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    La Place d'une autre
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    Alienor S
    Alienor S

    15 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2022
    Bien
    Beau jeu ,tout en nuance des 2 actrices
    Décors costumes magnifiques
    Et un suspens bien entretenu
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    206 abonnés 864 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 janvier 2022
    Lyna Khoudri excelle à nouveau dans ce drame où elle incarne Nélie qui tente d’échapper à son destin en changeant son identité. L’histoire d’une belle amitié. Un film à la photographie impeccable.
    Zakaria Yakini
    Zakaria Yakini

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    4,0
    Publiée le 25 janvier 2022
    Excellent film, j’ai été très surpris en le regardant, je l’ai choisi aléatoirement j’ai écouté mon instinct et j’ai bien fait. Je recommande vivement !
    Carole D.
    Carole D.

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2022
    Film très classique avec des longueurs,qui manque d'intensité malgré le jeu impeccable des deux actrices. Se regarde sans déplaisir.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    696 abonnés 1 433 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 janvier 2022
    "La Place d'une autre" nous transporte pendant la guerre de 1914-1918, à Nancy, où une jeune femme d'un milieu très modeste va usurper l'identité d'une Suissesse rencontrée sur le front (une certaine Rose Juillet) et laissée pour morte après la chute d'un obus allemand.
    Evidemment, cette imposture ne va pas s'avérer si simple à vivre dans le temps...
    Doté d'un casting assez cohérent (Sabine Azéma, Lyna Khoudri), la mécanique de cette tromperie va se mettre en place peu à peu, nous montrant alors les différentes étapes des sentiments ressentis par notre mystificatrice : l'opportunisme, la prospérité, le doute, la culpabilité...
    La réalisation très conventionnelle manque tout de même un peu de relief, le rendu final reste un peu trop lisse et trop sage à mon goût et ce, malgré un scénario relativement plaisant.
    Assez moyen dans l'ensemble et largement esquivable en salle.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Justine Oomen
    Justine Oomen

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    5,0
    Publiée le 23 janvier 2022
    Quel beau film! J’ai adoré le thème toujours d’actualité: différences de classes sociales, désir de s’élever, d’être aimé, apprécié, respecté; la”chute” est toujours possible, quelle qu’en soit l’origine. Une société sclérosée : les femmes servent; les hommes guerroient…Mais il y a aussi le regard bienveillant de certains, religieux, médecins. Les seconds rôles sont remarquables, même les petits rôles sont présents de par leur visage, leur silence ou leur personnalité saillante en quelques plans.
    Magnifiques actrices, très beaux costumes et décors d’époque, lumière et clair-obscur superbes. Sans oublier la musique, qui nous accompagne et nous fait nous envoler.
    Spectatrice du Sud
    Spectatrice du Sud

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    5,0
    Publiée le 23 janvier 2022
    Sous le charme! Il se dégage du film à la fois une grande douceur et pourtant il perce une certaine inquiétude. La manière de filmer, le jeu de lumière, les actrices, leur beauté et je ne parle pas que du physique, leur complexité aussi, tout cela nous a ravies, moi et une amie qui m'accompagnait.
    Yves G.
    Yves G.

    1 314 abonnés 3 314 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 janvier 2022
    Sans feu ni lieu, Nélie Laborde (Lyna Khoudri) s’engage comme infirmière avec la Croix-Rouge en 1914. Sur le front, sa route croise celle de Rose Juillet (Maud Wyler), une Suissesse, en chemin vers Nancy où une place de lectrice l’attend auprès d’une riche veuve de la Haute Société protestante, liée à son défunt père. Un assaut allemand et un éclat d’obus qui blesse mortellement Rose conduit Nélie à prendre sa place et à se présenter chez Mme de Lengwil (Sabine Azéma) qui l’accueille à bras ouverts. Mais, coup du sort : Rose, qui n’est pas morte, arrive à Nancy en comptant bien reprendre sa place.

    "La Place d’un autre" se présente comme un thriller avec pour thème une usurpation d’identité dont on se demande jusqu’à la dernière minute si elle sera ou non dévoilée : Mme de Lengwil, qui fait profession de donner sa confiance avec tant de parcimonie, finira-t-elle par ouvrir les yeux sur l’usurpation dont Nélie s’est rendue coupable ? donnera-t-elle enfin raison à Rose, qui clame sans succès sa bonne foi ? ou se laissera-t-elle aveugler par l’amour maternel qu’elle voue irrépressiblement à la jeune Nélie ?

    "La Place d’un autre" joue avec beaucoup d’intelligence avec le spectateur. À qui en effet ira notre sympathie dans ce face-à-face ? À Nélie, la fausse Rose, qui est l’héroïne du film que nous suivons à chaque plan, dont la rage à sortir de son état de pauvresse nous a séduit, dont nous espérons qu’elle trouvera enfin sa « place » dans une société qui jusqu’alors la lui avait refusée ? Ou bien à la vraie Rose, victime d’une injustice criante dont le sort inique devrait nous révolter ?

    "La Place d’une autre" est un film d’un grand classicisme. Il aurait pu être tourné, à l’identique, dans les années soixante-dix (avec Isabelle Adjani dans le rôle de Nélie et Edwige Feuillère dans celui de Mme de Lengwil). Il suit platement la chronologie du récit, avec quelques rebondissements que la bande-annonce hélas a par avance dévoilés. La diction affectée de ses personnages frôle l’affêterie et rappelle plus le dix-neuvième siècle (le roman de Wilkie Collins a été écrit en 1873) que le vingtième.

    Pour autant, il serait injuste de reprocher à ce film de crouler sous son dispositif. Servi par le jeu de ses actrices impeccables, "La Place d’un autre" ne marquera peut-être pas l’histoire du cinéma mais se regarde sans déplaisir. Libération l’écrit mieux que moi : « On croit bâiller, et puis, la sécheresse de la mise en place, le tact avec lequel le drame psychologique s’immisce dans le sentimentalisme du mélo, l’indécision d’un basculement dans le thriller expriment finalement l’élégance plutôt adroite d’un film qui ne nous indiffère pas complètement. »
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 22 janvier 2022
    Intrigue en forme d’encéphalogramme plat, lisse, sans grand intérêt. La dualité sociale bourgeoise/servante est présentée sans finesse ni grande subtilité, elle frise la caricature. Un suspense psychologique si l’on veut, mais alors avec une psychologie proche de celle d’une huître ! Le tout est filmé sans inventivité, de manière linéaire, sans la moindre aspérité, sans la moindre surprise. On aurait pu réaliser le même film il y a un demi-siècle, voire peut-être un siècle. Le cinéma comme la technique et la société ont pourtant quelque peu changé entre temps. « Au revoir la-haut » a montré qu’il y avait matière à traiter de manière moderne et passionnante d’une intrigue donnant à voir de la Grande Guerre !

    Que dire de la dernière séquence, sinon le ridicule d’une longue discussion entre les deux héroïnes Nelie et Eléonore roulant dans cette engin carrossé des années 1910, sur le chemin cabossé d’un pays en guerre. On a à l’écran l’impression sonore et visuelle d’être dans une Mercedes tout confort et insonorisée, se déplaçant toutes voiles dehors sur une autoroute allemande.

    La photographie ne m’a guère convaincu, particulièrement dans le traitement des clairs-obscurs. La bonne interprétation de Laurent Poitrenaux, ne suffit pas à sauver la mise. Désolé, mais comme dans Papicha déjà, la jeune Lyna Khoudri ne réussit toujours pas à me convaincre dans ce film. Je la trouve peu expressive, limitée dans son jeu. A moins que ce ne soit l’académisme ennuyeux de la réalisatrice qui ait ici bridé les élans de son actrice… Ne parlons pas de la musique assourdissante et hélas omniprésente, j’ai déjà épuisé la réserve de louanges que j’avais pour ce film, dans ma musette.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    313 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 janvier 2022
    Le récit va nous plonger dans la France de la Première Guerre mondiale. Une époque qui va se prêter à une ambiance très froide. À travers quelques dialogues, on sent le poids du conflit. Celui-ci aura d’ailleurs un rôle majeur pour faire basculer l’histoire et enfin la lancer. En effet, celle-ci met beaucoup de temps à démarrer. Le début est un peu trop mou et il faut attendre le premier retournement de situation pour voir l’intérêt naître. Après, cela en vaut la peine, car la suite sera beaucoup plus prenante. Le rythme monte et se maintient. Dommage, la dernière scène assagit un peu le résultat.



    C’est par la nature même de l’intrigue que le suspense va prendre place. Le vol d’identité de Nélie envers Rose. L’époque fait que ce genre d’acte est difficilement prouvable. On va donc être dans l’expectative de savoir si le pot aux roses sera découvert. Cette trame arrivera à rester entretue jusqu’au bout. Cependant, La Place d’une autre ne tourne pas uniquement autour de cela. Ce drame historique va aussi nous réserver une dose de critique sociale. La fille de roturière va par la force des événements côtoyer la bourgeoisie. Son statut de pauvre lui aurait habituellement valu de ne même pas être regardée par Eléonore. Cependant, se faire passer pour Rose va lui ouvrir des portes. Même l’éducation et son sens de la lecture lui auraient été inutiles sans cette fausse identité. Tout un paradoxe souligné. Aux yeux de la haute, seule l'origine compte et non l’être en lui-même. Cela est sous-entendu à plusieurs reprises. Reste à savoir si Nélie va faire bouger les lignes.



    Cette dernière est des plus intéressantes. Le traitement de son personnage est à contre-courant. Quand on prend du recul, elle n’est pas la gentille de l’histoire en ayant volé l’identité de Rose. Cependant, la façon dont elle nous est montrée inverse la donne. Certes, elle est malhonnête, mais tout de même attachante. On va comprendre son acte va être compris et accepté. C’est un peu tout le contraire de Rose. Cette dernière est une victime. Sa vie lui échappe alors qu’on lui prend son identité. Malgré tout, elle n’aura pas la bonne image. La violence va prendre toute la place pour enlever le possible sympathique du spectateur envers elle.



    Quelle performance de Lyna Khoudri. La franco-algérienne livre encore une fois une prestation remarquable, quelques mois après Haute couture. Encore une fois, elle va se sublimer pour montre qu’elle peut être le soleil même accompagné d'une actrice plus expérimentée. Cette fois, c’est l’excellente Sabine Azéma qui est sa protectrice. Le duo marche impeccablement. Maud Wyler va mettre tout son cœur pour faire Rose, et c’est un plaisir.
    Margauxcornetto
    Margauxcornetto

    11 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 janvier 2022
    Je dois dire que ce film présente effectivement de nombreuses richesses tel la mise en scène, la photographie plutôt exploitable. Mais la direction des acteurs donc le jeu des acteurs en soit, je ne suis pas super fan. L'histoire reste tres longue et trop ennuyante. Beaucoup de moment sans rien, une inteigue très même trop longue à demarrer. Je ne suis pas hyper satisfaite par ce film. Après les decors et l'image restent tres jolies a voir.
    claranat
    claranat

    2 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2022
    Un très joli film, intelligent, tout en finesse. L'intrigue, le jeu des acteurs, l'humanité du film... j'ai aimé tout ça.
    Solal Sotet
    Solal Sotet

    1 abonné Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 janvier 2022
    Une très belle surprise en ce début d'année, un film touchant, juste, où les sentiments se devinent plus qu'ils ne se montrent.
    Le casting est porté par un trio d'actrices magistral (Lyna Khoudri, très émouvante, Sabine Azéma, magistrale, Maud Wyler inquiétante)
    La réalisation est d'une grande élégance, ainsi que la photo. A la fois romanesque, sensible et mystérieux, le film aborde la question (toujours actuelle) du plafond de verre social, avec un vrai sens du suspens, en maintenant le spectateur en tension.
    J'ai été pris par surprise par une grande émotion au fur et à mesure du film.
    Après Eugénie Grandet et Illusions Perdues et avec La Place d'une Autre le cinéma français montre encore une fois que le film de costume est encore d'actualité et parle d'actualité.
    agnes noden
    agnes noden

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    5,0
    Publiée le 20 janvier 2022
    Un film qui calme mais pour mieux réfléchir, on est loin du cinéma qui enchaîne les effets, il n'y en a pas et c'est heureux car on se retrouve absorbé, concentrer, l'esprit prêt à saisir les moindres détails de ce dilemme moral complexe. Le calepinage des conventions, le formalisme de la société à l'époque est bien marqué pour que l'on perçoive subtilement que ces 2 femmes vont par leur force de caractère, leur liberté gagnée, sans doute poussées dans le retranchements de leur solitude, peu à peu s'en afranchir et devoir sans cesse se réinventer, quitte à prendre la place d'une autre.
    traversay1
    traversay1

    3 153 abonnés 4 637 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 janvier 2022
    Le classicisme, au cinéma, n'est pas forcément synonyme d'empesé voire d'ennuyeux, si l'histoire racontée tient ses promesses avec une interprétation de haut vol et des décors réalistes, entre autres choses. La place d'une autre n'est pas loin de répondre à ces critères mais sa mise en scène est vraiment trop passe-partout pour pouvoir dynamiser, un récit très sage, malgré la violence sociale de la France de 1914 qui y est décrite avec justesse et qui, d'une manière certaine, fait écho à notre époque. L'héroïne de La place d'une autre est une usurpatrice d'identité, une voleuse de vie opportuniste qui saisit la seule possibilité de s'élever, quel que soit l'aspect moral de son geste. Si son côté thriller, avec un retour d'entre les morts, est un tantinet téléphoné, c'est surtout dans la présentation pleine de bienveillance de l'impostrice (tiens, pourquoi "imposteur" n'a t-il pas de féminin ?) par rapport à la bourgeoise qu'elle a spoliée qui indique que le film ne nous donne pas la liberté de choisir notre camp. Plus intéressante, sans aucun doute, est la relation qui s'établit entre la vieille dame et sa lectrice, sous l’œil circonspect des serviteurs. Et c'est grâce au talent de la toujours splendide Sabine Azéma et de la de plus en plus indispensable Lyna Khoudri que l'alchimie fonctionne entre les deux personnages et crédibilise le récit, jusqu'à son dénouement. Oui, dommage qu'il n'y ait pas davantage de flamme dans la réalisation d'Aurélia Georges et, peut être aussi, de brillance dans les dialogues.
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