenzo

    5 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 septembre 2020
    Bavard, inutile, vain, pompeux, prétentieux, ennuyeux, soporifique, agaçant . Une seule envie, quitter au plus vite la salle !
    Frederic S
    Frederic S

    36 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2020
    la passion ou la raison ? quand les triangles amoureux n en finissent pas...
    film compliquer sur les relations humaines mais qui nous embarque bien des le début....
    Ben B
    Ben B

    7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 octobre 2020
    Un des films les plus nuls que j'ai vu. Le rythme est lent, les acteurs jouent mal (oh pardon c'est un "parti pris"), la musique est totalement clichée et le scénario sans intérêt ... Les deux heures semblent durer une éternité.
    A noter que la bande annonce semble avoir été accélérée, le rythme est bien plus lent dans le film.
    Sauf si vous êtes fan des critiques de Télérama, passez votre chemin !
    Hector184
    Hector184

    2 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Le prototype du film pour bobos de Saint-Germain des Prés. Des personnages creux comme de vieux navets passent leur temps, dans des dialogues pitoyables de fausse profondeur,, à disséquer leurs problèmes de coeur et de sexe. Seule chose qui sauve le film : l'actrice qui joue Louise (remarquablement belle et efficace) et qui se sacrifie pour l'amour que son mari éprouve pour une autre (on se demande d'ailleurs comment il peut lui préférer la fadasse Jordana) et qui monte un stratagème altruiste qui donne au film sont seul moment d'intensité dramatique. A réserver pour le public des 5è, 6è, 14è, 2e et 3e arrondissements parisiens.
    cxssxbxnbxn
    cxssxbxnbxn

    2 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 septembre 2020
    Woaw quelle beauté ce film.. plein de poésie, de complexité et de sensibilité. Je m'attendais pas à ça. Les acteurs sont magnifiques également. Un film qui fait du bien surtout en 2020 ! Je précise que je m'attendais à une daube en y allant..... vu certains commentaires ici..
    Mathieu Palain
    Mathieu Palain

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 septembre 2020
    Festival de clichés. Tout sonne faux. Des dialogues écrits comme si on était au 19ème siècle. Des personnages hors du temps, qui travaillent à peine et vivent dans des appartements de 200 mètres carrés en plein Paris, n'ont jamais l'air ni amoureux, ni tristes, plus attachés à bien articuler leur texte qu'à le jouer vraiment. Ouah, c'était chaud de tenir jusqu'au bout. Et alors la scène de baiser déchirant dans le TER + confrontation de meufs enceintes en plein choix de sapin de Noël m'a définitivement achevé.
    Titix Titix
    Titix Titix

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 septembre 2020
    Quelle horreur, c'est pompeux et pédantesque à un point ridicule!! Surtout ne perdez pas votre temps
    Jocelyn L.
    Jocelyn L.

    1 abonné 16 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 septembre 2020
    Ooooooo mon dieu !!!! L'exemple même, dans toute sa splendeur, du film bobo parisien. Tout est cliché et pompeux. Les dialogues sont récités syllabe par syllabe mot pour mot et ne donne pas de réel sympathie pour les personnages. La lenteur et la durée du film font aussi partie des points degatif du film. Dommage l'histoire aurait pu être bien.
    gabdias
    gabdias

    74 abonnés 1 748 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 avril 2021
    Techniquement et artistiquement, ce film marche bien, c’est beau, c’est bien léché, c’est bien interprété dans le rôle qui leur incombe mais mon Dieu, que c’est long, que c’est surjoué. Alors oui ça se veut une pièce classique à la Marivaux adaptée à la sauce 21ème siècle mais c’est franchement indigeste et surcoté. Et cette fascination du cinéma pour les adultères…
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    46 abonnés 733 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 novembre 2022
    Belle découverte d'un metteur en scène français mature, avec un film accompli. Le scénario, de Mouret lui-même, démarre avec des nanas modernes qui veulent tout gérer sur un mode théorique: la carrière, le mari, le plaisir des sens, les enfants, bref les clichés des milieux aisés parisiens et intellos. La suite les dépasse heureusement pour s'enfoncer dans l'introspection des chemins de l'amour, sans perdre en fluidité, malgré les rebondissements multiples! Résolument actuel, Mouret évoque comment prendre son plaisir est devenu sans tabou, mais tous les publics pourront apprécier combien sa réflexion va au-delà pour observer comment chaque individu cherche à trouver, vivre puis garder l'amour de sa vie. Bien servi par la distribution (les actrices Dequenne, Jordona en particulier plus que les hommes), une photo léchée et une bande son très musique classique, cet héritier de Rohmer et Allen, renouvelle le genre et s'enhardit même à des références philosophiques du côté de René Girard. Voilà une bonne raison de soutenir la création hexagonale. Cinema - octobre 2020
    FlecheDeFer ..
    FlecheDeFer ..

    38 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 mars 2021
    Enfin un chef-d'œuvre à la française ! Quand on pense au nombre de navets que produit le cinéma de l'entre-soi parisien, on ne peut que s'émouvoir de ce geste cinématographique majeur qui transcende les frontières de l'excellence et de la subversion. Reprenons. Dans le navet à la française, le sujet n'a ni originalité ni intérêt : que nous en sommes loin ici ! Partant d'une thématique forte et majestueuse organisée autour de trois questions majeures ("Qui a couché, qui couche, qui couchera?") le Cinéaste (comment omettre la majuscule?!) ouvre les champs du possible et s'affranchit des limites du corpus filmis en osant l'extension du débat à des hauteurs que l'on pourrait qualifier d'Everestesques ("Avec qui, en trompant qui, en pensant à qui?") le tout ouvrant d'ahurissantes perspectives de réflexion, nous explorons dès lors les tréfonds de l'âme humaine dans un déferlement d'émotions toutes plus sincères que les autres que l'on pourrait qualifier de jubilatoire, et qui évoque ce grand classique intellectualiste-naturiviste qu'est "Le doutage" par Les Inconnus. Evidemment dans le navet à la française les meilleures intentions sont généralement noyées sous des dialogues dont la pédanterie la dispute à la futilité, mais heureusement foin de tout ceci ici : grâce à des dialogues puissants, ciselés, passionnants (me préférence à ce "Daphné, Daphné, oh Daphné ? … Daphné ! … Daphné, oh… Oh, Daphné… Oui, Daphné… Non… Daphné?" déclamé avec emphase par un Macaigne prodigieusement concerné par son texte qui a visiblement pris comme source d'inspiration le lyrique film d'art et d'essai "Theresa" par Les Inconnus, encore une fois), textes parfaitement déclamés par des acteurs et actrices investis à 100% et qui non seulement ne donnent à aucun moment l'impression de réciter un texte appris par cœur tout en se demandant ce qu'il/elle fait là, mais surtout parlent de façon aussi crédible que naturelle, prenant bien soin de ne pas donner l'impression de forcer la prononciation à chaque mot pour sonner comme au théatre de la cour de Louis XIV. Evidemment, dans les navets à la française, le point de vue est systématiquement celui du réalisateur généralement masculin, et le film tire vite donc vers une représentation plus que complaisante de l'amour, où l'amour n'est que physique, où les femmes sont toutes des chaudasses pour ne pas dire des professionnelles qui s'ignorent, et où la tromperie est justifiée par de grandes principes moraux qui le rendent merveilleux et intellectuel, fort et beau, le tout pour éviter de dire simplement: "Je trompe car je pense avec ma b..." ce qui ne serait pas séant pour un parterre d'intellectuels mâles parisiens bobos. Heureusement, ici le réalisateur ne tombe aucunement dans ce travers, magnifiant au contraire l'amour courtois et le sentiment aux dépens de la simple b... qui finirait par apparaître dégradante hors salon feutré parisien bobo-isé. On ne saurait aussi oublier de mentionner le fait que le navet à la française présente des personnages caricaturaux, toujours les mêmes, par exemple un personnage écrivain (de préférence ne pouvant pas écrire dont on notera le message puissant de métaphore sexuelle, idée d'une originalité telle que personne ne se doutera que la relation charnelle conditionnera en définitive la verg… verve artistique!), une femme prétendant ne pas être amoureuse mais tout de même soumise à l'homme par le déni de son désir même, une relation entre un homme mûr et une jeunette exprimant le fantasme du réalisateur lui-même, le mariage vu comme chose dont il faut se gausser et s'affranchir en vue d'exprimer une rébellion de bon aloi (on est un intellectuel de gauche subversif ou on ne l'est pas, Que Diable), enfin bref, une galerie de personnages que l'on ne risque pas de retrouver ici, dans ce grand œuvre dont les cop… critiques des Césars ont fort judicieusement reconnu la qualité et le rang de chef-d'œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 septembre 2020
    Encouragé par les critiques positives des médias (visiblement trop enclins au chauvinisme et au copinage), j'avais décidé de donner une nouvelle opportunité au cinéma français après de nombreuses déceptions. Grosse erreur! X sort avec Y, qui le trompe avec Z qui couche à son tour avec M qui le trompe avec X... Appliquant cette formule galvaudée, le film dure plus de deux heures, mais il aurait pu en durer trois, quatre ou ne jamais commencer, ce qui aurait été mieux pour le spectateur. Le tout enrobé des références culturelles tout aussi convenues (la bande son paraît tiré d'un CD type "Les vingt incontournables de la musique classique" avec les greatest hits de Debussy, Chopin, Satie et j'en passe) pour montrer que, même si le metteur en scène se limite à recycler les vielles recettes du théâtre du boulevard, il fait tout de même partie de l'élite culturelle. Décidément "Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait" fait partie des choses qu'on ne devrait jamais regarder.
    Laurent C.
    Laurent C.

    237 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 septembre 2020
    Après un film absolument délicieux et drôle Emmanuel Mouret revient sur les écrans avec un film plus écrit et plus mélancolique. Certes, le cinéaste dandy et romantique n'a pas perdu une goutte de son talent de metteur en scène des amours contrariées. Il offre un numéro d'acteurs et de poésie à ses comédiens, dont Camélia Jordana qui est une véritable révélation, dans une histoire quiète et bourgeoise, et surtout au milieu de décors plus somptueux que jamais. Bien sûr, le récit évolue dans un univers parisien, très argenté, qui ne se soucie pas d'autre chose que de l'amour. Mais le cinéma a le droit d'être autrement que la contestation sociale, ou la révélation des inégalités qui pèsent sur la société.

    On a beaucoup de plaisir à suivre les pérégrinations frivoles et tristes de ces personnages qui ne trouvent pas le chemin de la paix. La musique accompagne le récit comme un personnage en tant que tel. Chopin s'invite souvent dans ces mélopées dramatiques où l'on découvre que les choses peuvent être confuses et douces à la fois. Il y a dans ce film toute la quintessence d'un Musset, d'un Beaumarchais ou d'un Marivaux. Emmanuel Mouret se fait plaisir dans une langue noble, chantante, et poétique. Il fait la démonstration que la littérature a toute sa place sur un grand écran.
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