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    Le Fils du désert
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    3,5
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    51 critiques spectateurs

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    Topaze87
    Topaze87

    6 abonnés 306 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2024
    Un très bon western au caractère humaniste de John Ford, bien que parfois trop candide, magnifié par un superbe Technicolor. Les scènes de tempête dans le désert sont impressionnantes pour l’époque.
    chrisbal
    chrisbal

    11 abonnés 592 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2023
    Pour les inconditionnels de John Ford qui retrouveront dans ce western tout le savoir faire du réalisateur (notamment la mise en scène et la photographie) et un John wayne omniprésent, à la tête d'un trio de hors-la-loi plus candides que méchants qui font la promesse de sauver la vie d'un nouveau né.
    On assiste alors à une traversée du désert qui traine un peu en longueur (à l'inverse d'un final vite expédié) et à un divertissement bon enfant doté d'un humour typiquement fordien.
    stans007
    stans007

    18 abonnés 1 234 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 décembre 2023
    Un film à petit (trop ?) budget pétri de références bibliques (les Rois Mages) racontant l’invraisemblable adoption d’un bébé par trois bandits fuyant sans eau dans le désert. Je n’ai pas du tout réussi à rentrer dedans. Trop américain pour moi.
    Philippe C
    Philippe C

    80 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 décembre 2023
    Un western en forme de conte de Noël, c'est totalement non crédible, globalement très mal joué (notamment dans la traversée du lac salé), mièvre et incohérent ( comment se fait-il que le shérif n'a pas identifié qui était l'enfant). John Ford au plus bas !
    Kincaid
    Kincaid

    118 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 décembre 2023
    Très mauvais film, au scénario incohérent, truffé d’erreurs et sans rythme. Sans parler de la « jeune mère », qui plus est primipare, de 43 ans ! À éviter !
    White Fingers
    White Fingers

    6 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2023
    Un des films les plus méconnus de John Ford, mais également un des plus intéressants. Un film intimiste totalement ramassé sur le jeu de trois acteurs où l'immense John Wayne écrase tout. A l'image d'un conte de Noël avec son déroulé d'infortune et de miséricorde, l'histoire se termine bien. C'est assez drôle de trouver John Wayne dans la peau d'un bandit qui trouvera néanmoins le chemin de la rédemption. Autant les 90% premières minutes m'ont passionné, autant l'épilogue avec son lot de bons sentiments et de morale m'a été insupportable. Un grand bonheur avec cinq minutes de réserves (qui ne sont pas pour une fois indiennes!).
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
    cbeaumont
    cbeaumont

    3 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 novembre 2022
    Western atypique et malheureusement pas très palpitant (ni très crédible). Tout ce petit monde traverse des déserts avec 1 litre de flotte en tout, sur plusieurs jours, ça m'a un peu gâché le plaisir... Se laisse regarder d'un œil, par curiosité...
    Tassadar
    Tassadar

    6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 novembre 2022
    Excellent. John Ford reprend le film qu'il avait réalisé du temps du muet et l'on constate que les "grand dur" peuvent aussi se transformer en une sorte de "papa gâteaux". A ne pas manquer si l'occasion se présente.
    Leon D.
    Leon D.

    7 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mars 2022
    Western hallucinatoire en forme de parcours initiatique dans lequel John Wayne fait preuve de son talent d'acteur. Le début, classique fait craindre l'ennui mais l'humour présent engage à poursuivre. On est alors happé par cette aventure inattendue et cette naissance miraculeuse qui force les protagonistes à passer de malfrats à protecteurs. Je n'en dis pas plus, Wayne ira jusqu'au bout de ses forces. Le "duel" entre le chérif bon enfant, pugnace mais juste et J.W est remarquable. En fait tout est aussi original que remarquable dans ce film méconnu et les seconds rôles sont tous intéressants.
    CH1218
    CH1218

    155 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 décembre 2021
    Un petit western signé John Ford tourné dans des endroits magnifiques de la Vallée de la Mort, du Désert de Mojave et de Lone Pine. Une histoire dérivée de celle des Rois Mages qui se traîne péniblement durant près d’une heure quarante-cinq.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 009 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2020
    « Le fils du désert » de John Ford ne figure pas parmi ses westerns les plus célèbres quoiqu’ayant eu un solide succès lors de sa sortie en 1948. Plus justement nommé « The three godfathers » en anglais, le film est une allégorie s’inspirant de l’épisode biblique des rois mages. John Ford dédie le film à Harry Carey, acteur de second rôle récurrent de ses films et ami du réalisateur, mort le 21 septembre 1947. Inspiré d’une nouvelle éponyme de Peter B. Kyne parue en 1913, le film avait déjà un précédent réalisé par Edward LeSaint en 1916 avec Harry Carey dans le rôle principal mais aussi un autre tourné par John Ford lui-même en 1919 avec encore Harry Carey au générique. Pour cette nouvelle version en couleur, John Ford fait appel à Harry Carey Jr., le fils de l’acteur disparu. Si l’implication personnelle de John Ford est clairement établie, on ne peut douter de son plaisir à aborder encore une fois un sujet qui lui tient à cœur en le parant d’une sublime couleur confiée à Winton C Hoch qu’il retrouvera plusieurs fois par la suite. John Wayne pour sa quatrième collaboration avec Ford dans un rôle principal, change assez radicalement de registre et se tire plutôt correctement d’affaire en nimbant d’une maladresse touchante son personnage de dur devant faire face à une situation qui le dépasse tout en le transcendant. A la tête d’un trio de bandits, spoiler: il attaque une banque, générant une poursuite qui aboutit à ce que le petit gang se retrouve à devoir faire face à l’immensité du désert brûlant. Le hasard place sur leur route, un chariot contenant une jeune femme (Mildred Natwick) sur le point d’accoucher qui meurt en faisant promettre aux trois hommes de veiller sur le nourrisson.
    La jonction avec la légende des trois mages est enfin effective même si elle est largement tirée par les cheveux, exigeant beaucoup d’indulgence du spectateur pour son caractère improvisé. S’ensuit un chemin de croix pour les trois hommes qui se montrent à la hauteur d’une mission qui les sublime et par là même les rachète de leurs méfaits antérieurs. Réalisé par un autre que Ford le film pourrait être insipide d’autant plus que Pedro Armandariz ne brille pas par la justesse de son jeu. Mais le réalisateur chevronné sait agrémenter l’ensemble de scènes touchantes ou drolatiques comme celle où Jane Darnell avec sa large stature et sa verve tonitruante campe une gardienne de réservoir d’eau qui ne se tenant plus quand elle voit la bande des poursuivants arriver, laisse exploser avec une joie roborative la frustration sexuelle qui l’envahit à force d’isolement. Du grand art délivré par Ford avec toute la délicatesse dont il sait faire preuve. On l’a dit, un autre que lui aurait ennuyé. Mais mariant une esthétique des grands espaces qu’il maîtrise parfaitement notamment lors de l’unique poursuite à cheval du film à une sincérité jamais prise en défaut qu’il sait inoculer à ses acteurs, John Ford réussit le tour de force d’emporter le spectateur dans cette épopée plus qu’improbable qui ne manque certes pas de défauts mais qui sait toucher au cœur.
    Jack G
    Jack G

    2 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juillet 2020
    Près de dix ans après Sur la piste des Mohawks et sa dernière utilisation du Technicolor dans un western, John Ford renoue avec son passé filmographique pour réadapter l’un de ses films muets aujourd’hui considéré comme perdu : Les Hommes marqués (1919).
    Ce long-métrage était lui-même un remake d’une précédente adaptation cinématographique d’une nouvelle de Peter B. Kyne, The Three Godfathers (1916), de Edward LeSaint. Le livre inspire, après John Ford, au moins deux autres longs métrages, Hell’s Heroes (1929) de William Wyler et Three Godfathers (1936) de Richard Boleslawski. Une influence que l’on peut donc considérer comme prolifique.
    Les années 1947-1948 voient l’arrivée sur les écrans de nombreux westerns sans aucune brutalité, dont l’un des exemples est justement Le Fils du désert. Ici encore, malgré de nombreux personnages perdant la vie, il n'y a aucune mort violente, la traque étant menée par un homme de loi refusant de tuer. De leur côté, les attendrissants aventuriers hors-la-loi ne sont pas non plus prêts à faire de mal à une mouche. Un pari risqué mais réussi de la part de Ford et de ses scénaristes de s’être à leur tour éloignés de toute violence au sein d’un genre qui en a fait l’un de ses éléments essentiels. Néanmoins, que les avides d’action ne pensent pas que le film en soit dénué : la poursuite qui suit l’attaque de la banque est superbement réalisée, avec des travellings latéraux qui rappellent la scène similaire dans La Chevauchée fantastique.
    L’acteur principal de la première version fordienne de la nouvelle de Peter B. Kyne, en 1919, était Harry Carey, qui est d’ailleurs mort peu avant le tournage du Fils du désert, en 1947. Premier acteur fétiche de Ford, héros d’un nombre incalculable de premiers films du réalisateur au temps du muet, avant de revenir à intervalles réguliers en tant que second rôle dans plusieurs westerns, dont le dernier était La Rivière rouge (1948) de Howard Hawks, sa silhouette et sa singulière façon de se tenir sur un cheval étaient devenues familières aux aficionados du genre, si bien que John Ford a dédié le film à sa mémoire et a engagé son fils pour tenir l’un des trois rôles principaux. « To the Memory of Harry Carey, Bright Star of the Early Western Sky » : telle est la phrase qui apparait à la fin du générique de début. Il s’agit donc d’une belle passation de pouvoir d’un père à son fils.
    Pour autant, Harry Carey Jr. n’a pas été épargné par John Ford sur le tournage du film, qui a fait preuve d’une dureté qui a probablement quelque peu traumatisé le jeune acteur. En effet, le cinéaste, qui l’avait pris pour tête de turc, lui disait à la première occasion que s’il avait su qu’il aurait été aussi mauvais, il l’aurait remplacé dès le début par Audie Murphy.
    Après l’attaque d’une banque, trois hors-la-loi prennent la fuite à travers la vallée de la Mort, pourchassés par un shérif pacifiste et ses hommes. Sur leur chemin, le groupe en cavale rencontre une femme abandonnée, sur le point d’accoucher. Cette dernière, avant de mourir, leur confie le bébé.
    La photographie en Technicolor de Winton C. Hoch est une merveille. John Ford a beau avoir changé de cadre et quitté les plateaux de Monument Valley, les images qu’il propose dans la vallée de la Mort, dans la chaine montagneuse de la Sierra Nevada, ont une beauté rarement égalable dans le genre western. Le film a été tourné entre mai et juin 1948, sous une chaleur de plomb au sein de ce désert inhospitalier, si bien que John Wayne a dû être hospitalisé après avoir été gravement brûlé par le soleil.
    L’acteur fétiche de Ford, malgré les critiques faites à l’égard de sa performance, dont certaines regrettant ses précédentes interprétations sobres et viriles, montre tout de même un visage plus tendre que dans ses rôles habituels, une variation intéressante et parfois assez comique, comme lors des séquences où son personnage découvre les tenants de la paternité.
    De même, attaqués pour leur soi-disant transparence, les deux acteurs qui l’accompagnent, Pedro Almandariz et Harry Carey Jr., s’en sortent quand même plutôt bien face à un monstre sacré du cinéma, apportant une fraîcheur agréable dans cette chaleur du désert. Un trio somme toute convaincant, qui fait passer les valeurs voulues par Ford avec sincérité et tendresse.
    Mais s’il y a bien quelque chose à retenir de ce long-métrage, un aspect qui a souvent étonné et dérouté, c’est la parole biblique déroulée en filigrane, le titre du film y faisant même directement référence grâce à une périphrase désignant explicitement Jésus-Christ, lui aussi né dans des collines désertiques. Le cinéaste transpose ainsi l’épisode biblique de la Nativité dans le désert californien.
    En effet, Ford illustre cette parabole chrétienne en l’inscrivant dans un paysage naturel sauvage et inhospitalier. L’intrigue, empreinte d’une forte connotation religieuse, s’inscrit également dans ce thème. Les trois personnages principaux peuvent être décrits comme de nouveaux Rois Mages, quelques notes au piano du saloon de La Nouvelle Jérusalem reprennent un chant de Noël, la traversée du désert des hors-la-loi peut être assimilée au chemin de croix réalisé par Jésus, Wayne fait la découverte providentielle d’une ânesse, et avant lui, ses comparses trouvent une bible qui, par le hasard des pages tournées, conduit la troupe en cavale vers la rédemption, le sacrifice et la délivrance.
    L’aspect fable de ce scénario fait l’originalité du film mais aussi malheureusement sa plus grande faiblesse, l’allégorie n’étant pas toujours exempte de lourdeurs, les connotations religieuses se révélant bien trop appuyées, comme lors de l’apparition presque surnaturelle et inexpliquée de l’ânesse. On peut aussi regretter une trop forte tendance au bavardage dans la partie centrale du film, et un manque de rythme global malgré un bon départ.
    Un autre message fort du film, qu’on retrouve d’ailleurs dans de nombreux films de Ford, comme dans La chevauchée fantastique, pourrait se résumer au célèbre proverbe : « l’habit ne fait pas le moine ». En effet, dans leur rapport à la mère mourante et à l’enfant, Ford montre la profonde humanité qui anime les actes des trois hommes, qui sont des bandits et que la société réprouve, donnant une parfaite illustration du proverbe.
    Le Fils du désert est un film sur la bonté, qui fait l’éloge du don de soi et de l’entraide. Ford y montre trois brigands sur le chemin du sacrifice et de la rédemption, exaltant ainsi deux valeurs religieuses fondatrices des Etats-Unis, en s’appuyant, qui plus est, sur une réinterprétation de la parole sainte au sein du désert californien. Si ce western a pu être critiqué pour son manque de finesse dans son allégorie religieuse, sa photographie superbe montre une fois encore le talent de John Ford pour ces espaces brûlants et hostiles et mérite à elle-seule le coup d’œil.
    que du cinéma
    que du cinéma

    4 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 janvier 2019
    Wester qui mêle à la fois histoire de bandit et histoire humaine. Beaucoup de symbole sont utilisé qui confère une forme humaniste. Malgré cela les dialogues un peu vieillies.
    L'ombre du 7ème art
    L'ombre du 7ème art

    58 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2018
    La collaboration entre John Wayne et John Ford fut sûrement l'une des plus prolifiques du cinéma des années 1950-1960. "Le Fils du désert" est une de ses collaborations, qui prouve que ce duo est au plus haut de leur forme. Sous ses airs de parabole religieuse, ce western signé John Ford est surtout une formidable traque à travers le désert de l'Arizona où les paysages superbes se succèdent avec un mélange de couleur rouge et jaune qui rende le film magnifique en terme de photographie. De plus le scénario réserve bien des surprises et est très spécial car on voit 3 bandits dont un Jhon Wayne juste formidable grâce à un aspect ambigu qui va devoir, avec l'aide de ses deux compagnons, s'occuper d'un nouveau-né trouvé en plein désert. Ce filn s'éloigne donc des chevauchés, gunfight dont on a l'habitude . Toutefois le gros point négatif provient des références bibliques qui sont parfois gênantes et le plus souvent inutiles car certaines scènes devenant assez cocasses avec notamment l'apparition de deux ânes du, semble t-il, au Saint-Esprit, mais l'essentiel, c'est que Ford nous montre qu'il est définitivement un maître dans l'art de faire des westerns. Ainsi il est inutile d'avoir des fusillades toutes les 5 mins pour rendre un film bon et celui là en est la preuve vivante. Le réalisateur américain faisant des merveilles avec trois hommes lâchés en plein désert et qui vont devoir faire preuve de courage et de bonté pour s'en sortir. Un film à voir par tous les cinéphiles et fan de western. 4/5
    Napoléon
    Napoléon

    116 abonnés 1 540 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mars 2018
    Un petit western à contre courant qui s'avère drôle et touchant. Les personnages sont attachants et les décors assez beaux
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