Avis sur Suspect numéro un

Suspect numéro commence avec un homme Daniel qui reçoit un chèque de paie et qui appelle sa mère. Ce film traite de la nécessité pour le journaliste Victor d'exposer Daniel au gouvernement canadien et de le mettre en prison en Thaïlande. Le film entier est rempli de conversations ennuyeuses et de scènes de surutilisation ennuyeuses. Par exemple la scène de la cigarette, la scène de la prise de drogue, la scène de la moto, la scène de la conduite, la scène de la dispute et la scène de la marche. La scène à peine intense est celle où Daniel se bat avec deux prisonniers thaïlandais dans la prison de Thaïlande. A la fin Daniel est interviewé par Victor après sa libération de la prison de Thaïlande. C'est tout et c'est la fin de l'histoire...

La façon dont les gouvernements ont l'art et la manière de manipuler et déguiser des faits pour parvenir à leur fin demeurera toujours terrifiante...Le jeu des acteurs est parfaitement juste sans jamais tomber dans la caricature. Les intérêts égoïstes de chacun entrent en collision et chacun tente de tirer son épingle du jeu. Mais le plus faible d'entre eux verra une partie de sa vie gâchée pour que l'un gagne de l'argent, l'autre une médaille. Et tout ça sur son dos. Ce monde est effrayant...

Beau film et belle enquête dans le milieu du trafic de drogue et des flics ripoux. C'est nerveux bien mené et très efficace. Une bonne surprise

Est bien ce fut une agréable surprise.
L'enquête est bien mener, ca dégoute vraiment des gouvernement (si seulement ce cas était particulier, mais les mensonges du gouvernement, peut importe le pays), franchement ca énerve, mais comme d'hab ce sont les innocent qui paye.

En tout cas, ça fait plaisir de revoir Josh Hartnett dans un rôle principal (pas revu depuis Penny Dreadful), et le mec est vraiment bon (toujours charismatique). L'autre trés bonne surprise, c'est Antoine-Olivier Pilon (Mommy), qui livre encore une superbe prestation dans le rôle de Daniel Léger.

Y'a qu'au niveau du rythme auquel je trouver, que le long métrage manquer de densité, et le récit choisie (présent avec Hartnett, et passé avec Pilon), qui perd de son efficacité je trouve. Autrement, c'est un film solide, grace notamment a l'interprétation du casting, et d'une histoire qui ma tenu en haleine (et vraiment dingue, ici ce sont les flic qui son clairement dans l'inégalité, et qui vont aller au bout).

Daniel Roby, que l'on connaît chez nous pour avoir réalisé le bon "Dans la brume", est de retour chez lui pour un nouveau film qui s'intéresse à l'histoire vraie d'un québécois qui a été injustement condamné à une lourde peine de prison en Thaïlande pour trafic de drogues. Cet homme, qui s'appelle en réalité Alain Olivier, était en fait un bon pigeon qui n'a pas vu le piège se renfermer sur lui-même. Cette fascinante histoire est racontée sous plusieurs angles et différentes temporalités. Le récit est bien ficelé et réaliste, mais comprend quelques longueurs. Pas convaincu par les scènes avec la petite-amie qui alourdissent le film. Pas plus convaincu par le montage qui ne sert pas l'histoire. Pas tout le temps du moins, car si c'est ce qui rend la première partie captivante, la deuxième manque vraiment de tension et d'enjeux. La conclusion m'a laissé indifférent étant donné que l'on sait déjà tout. Malgré tout, "Target Number One" est pas mal avec des acteurs très convaincants.

Ce long-métrage est inspiré d’une histoire vraie mais, comme le préviennent les encarts avant le générique de fin, des éléments inventés ont été ajoutés de manière à accentuer la dramaturgie cinématographique. « Suspect numéro un » partait sous les meilleurs auspices avec son sujet, son casting et le fait que ce soit une coproduction entre le Canada et la Grande-Bretagne au budget conséquent. De plus, à la barre, on retrouve Daniel Roby qui nous avait étonné et conquis avec le suspense d’anticipation « Dans la brume » avec Romain Duris. Il avait su faire preuve d’un sacré sens du suspense et de la mise en scène sur un sujet étonnant qui voyait une famille devoir survivre dans un Paris envahi par une mystérieuse brume. Mais, contre toute attente, cette grosse production canadienne déçoit dans les grandes largeurs et on ne retrouve pas dans cette enquête mêlée de suspense et de chasse à l’homme, les qualités attendues et vues dans la précédente réalisation du cinéaste.



Il y a déjà un gros problème de temporalité non synchronisée. Les deux personnages principaux évoluent chacun de leur côté pendant tout le film et on apprend à un moment que les scènes de l’un ne se déroulent pas exactement au même moment que celles de l’autre sans que cela soit utile à quoi que ce soit. Ensuite, après plus de deux heures de long-métrage on se dit que finalement cela aurait pu faire deux films distincts tant les deux parcours et les thématiques (sous-)développées ont du mal à s’imbriquer. Ou que chacun des deux aurait pu être un second voire un troisième rôle dans l’histoire de l’autre. Un peu comme dans « Heat », toutes proportions gardées, Josh Hartnett et Antoine-Olivier Pilon (l’adolescent de « Mummy ») n’ont qu’une scène en commun et elle n’a rien de mémorable. « Suspect numéro un » s’éparpille donc sur deux histoires et, s’il ne nous perd pas, dissout fortement notre intérêt. Et Roby livre un film bien trop long avec des séquences répétitives et pas forcément utiles qui n’arrangent rien alors qu’il aurait pu et dû être plus direct et frontal de façon à gagner en nervosité, en rythme et en suspense.



De ce fait, si la première heure captive un tant soit peu, la seconde commence un peu à nous ennuyer et perd notre intérêt. On a même hâte que cela se termine puisque on sait à peu près comment cela va se conclure. Seule la scène de l’arrestation en Thaïlande nous sort de notre torpeur et s’avère réussie. Pourtant, entre le métier de journaliste d’investigation parasité par les hautes instances d’un côté et les manœuvres de la police canadienne pour masquer leur incompétence responsable de l’emprisonnement d’un innocent de l’autre, il y avait matière à offrir une œuvre passionnante. Et Dieu sait que certains cinéastes auraient rendu des copies bien plus palpitantes avec un tel matériau narratif de base. Plus étonnant vu son précédent film, Roby nous assène d’une mise en scène très désagréable à l’œil et datée. L’image est moche et la caméra tremble comme dans la saga Jason Bourne mais sans raison apparente. On croirait le film sorti des années où il se déroule… Dommage car il faisait plaisir de retrouver l’excellent Josh Hartnett sur grand écran. Ce n’est pas mauvais ni déplaisant, juste décevant et laborieux.



Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.

Un film à voir mais sans artifice.
C’est peut-être une histoire vraie donc on ne va pas critiquer les scénaristes, mais je trouve qu’à travers les différents films à ce sujet, ça reste un sujet trop classique.
Je trouve également que les émotions ne sont pas assez intenses, une histoire comme ça se doit d’être poignante, qu’on ressente vraiment les émotions, la peur, le stress, le danger, le dépit, là on n’a vraiment du mal à ressentir quoique ce soit.. 2,5/5

Tres bon , basé sur histoire vraie sauf exception de quelques fait . C'est bon de voir un jeune acteur quebecois au grand ecran avec josh Arnette , bon ok sa se passe ds les annees 80 avec techno de l'epoque : machine a ecrire , enregistreur a cassette . sa demontre bien que meme au canada il y a des tout croches meme dans la justice . Se jeune homme aurait eu la peine de mort au lieu des 8 ans en prison thai si sa n'aurait ete de se journaliste de toronto bien jouer par Josh

Beaucoup de moments qui auraient pu être intenses en émotion et en suspense sont retombés à plat.
Pour faire plus documentaire ?
Montage chronologique très bizarre, déjà que je déteste les flash-backs mais là c'est vraiment un mélange.
Les dernières minutes sont incroyablement nulles.
Par contre, c'est un bon film puisque ça m'a bien éclairé sur les magouilles que peut faire la police dans le but de se faire bien voir au niveau des statistiques sans faire le vrai boulot, et finalement être complice ( avec l'Etat ? ) du trafic de drogue.