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    La Baule-les-Pins
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    gabdias
    gabdias

    74 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 janvier 2021
    Une comédie plus amère que prévue qui nous balance d’émotion en émotion : de l’humour, du rire, de la tristesse et surtout de la nostalgie de vacances en familles. C’est vivifiant et cruel mais au final ça manque de profondeur, D.Kurys aurait pu entrer encore plus en profondeur sur le côté dramatique. Beau casting.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    111 abonnés 2 275 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 août 2021
    "La Baule-les-Pins", comédie dramatique française réalisée par Diane Kurys en 1990. Coproduit par Alexandre Arcady.
    Un beau film avec une belle distribution : Jean-Pierre Bacri, Nathalie Baye, Zabou Breitman, Richard Berry, Vincent Lindon, Julie Bataille, Valeria Bruni Tedeschi et Didier Bénureau. Musique de Philippe Sarde.
    Une histoire familiale vue à travers les yeux d'enfants en vacances sur la côte bretonne pendant l'été 1958.
    La plage, la location de famille, les clubs pour enfants, la douceur de la vie dans la France des années 50, la violence des drames familiaux, entre douceur et violence. Une belle réalisation et de bons acteurs.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    73 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2021
    Fortement inspiré de la propre vie de Diane Kurys et de la séparation de ses parents dans les années 50, La Baule-les-Pins est un film de vacances qui se déroule au cœur du mois d’août sur la côte atlantique. Mais sous ses airs d’œuvre d’été, douce et ensoleillée, ce long-métrage sorti en 1990 et se déroulant en 1958 est bien plus grave qu’il y paraît de prime abord. Porté aussi bien par des acteurs confirmés que par de tout jeunes comédiens – tous superbes – ce film sur l’enfance est d’abord et surtout tout une chronique sur la fin de l’enfance, matérialisée par le surgissement soudain de la violence des adultes, et en particulier de celles des hommes. spoiler: Dans une scène particulièrement dure qui vient bousculer l’ambiance douce-amère du film, la brutalité dont fait preuve le mari (Richard Berry) à l’encontre de sa femme (Nathalie Baye) lorsque celle-ci lui annonce qu’elle le quitte est proprement glaçante.
    Une séquence de violence conjugale qui fait tristement écho à l’actualité. À la fois rétro et diablement contemporain.
    andreasy
    andreasy

    5 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2021
    Un film bien tendre, qui entremêle amour et désamour, rire et tristesse dans un décor de rêve. On passe du rire aux larmes et l'émotion est présente tout du long. Et ce d'autant qu'on aura connu soi même ce type de vacances dans les années 50/60 (clubs de plage, concours de château ; le tout patronné bien souvent par des vedettes de passage : Jean Nohain, Lucien Jeunesse.....).
    Quel dommage que les rôles de Jean Pierre Bacri et de Bénureau soient aussi caricaturaux, l'un en bauf' odieux beaucoup trop appuyé pour être crédible, il en rajoute des tonnes et l'autre en proprio maniaque lui aussi dans l'excès. Un peu plus de sobriété à l'un comme à l'autre leur aurait mieux convenu.
    Nathalie Baye est lumineuse à souhait et les enfants sont juste épatants.
    soliloo
    soliloo

    10 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2010
    Le film est assez daté fin des années 80, avec tous les clichés stylistiques de l'époque. Mais dans l'ensemble, il dépeint bien le climat houleux de vacances familiales où les relations entre les individus sont cahotiques. Il n'évite pas les lieux communs et l'exagération, mais alterne judicieusement les scènes comiques et dramatiques. On prend plaisir à regarder ce film porté par une pléiade d'acteurs en grande forme.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 décembre 2006
    Encore une histoire sur les enfants, sur les vacances, sur la famille etc... A première vue ce film ne présente aucun intérêt. Et pourtant Diane Kurys sait mieux que personne jouer des clichés et faire ressortir de tout cela un film qui oscille doucement entre comédie et nostalgie. Ajoutons alors la brillance du casting, y compris les seconds rôles épatants (Didier Benureau, Valéria Bruni-Tedeschi, et nous verrons qu'il n'y a aucune raison de taire notre plaisir. Ce film fait passer un excellent moment et c'est déjà pas mal.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 juillet 2014
    Mon film culte,qui m'a donner envie de faire du cinéma et de m'y intéressé de plus prêt!.Merci à diane Kurys d'avoir eu l'intelligence avec Alain le Henry d'écrire ce magnifique film que depuis PERSONNES à pu égaler ou faire mieux!.Je le connait par coeur et pourtant je pleure toujours à la fin!.Avec aussi des vu magnifique de ma sublime et formidable région des pays de la loire que j'aime encore + grâce à ce film!.MERCI Diane!.
    willycopresto
    willycopresto

    116 abonnés 1 349 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 mars 2015
    C'est un film de vacances de plage à la Tati, l'humour en moins. Diane Kurys a su s'entourer d'un casting particulièrement bien choisi et on s'amuse de voir cette brochette d'acteurs alors plus jeune de 26 ans ! C'est la seule chose amusante. Bacri est déjà dans le même registre : con et râleur. Mais ce qui évite à ce film de tomber dans le désintérêt, ce sont les enfants qui jouent avec beaucoup de spontanéité : en particulier Julie Bataille qui est ado et qui a , les gênes d'une excellente comédienne : on reconnaît sa frimousse joviale et souriante et c'est déjà un poison (elle jette des suppositoires dans le bac à poissons) ! Mais aussi Emmanuelle Boidron qui jouera longtemps les utilités comme fille de Navarro, puis essaiera en vain de succéder à son père commissaire. Elle se fait plus discrète aujourd'hui. Un film sans prétention dans lequel on aurait pu éviter l'abandon d'un chien qui n'ajoute rien à cette aventure aussi délabrée que le couple Berry-Baye de l'histoire....
    willycopresto
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 avril 2009
    Deleuze disait que la littérature n’est pas "raconter sa petite affaire personnelle" et pour les films ? Ici on en plein dedans. C'est gentillé et sympathique seulement en dehors d'une scène de violence aussi inattendue que sans suite, on reste dans le train train des vacances d'une jeune fille, sans doute inoubliable pour elle mais pour nous?
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 août 2010
    Une jolie histoire d'enfants dans les années 50...
    Hotinhere
    Hotinhere

    416 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2020
    Chronique familiale estivale délicate et touchante soutenue par une belle distribution, Nathalie Baye en tête.
    maxime ...
    maxime ...

    195 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2023
    La Baule-Les-Pins est de ces longs métrages que j'ai vu plus jeune, qui m'a de par la même occasion, laissé une trace ! J'avais de mémoire conserver quelques brides, de certaines scènes, de ses plus difficiles à dire vrai ... Une fois de plus les revoir m'a remémoré le pourquoi.

    Avant ça, Diane Kurys, on le sent puise dans un fragment de souvenir, y incorpore une fragilité d'enfant que l'on capte, ou qu'il nous capte, mais dont on suit la trajectoire avec une particularité si propre de ce passage d'une vie. Dès la première scène, cette petite colère de jeune fille qui ouvre dans sa course une porte qui transite d'un bruit de circonstance pour un silence d'adulte, ou la larme qui roule sur la joue du père, comme de la posture, en retrait de la mère, attestent d'une autre teinte qu'il faut reconnaitre, est assez incroyable. Première séquence de Diane Kurys, qui en un ce simple moment, raconte déjà un décor, un cadre, des protagonistes à la dérive ...

    De ces vacances à La Baule ( sublime station du même coup ), en cette date précise de 58, on redécouvre une fuite, une poursuite du temps. Qu'un départ sur un quai de gare et de ses non dits offusque à pareil époque nettement plus qu'à ce jour. Encore que ... Il y'a dans le regard sur cette situation de famille un petit manège qui va se goupiller tel un orchestre mélancolique mais aussi joyeux, en atteste ses farces, de suite visible à l'arrivée sous les directives locatives, que l'on verra toutes explosées au cours du séjour. Le coup des suppos aux poissons reste quand même un summum !

    La brèves présentation des visages qui composent le paysage, se veut sous à la taille des petites, dans un temps du moins. Le récit se narre avec quelques sorties de rang, néanmoins c'est par le biais des yeux - et du journal - de la fille ainée que l'on s'assure de ne rien raté. Très vite, enfin à l'arrivée de Léna ( la mère ), le changement de cap se confond avec celui de cette dernière. L'histoire d'amour passionnelle de cette femme avec cet homme plus jeune, hors de sa classe, virevolte là encore sous les analyses de l'époque, mais brille surtout dans le sentiment qui traverse le film de cette flamme qui vibre entre eux. Le rêve d'Amérique, promesse de tout, deviens solennellement adieu pourtant ...

    La ballade nocturne des petits, et moins petits, est d'ailleurs lourde de répercussion sur le sort de cette relation qui s'achemine de pars leurs conduites. La mission qui les égarent est une aventure que l'on approuve tant il y'a une indifférence au danger, au répercussion, que l'on évoque mais que l'on balaie avec une chanson, dans une communion de groupe qui fait un bien fou. Le passage qui suit, entre filles, ou cette mère confie à ses deux petites ses intentions et bouleversements futurs, ou les larmes communient les unes aux autres n'ont quand à elles, plus rien de gaieté ! La scène de Diane Kurys est toutefois, je me répète décidément, mais oui, il y'a de l'incroyable dans ce geste de tendresse pure et à la fois rude.

    Les rires reviennent, dans cet autre virée tardive, punitives, à l'encontre de ces adultes qui brisent les joies et entraves au lien de cette famille pas touts à faits ordinaire. Il faut voir la découverte du bassin par le proprio et la nurse, de la vérité qui éclate en bas et des éclats du haut pour bien cerné l'idée de base, qui est d'utilisé les contrastes. Car une fois de plus; les sous textes redeviennent primordiale à l'arrivé du père ...

    Les bras chargés d'attentions, de cadeaux, il démontre au fil de ses présents une autre offrande cette fois plus représentative du fond dévasté de sa situation. Chantage, manipulation, sur sa fille, sa belle-famille, sur la nurse qu'il embobine par question anodine et fausse bienveillance avant de maintenir sa prise avec véhémence, par menace donc. La confrontation lors du retour de sa femme, de la mère de ses enfants, de celle qui le quitte, ne perd pas de temps pour faire volé en éclats l'apparence qu'il dissimule. La violence, une colère matérielle d'abord, lorsqu'il pulvérise la voiture de sa femme. Puis physique, dans cette scène qui m'avais extrêmement choqué il y'a plus de 20 ans maintenant ...

    La dispute signe un pic en terme d'atmosphère destructrice !

    La fin des vacances qui se boutique ensuite se dessine par échelons. Par une décroissance quotidienne qui raconte un autre départ. Ce dernier s'acte dans une ultime discussion, avec une larme, encore. Une séparation sur une lettre qui promet des retrouvailles.

    J'insiste, au moment de finir cette critique sur le classique de sa compo qui donne une splendeur d'ensemble au déroulé de ce film. Ces interprètes, adultes comme enfants, ont la collégiale remarquable de par la même occas'. Un film dur qui trouve une place pour de la comédie, qui s'inscrit dans un souvenir ancien et dorénavant bien plus récent. 1958 est loin pour moi, pourtant il me parle au-delà de son époque dans ce qu'il a dans le ventre, dans le rapport qui en fait par une réalisatrice qui restitue ses instants tel une parenthèse qui pèse toujours sur la joie de l'instant ...
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    264 abonnés 2 793 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 septembre 2021
    Une chronique familiale, sur l'insouciance de l'enfance et une sur un divorce annoncé au cœur des années 50. D. Kurys réalise alors un drame empreint de nostalgie estivale, réaliste, avec des comédiens criants de vérité.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2021
    Vacances au bord de l’océan à la Baule pour une famille ou plutôt deux (maris et enfants de deux sœurs) se retrouvant alors qu’un des deux couples est en pleine séparation.
    Rien de bien neuf pour Diane Kurys depuis 1977 et son film phare « Diabolo menthe », elle traite ici de son sujet de prédilection, le divorce ; mais dans la société encore très patriarcale des 50’s. Avec un ton très convenu et une réalisation sans grand charme, le ton est juste de bout en bout aussi bien lorsqu’elle aborde la difficulté pour les femmes de l’époque de s’émanciper ou de la naissance des premiers émois amoureux chez les très jeunes adolescents. Son histoire sans guère d’aspérités reste agréable à suivre et ce grâce en partie à un casting trois étoiles : Bacri, Baye, Berry, Zabou jouant tous des personnages attachants.
    Un bon moment, surtout qu’il nous a permis d’avoir une pensée pour un de nos acteurs fétiches décédé le jour même ; l’excellent Jean-Pierre Bacri. Le lendemain, nous enchainions avec « Un air de famille » avant d’en programmer d’autres les jours qui viennent.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    46 abonnés 733 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 janvier 2021
    Hasard de programmation, le film de Kurys passe le jour de la disparition de Bacri. Si la reconstitution des années fin 50 est fidèle et parle à notre génération, le film hésite entre la comédie légère estivale et le drame conjugal avant la loi sur le divorce. Du coup on ne sait plus sur quel pied danser. Kurys nous a bien plus touché avec l'autobiographique Coup de foudre. TV1 - janvier 20
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