Avis : 365 Dni - Page 6

La grande prouesse de 365 Dni est de faire passer 50 Nuances de Grey pour un chef d'œuvre du genre. Cette version à la mode yougoslave et de qualité Wish ose être plus trash que son modèle. On assiste alors à une culture du viol, à sa banalisation voir même à son adoration par quelques femmes réduites à leurs simples qualités buccales. Le film ose des dialogues tous plus absurdes les uns que les autres et il fallait oser : "Tu veux la toucher ?", oui il parle bien de son engin, "façonné par le diable" capable de faire "hurler les dames jusqu'à Varsovie". Ces dialogues de qualité amateure servent un scénario abjecte où, pour faire tomber amoureuse une femme, il suffit de lui montrer comment son kidnappeur reçoit une fellation d'une inconnu, à vomir ! 365 dni à surfer sur la vague de 50 Nuances de Grey, il pourrait être risible si certains thèmes abordés n'étaient pas aussi choquants.

Bizarrement on veut savoir la suite, même si le tout manque de crédibilité. Il y aussi quelques longueurs mais je sais pas... on veut savoir.

Un film polonais de Barbara Bialowas (2020) d'après le roman de Blanka Lipinska. Un film de femme donc d'après un roman écrit par une femme ! Précision qui a son importance ! Il est difficile de juger sereinement un tel film étant donné le bruit de fond qu'il a provoqué, à ce point que certains ont cédé à la tentation d'hurler avec les loups sans avoir vu le film. Pour preuve ? Que ceux qui parlent de viol me disent où il serait, sauf à interpréter certaines scènes ambigües (l'hôtesse de l'air) ou à en élargir le champ sémantique (le concept flou de "culture du viol"). Le type précise d'ailleurs plusieurs fois à sa victime qu'il ne fera rien sans son consentement. En revanche, oui, il y a séquestration et syndrome de Stockholm puisque c'est le sujet du film. Faut-il alors condamner un film de par son sujet ? D'autant qu'en matière de syndrome de Stockholm on a connu dans l'actualité autrement plus grave et déprimant. Maintenant il faut parler cinéma, l'histoire se suit assez bien jusqu'à ce qu'apparaisse le fameux syndrome enlevant toute tension au film, par ailleurs trop long, et le faisant sombrer près de l'ennui. Le montage est chaotique et certaines scènes sont peu claires, on notera aussi le manque flagrant d'humour, les gros machos ne sont pas des rigolos. Côté interprétation l'acteur italien Michele Morrone joue bien mal, (faut dire que le rôle…) quant à Anna Maria Sieklucka, elle possède un charme discret et un joli minois, on ira pas dire la chose contraire. La bande son n'est pas désagréable. Vu comme film érotique c'est très moyen, comme thriller ça n'a aucun intérêt et comme comédie romantique c'est tarte. C'est donc pas terrible, ça ne mérite pas la moyenne, mais ça ne mérite pas non plus les gémonies.

Un film où se mêle corruptions mafieuses et scènes de sexe explicites. Rien de bien intéressant, si ce n'est les belles images et beaux décors, le reste est trop long et chiant ...

En voilà un film qui a provoqué des réactions. Si certains spectateurs ont rapidement vu la température monter, d’autres ont surtout été offusqués par son personnage principal. C’est vrai qu’ils ont quand même mis le paquet pour le rendre amoral et sans passer par la case “50 nuances”. Martin est à l’opposé du gendre idéal ; c’est un dangereux mafieux qui ne recule devant rien, capable des pires atrocités. Quand il ne tue pas des gens il va jusqu’à faire les boutiques avec la femme qu’il a enlevé ! Polémique mis à part, il faudrait plutôt s’offusquer du scénario qui s’enfonce dans le ridicule avec en point d’orgue un dénouement qui déclenche presque un fou rire. Par contre, ça rigole moins quand on comprend que cela ouvre la porte pour une suite de 365 jours.

Ce film, sorti en juin 2020 directement sur Netflix et réalisé par Barbara Bialowas, n'est pas terrible. Le film, dont la réputation n'est plus à faire (nous ne rentrerons pas ici dans cette énième futile polémique), nous présente un gangster qui enlève une femme et qui lui donne 365 jours pour qu'elle tombe amoureuse de lui. Méthode certes un peu radicale mais qui n'est que trop peu originale pour alimenter un film de près de de deux heures, surtout lorsque nous n'avons que cette idée à nous mettre sous la dent. Le film joue évidemment la carte de l'érotisme et du "sado-masochisme" (entre guillemets car ce n'est pas vraiment ce que j'appelle du sado-masochisme mais enfin bon) et surfe ainsi sur la popularité de "50 nuances de Grey" et tombe dans le piège de ne rien nous présenter autour. Alors personnellement, le film ne m'a pas tellement pas déçu car je m'attendais un peu à cela et je l'ai trouvé dans l'ensemble plutôt divertissant mais c'est vrai que si l'on regarde bien, c'est tout simplement une coquille vide. Les scènes érotiques ne sont quant à elles pas trop mauvaises et mettent bien les deux corps en valeur, ce qui nous permet de nous rincer l’œil à défaut de nous intéresser à l'histoire. Car l'histoire est finalement presque inexistante. Il n'y a pas vraiment de tension puisque la question posée au début du film est assez vite réglée et on tombe assez vite dans quelque chose de déjà-vu et prévisible que la fin tente d'ailleurs der sauver avec un élément relativement original mais qui ne fonctionne pas. Les dialogues ne sont pas vraiment bons non plus, le jeu du chat et de la souris et de la provocation, ça va cinq minutes, mais s'il n'y a rien derrière c'est vite lassant. La mise en scène n'est pas non plus exceptionnelle c

Ça a pris du temps mais j'ai enfin vu "365 Dni". Un film qui était au cœur de tous les débats dans le courant de juin 2020. On part déjà sur une histoire au thème pour le moins surprenant : "un homme kidnappe la femme de ses rêves dans le but de la faire tomber amoureux de lui".
Au départ on sent un forte tension entre les deux protagonistes. Au fil de l'histoire elle s'apaise pour donner vie à une histoire romantique. Au final le film n'est pas aussi "trash" que le gens le pensait. Je l'ai trouvé tout de même intéressant.

Contrairement aux apparences, ce film est un conte de fées pour petite fille en version soft-porn. Le soi-disant méchant est en fait fou amoureux d'elle, ne lui fait aucun mal, la couvre de cadeaux, lui laisse le choix et le contrôle (car oui, en réalité elle a le contrôle et pas lui, donc pour la séquestration on repassera), dit qu'il va tout faire pour se faire aimer d'elle "à la régulière" et bien sûr il est riche, bel homme, puissant, "alpha", c'est en fait le prince charmant et il est à ses pieds. En réalité, c'est donc encore une variation des Twilight et autres 50 Shades of Grey (et la quasi totalité des romans à l'eu de rose) avec toujours exactement la même situation: une fille lambda qui a l'homme parfait (riche, beau, puissant, célèbre, généreux) à ses pieds (et généralement deux hommes parfaits qui se battent pour son coeur histoire de mieux encore la valoriser), prêt à tout pour la conquérir à coups d'étalage de richesses, de cadeaux et d'attentions diverses. Mais avant de hurler, il faut quand même regarder la réalité en face: si ça marche, c'est que ça plaît et que ça correspond à un fantasme (des femmes en l'occurence, car je ne vois pas quel homme regarderait ça, sauf par curiosité...). Donc il faut arrêter de cracher dessus alors que ça correspond à ce que les gens demandent, qu'on aime ou non (par contre, la scène de l'avion, qui suggère fortement que la fille a adoré se faire forcer ainsi, me gêne quand même). Sinon, c'est un très mauvais film avec un scénario vide et bidon, et des scènes hot qu'une mère supérieure ne censurerait même pas tellement elles sont nazes. La critique de rendre glamour l'enlèvement est aussi valide, car en réalité, ça ne se passerait jamais comme ça!

Ce film n'est en fait qu'un téléfilm érotique. La différence avec les films érotiques classiques, c'est une qualité picturale supérieure. Du coup on parle de ce film comme quelque chose fait pour sortir en salle alors qu'il n'en n'a pas le calibre. Le film se démarque aussi par son coté immoral. Il n'en fallait pas plus pour provoquer des remous et, de ce fait, bénéficier d'une incroyable publicité. L'ampleur de celle-ci dépasse complètement l'envergure de l'"oeuvre". Le scenario, les dialogues, la narration, le développement des personnages sont très faibles. Tout çà n'est qu'un prétexte à de longues scènes de sexe dotées d'un bon cadrage, de beaux plans et d'une bonne photographie. On vous a dit "film érotique". N'en attendez pas plus.

Ce film est tout aussi problématique de par le message et l'histoire qu'il raconte que de par le côté purement cinématographique de la chose. Histoire sans queue ( et pourtant ) ni tête, on saute du coq à l'âne à tout va, les scènes s'enchainent et on peine à comprendre ce qu'il se passe tellement cela n'a rien avoir. La psychologie des personnages est bâclée et totalement irréelle, il n'y a aucune logique dans les comportements et parfois même dans les dialogues. Scènes érotiques digne du plus atroce des vieux porno de gare ( spoiler: big up pour la scène de l'avion ou on touche vraiment les bas fonds du sordide, une hôtesse de l'air qui pleure en pleine fellation imposée cela n'affole personne ou alors seulement les malsains...
)
Pour info les scènes de viol n'échauffent pas les femmes, ou en tout cas pas dans le bon sens du terme.
Ce film devrait être retiré et mis là ou il mérite d'être: a la décharge ! Il fait perdre du temps et pour un bon nombre de nanas l'envie de vivre !
spoiler: Et bien sur un grand merci ironique pour cette fameuse scène ou le traumatisme, le dégout, et la colère liée a l'enlèvement , à la séquestration et aux attouchements imposées s'envole comme par magie quand la protagoniste a la permission de faire du shopping avec la carte de son agresseur. Comme quoi toutes ces femmes traumatisées et maltraitées n'ont pas à se plaindre , qu'elle se fasse faire une manucure, ça ira mieux après ...
Aberrant.

Je n’ai jamais vu une daube pareille.
Cet espèce de soap pour émoustiller la ménagère est encore plus affligeant qu’un porno !
Ça en a tous les tous les inconvénients, sans les avantages.
On comprend vite que le seul objectif sera de choquer.
Ne parlons mm pas de la (grosse) patte polonaise qu’on sent tout le long du « film » et qui nous met mal a l’aise : petits budgets, décors cheap, clichés sur les italiens, acteurs bon marché...

Je ne comprends pas que ces pauvres gens qui se prétendent acteurs, osent encore sortir dans la rue après avoir joué dans une horreur comme celle ci. .
C’est mièvre, gauche, ennuyeux... juste bon à faire fantasmer l’adolescente sur la racaille de son quartier.

Bravo Netflix. Vous avez encore fait dans le racolage. On vit une drôle d’époque ...

365 dni en serait presque comique s’il assumait le ridicule des situations qu’il met en scène, seulement gênantes et dégradantes pour la femme comme pour l’homme, tous deux réduits à un corps-objet que l’on esthétise, dénude et percute sous les pulsations de chansons interchangeables. Nous ne pouvons qu’être interloqués par la bêtise avec laquelle le long métrage entend surfer sur la vague Fifty Shades – saga qui ne brillait déjà pas par son intelligence – en poussant le curseur plus loin encore entre les cuisses, conférant à l’ensemble des airs de productions érotiques voire franchement pornographiques compte tenu des modes de représentations du sexe et de l’attitude qu’elles attendent du spectateur. Voilà un film à la fois honteux du point de vue de la morale et nul du point de vue de l’esthétique.

Premier film sulfureux estampiller Netflix, ce dernier s'est voulu comme l'étendard de la trilogie "50 Nuances de Grey" version Italienne et Polonaise. Un film à l'esthétique visuel démontant par sa photo absolument parfaite, couleur des décors, lumière des pièces qu'elles qu'elle soient, rajout... Un casting totalement inconnu à mes yeux mais un clicher franchement énervant, celui des Italiens se prenant pour dieu sait qui avec cette virilité exubérante et gonflante. Mais Michele Morrone aura eu un jeu de dominant fort sympathique mais trop caractériel. Quant à Anna-Maria Sieklucka, l'équivalente à Dakota Johnson à clairement brillée, une femme sculpturale qui, lors de ses scènes nue, à franchement prit l'attention. Vient ensuite bien sûr, le temps de l'érotisme... Bah honnêtement loin des Américains pendant plus d'une heure puisque toute démarraient parfaitement bien jusqu'à ce figées et conclure d'un trait net. Pourtant, la douche matinale et la salle de jeu furent des passages ultra bon. Il n'est qu'au bout d'1h10 sur 1h45 / 2h que le film prend enfin une très bonne tournure scénaristique (car tournant en rond depuis le début et sans aucun fond réel sur les personnages) et un très bonne allure sexuelle. LA scène enfin entre l'intérieur et l'extérieur du Yacht fut démentielle musicalement et niveau mise en boîte. Seul élément bizarre, ce changement donc entre dedans et dehors de façon rapide. Le final par fut très particulier en raison de l'assassinat de notre très belle par le clan Italien pour avoir menacé les affaires mafieuse de ces derniers pour être trop charmeuse et envoutante avec son bel étalon. Le plan aérien sur cette route final fut véridique. "365 jours"... Par pour l'instant, "After", encore moins. Restons encore un peu sur 50 nuances.

Même pas fait 15" devant ce nanard ou les acteurs ( bien grand mot ) jouent très très mal ! En 15 mn aucunes suite logique aucun fil conducteur bref a éviter !

Si je comprends bien, y a plus de hashtag, de porc et de toxicité masculine quand le gars est beau et riche, c'est ça ? Ce film est une honte. Franchement, je n'aime pas la tournure que prend Hollywood, à vouloir à tout prix émasculer toutes les franchises possibles, sous la pression des SJW. Par contre, où sont ces même SJW quand il s'agit de dénoncer un film qui traite la femme comme un vulgaire objet ? A moins que ça ne soit leur fantasme. Pas étonnant que des bouquins comme 50 nuances cartonnent.

Ce film est épouvantable : le scénario, le jeu d'acteurs. Il y a au moins 5 scènes de shopping/habillage dans ce film, qui n'a absolument rien à raconter. Si le gars n'avait pas été riche et beau, ça serait un épisode d'Esprits Criminels.