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    Babysitter
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    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    70 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 avril 2022
    Je suis passé à côté!
    Le fond: un film féministe ?
    Bain culturel différent ? Génération différente ? Motivation sur le sujet abordé ?
    Il m’arrive de ne pas voir le même film que celui que la réalisatrice avait en tête……

    Ça m’arrive de temps en temps; « déphasage??? »
    Cependant, une chose est certaine; nombre de mes amis sont restés « extérieurs » au féminisme militant de la réalisatrice.

    De plus, le jeu forcé et décalé des comédien(nes) passe mal: Steve Laplante ?
    exception faite pour Nadia Tereszkiewicz qui crève l'écran.....
    Min S
    Min S

    51 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mai 2022
    Je me suis ennuyée, un film féministe dont les hommes sont réduits à des vrai obsédés. l'accent canadien et quelques touches d'humour m'ont permit de rester jusqu'au bout du film.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    151 abonnés 1 034 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2022
    Comédie post-partum post-metoo post-fun. Si vous buvez du RedBull toute la journée peut-être que le rythme survitaminé du film vous conviendra. Si vous aimez le cinquantième degré, peut être que ses dialogues vous plairont. Et si vous appréciez par dessus tout voir des acteurs en roue libre déclamer un texte iconoclaste sans trop y croire, vous serez ravi. Ce qui n'a pas été mon cas.
    Delphine Gauthier
    Delphine Gauthier

    2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 avril 2022
    Film très deplaisant
    Film avec des images chocantes
    Les dialogues la musique tout est horripilant
    Le sujet n est pas traité
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    484 abonnés 928 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2022
    Traiter d'un sujet qui défraie régulièrement la chronique depuis l'explosion du mouvement #metoo pose un défi 2-en-1. Comment traiter et représenter les multiples facettes d'une problématique dont la récente mise en lumière a crée des lignes de fractures au sein de la société ? À cette question, Monia Chokri choisit de répondre par le rire, mais pas n'importe lequel. Le rire grinçant.

    Il y avait déjà de quoi faire dans la pièce signée Catherine Léger, pourtant la réalisatrice lui donne une forme très évocatrice. Le résultat renvoie à une comédie dont le style et la manière s'emploient à incommoder son spectateur. Le ton est donné dès l'ouverture. Une bande de potes assistent à un combat de MMA, et nous on croit être sur le ring. Montage agressif, jeu outré, remarques grasses et le tout s'achève sur une image où la rigolade laisse place à la sauvagerie. La note d'intention, on la reçoit en pleine face. Remettez-vous, la suite entend bien continuer à vous sonner. Sous ses dehors de farce exaltée, Babysitter plonge sexisme ordinaire et mauvaise conscience d'un mâle poussé à l'autocritique dans la marmite. Que le personnage d'Amy va faire monter à ébullition, en agissant comme un grain de sable dans la mécanique de récupération nombriliste mise en branle par Cédric et son frangin. On flatte les bas instincts, on joue des clichés misogynes ou paranos pour mieux dévoiler l'enracinement d'une dégénérescence qui a eu tout le temps de proliférer. Drôle ? Oui. Inquiétant ? Oui aussi.

    Chokri multiplie les procédés de mise en scène (le jeu sur les reflets, excluant la femme d'une remise en question dont elle est pourtant le point central) pour donner à ce chemin de croix burlesque l'allure d'une allégorie piquante. La cadence peut s'avérer difficile à suivre, il est permis de trouver cela exténuant. Mais cet inarrêtable crescendo dans le délire trouve sa raison d'être dans un épilogue où l'explosion est suivie par une accalmie ou chacun est remis face à la réalité, hors du cercle concentrique autour de sa petite personne. Le rire laisse place à la tendresse, et le message passe en douceur.
    Vanille Artiade
    Vanille Artiade

    2 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 avril 2022
    A quoi sert ce film ? La question est posée. Une série de plans clipesques, certes très graphiques, très beaux, rigolos, bien pensés, colorés, rétro, pop, agicheurs. Mais la mise en scène doit elle être au service du scénario, ou l’inverse ? Dans baby sitter, il n’y a qu’un enchaînement d’images, une mise en scène très saccadée et comique, mais qui dessert totalement l’histoire, laissée au second plan. Pourtant, le sujet était plutôt intéressant, mais il n’a finalement servi à rien, sinon ajouter des paroles sur des images. J’aime l’esthétique de Monia Chokri, mais peut-être le cinéma n’est pas le meilleur terrain d’expression tant il n’y a rien qui raccroche son deuxième long-métrage au 7e art.
    Francois Descols
    Francois Descols

    7 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2022
    Univers onirique bonbons à la fraise pour cette comédie douce-amère sur le machisme et le rôle homme-femme dans nos sociétés du 21ème siècle.
    L'actrice de la baby-sitter est étonnante de candeur puérile perverse.
    marie pucheault
    marie pucheault

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 mai 2022
    Aucun sens, aucun intérêt. Les acteurs sont moyens, l'histoire n'a ni queue ni tête.
    Le pitch avait l'air tentant mais ça se veut à mi chemin entre drôle (ça ne l'est pas) et déprimant (oui mais curieux mélange)
    Aurégane Lemière
    Aurégane Lemière

    11 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2022
    Un film qui traite des rapports humains, de genres, de sexualité, complètement déjantée, avec un grande finesse, et qui montre à quel point ces notions sont complexes. Merci pour ce film très pertinent.
    Jorik V
    Jorik V

    1 206 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juin 2022
    Avec son second film, Monia Chokri surprend dans le bon sens du terme. Laissant de côté le chronique de mœurs sympathique mais somme toute assez triviale que l’on a pu découvrir avec « La femme de mon frère », la jeune réalisatrice semble définitivement se lâcher avec « Babysitter » et laisser libre cours à son imagination pour se fabriquer une propre voie. Et, il faut l’avouer, elle est assez unique et c’est tant mieux. Pendant une petite heure et demie, elle nous cueille dans son univers qui ne plaira clairement pas à tout le monde. En effet, cette œuvre est vraiment particulière mêlant les genres, ne se privant pas de sorties de route oniriques et laissant de côté le réalisme des situations et des dialogues pour une tonalité totalement loufoque mais bien gérée. Lorsqu’on adhère, c’est le genre de film qui agit comme une bouffée d’air frais dans un paysage cinématographique de plus en plus formaté et sclérosé.


    Cependant, si on peut dire que le film est une réussite dans les grandes lignes pour peu qu’on accroche à cette proposition singulière, il n’est pas exempt de défauts. Loin s’en faut. Mais peut-être que cela fait aussi partie du charme de cette œuvre inclassable entre comédie, romantisme, film social et même échappée fantastique. D’abord, si « Babysitter » débute sur les chapeaux de roue dans sa première partie, il a une fâcheuse tendance à s’essouffler plus il avance et notamment dans le dernier tiers. Pas déplaisant pour autant cette partie est la moins réussie et on sent que le cinéaste tourne en rond et apparaît à court d’idées. Ensuite, le film manque clairement d’une ligne narrative et directrice claire. Ce qui est peut-être aussi la raison du point précédent. On assiste plus à une succession de saynètes qui pourrait faire figure de sketchs (très réussis) pris séparément. Et toutes ces scènes ne sont malheureusement pas abouties de la même manière.


    Ceci mis de côté, il faut vanter et même encourager ce genre de cinéma qui ne ressemble pas à grand-chose de connu. Peut-être un zeste de l’absurdité des films de Quentin Dupieux ou un soupçon de ceux du duo Délépine-Kervern. Mais Chokri semble avoir digérer ses influences, quelles qu’elles soient, pour se tracer un chemin qui lui est propre et qui lui ressemble. Un univers rose bonbon qui n’oublie pas d’être parfois douloureux ou plein d’acuité. Le thème de la masculinité toxique, de la misogynie et de la place de la femme irrigue cette œuvre mais de manière légère et tout sauf prise de tête. L’humour décalé ici fait régulièrement mouche et nous enchante à plusieurs reprises au point d’éclater de rire. C’est particulier et absurde certes, mais certaines répliques ou le comique de situation valent vraiment de l’or. Mais la jeune québécoise n’oublie pas de soigner ses images et elle développe un sens du cadrage particulièrement original et adapté à l’étrangeté de ce film. C’est bien simple, chaque plan ou presque fourmille d’idées. Une découverte qui ne plaira pas à tout le monde mais à laquelle on ne pourra pas reprocher sa maîtrise visuelle et comique. On aime!


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    Cinememories
    Cinememories

    444 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2022
    Les débuts de Monia Chokri aux côtés de Xavier Dolan lui ont beaucoup réussi (Les Amours Imaginaires, Laurence Anyways). Et il n’est pas étonnant de la voir rebondir de nouveau, après son premier long, « La Femme De Mon Frère », notamment auprès de la scénariste Catherine Léger (Charlotte a 17 ans), dont on adapte une pièce de théâtre. Ensemble, le duo parvient à sublimer chaque idée et chaque plan qui commente de manière décomplexée les rapports de dominance dans la société québécoise. Que ce soit dans l’intimité du couple, sur les réseaux sociaux ou simplement dans un bistrot, toute une galerie de personnages souffre d’un mal invisible, qui les pousse à réinvestir leur statut consciencieux.

    Pourtant, il n’est pas plus question de la morale que de la simplicité des relations humaines. En démarrant le film avec des échanges dynamiques et stroboscopiques, il n’y a ni la place ni le temps pour prendre du recul. Les mots s’envolent, parfois sans mépris et d’autres fois avec un résultat plus malaisant. Le sujet semble limpide, mais c’est probablement dans sa démarche que la cinéaste québécoise viendra nous surprendre, à l’aide d’une mise en scène de plus en plus inventive et décisive d’un monde désenchanté, ou presque. Un geste maladroit, mais loin d’être innocent, de la part de Cédric (Patrick Hivon) le contraint à une introspection loufoque, en passant par l’hypocrisie des médias comme des employeurs qui mettent en avant des valeurs, qui ne sont que les synonymes d’intérêts et bénéfices pour elles.

    De la même manière, nous découvrons une Nadine, campée par Chokri, dans un état de dépression, voire de décomposition. Son mariage n’est pas aussi féerique qu’elle l’aurait souhaité. Soit, un jeune inconnu, va radicalement désamorcer les tensions, d’abord en les poussant jusqu’à leur limite, puis en étouffant toute tentative de répétition. Le personnage angélique d’Amy (Nadia Tereszkiewicz) a donc de quoi semer le doute, mais tout passe par le regard des personnages qui gravitent autour d’elle, comme du spectateur, qui se verra imposer le point du récit, avec une subtilité rafraichissante, jusqu’à jouer avec nos nerfs et notre sensibilité. N’oublions pas qu’il s’agit d’une comédie avant tout, qui a tendance à frapper sur tout le monde, mais qui n’oublie pas d’où elle vient et son propos, qui n’en a que faire d’alarmer dans un politiquement incorrect. La perversion est mise à nu à travers des situations cocasses et qui ne manquent pas l’occasion de rajouter une couche surréaliste, fantastique, voire horrifique, à la photographie rappelant la patine 60s, tout ce qu’il y a de plus hypnotique.

    Chaque protagoniste agonise dans son petit cadre, qui ne laisse pas d’espace pour exister aux côtés de leur ego ou de leur misogynie. Il suffira alors de voir comment la réalisatrice s’amuse à tordre les principes du frère de Cédric, Jean-Michel (Steve Laplante), qui peine à canaliser sa libido en présence d’Amy. Cette sirène, montée sur des rollers quad éveille les obsessions et l’anxiété des résidents de cette bourgade pavillonnaire. « Babysitter » affirme donc avec des sensations fortes, la fragilité et les contradictions du désir, masculin ou féminin. Mais il est évident que la femme trône dans ce parcours atypique, où elle se libère des idées préconçues, qu’elles soient d’ordre féministe ou issues d’une masculinité toxique.
    cinono1
    cinono1

    261 abonnés 1 991 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mai 2022
    La guerre des sexes aura t-elle lieu ? Le mérite du film est de poser des questions tout en s'amusant. Un homme qui rentre en introspection suite à une blague douteuse. Comment contrôler ses émotions, ses pulsions, quand le désir vous guide ? Que la société est sexualité, pas avec des donneurs de leçon de frère en tout cas. C'est un sujet épineux, homme et femme sont sexués, différents et complémentaires. La réalisatrice fait feu avec une mise en scène dynamique mais le film s'essouffle dans son final et n'offre plus d'idées et de perspectives
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    313 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2022
    C'est Monia Chokri, pour sa seconde réalisation après La Femme De Mon Frère, qui adapte la pièce de théâtre de la dramaturge et scénariste Catherine Léger.

    Nous sommes en 2022 et le sexisme a toujours une place aussi prépondérante dans notre société. Quand on y pense, c’est tout bonnement incroyable qu’une civilisation développée comme la nôtre ne se rende toujours pas compte que les hommes et les femmes doivent être égaux. C’est sur ce postulat que va partir Babysitter. Seulement, au lieu de me faire une tirade classique concernant le machisme, c’est un style assez décalé qui va nous être proposé.

    Au départ, il pourrait sembler tout à fait normal. On remarque tout même que le style de réalisation est atypique dans le cadrage et dans le montage. Cependant, nous sommes loin de nous douter de toute la folie qui va nous embarquer. Ce qui est génial est que la trame de base est tout ce qu’il y a de plus réaliste. Un homme fait un acte déplacé à l’antenne envers une femme. Il est fiché, tout le monde le boycott et il va tenter de se relever. De manière ironique, le film va presque le tourner comme une victime dont le geste condamnable va se transformer une opportunité pour évoluer. En fait, ce film marche un peu sur la tête et rassurez-vous, c’est tout à fait volontaire. À travers cette folie de société va se cacher un message clair. C’est une vraie critique sociétale efficace qui nous est proposée. Il y a une remise en question de la place de l’homme et de la femme dans notre société moderne, ainsi que les rapports qu’ils ont entre eux. Par contre, sur la fin, ça va partir loin et ça pourrait perdre quelques spectateurs.

    Il faut noter le génie qui ressort de cette réalisation. On va savourer un message politique fort et passer un moment agréable. C’est tout simplement hilarant. On a des scènes tellement ubuesques que c’est obligé de faire rire. L’atmosphère décalée va permettre de supporter largement et de comprendre le ton ironique. Le but est clairement de se moquer du machisme. Cette comédie est très condensée. Cela se ressent dans son rythme soutenu et heureusement qu’elle ne dure pas plus d’une heure et demie sinon ça aurait pu perdre le spectateur.

    Les acteurs sont tous géniaux. Monia Chokri va se donner le rôle de la femme et l’assume parfaitement. La Française Nadia Tereszkiewicz va être une révélation dans le rôle de la fameuse baby-sitter. Si le génie de cette comédie est possible, c’est aussi grâce au talent de Patrick Hivon. Le Québécois régale.
    Voyageur75
    Voyageur75

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 mai 2022
    Film dénué d'intérêt, on s'y ennuie dés les premières minutes et jusqu'à la fin. Plusieurs spectateurs ont quitté la salle en plein film et j'ai failli en faire de même. Rien à voir avec les films de X.Nolan
    AdamC
    AdamC

    46 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2022
    Humour loufoque, certaines scènes se rapprochent d'une pièce de théâtre ! Un film décalé !
    Personnellement je n'ai pas forcément vraiment accroché mais je pense qu'il mérite quand même d'être vu !
    Je préviens ! Ne vous attendez pas à une comédie à la française ! L'humour Canadien va souvent dans l'absurde et on le retrouve beaucoup dans ce film
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