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Paul B
36 abonnés
845 critiques
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4,5
Publiée le 15 décembre 2023
Certainement le meilleur opus de la saga, les acteurs sont toujours excellents, l'humour encore plus efficace, le scénario se risque même à un peu de suspense...
Une de mes comédies préférées, tout simplement! Que de fous rires sur les dialogues énormes de la bande, des blagues qu'ils se font, de délires de mytho de José Garcia, un scénario excellent et bien ficelé, bref, que du bonheur. Champions du monde!!!
Un éventail de pieds noirs juifs hauts en couleur dans les rues du sentier se confronte frontalement à l’ogre de la grande distribution. Cet ogre est incarné par un Daniel Prévost de haut vol, un des acteurs majeurs de cette comédie populaire. Cette intrigue centrale permet d’instaurer un suspense jusqu’à un climax final astucieux. Autour de ce fil rouge se greffe des histoires de familles, de cœur et d’affaires en tout genre. Au cœur de la thématique familiale, deux à trois acteurs dopent sérieusement le film : le survolté José Garcia excelle à faire du Garcia, Enrico Macias en patriarche juif caricatural, et pourquoi pas ajouter Gad Elmaleh assez juste. Le reste du casting est assez pauvre ; en tête, Anconina qui n’est crédible que dans le désarroi avec ses yeux de chien battu pour la révolte tu repasseras. C’est populaire, drôle, hyper rythmé et surtout super bien écrit et dialogué ; ils ne faut pas craindre la surenchère caricaturale bien entendu. Mais on rit alors très souvent. L’énergie est omniprésente ; là où la mise en scène est invisible. Thomas Gillou n’a rien fait mis à part cette trilogie... pas étonnant, la mise scène n’est pas loin de la sitcom. A revoir juste pour une bonne soirée de détente.
Après un premier épisode visiblement raté, la bande composée de Richard Anconina, José Garcia, Bruno Solo et Gad Elmaleh (qui prend la place de Vincent Elbaz) revient pour de nouvelles aventures cette fois, visiblement, à la hauteur du casting. En effet, les temps morts sont peu nombreux, les gags rocambolesques tandis que les quiproquos de Thomas Gilou rivalisent d'ingéniosité. Classique de la comédie française, La Vérité si je mens ! 2 divertit et amuse, nous faisant oublier les tracas du quotidien.
Pas de réelle surprise dans cette suite qui ne vaut que pour la présence de l'excellent Prévost et l'escroquerie préparée par Eddie bien que l'ensemble est vraiment gros. Le reste on assiste à des histoires de fesses pas du tout intéressantes et Gad Elmaleh qui remplace Elbaz joue mal, il fait trop sérieux dans son rôle de Dov. Une suite assez décevante qui n'apporte finalement pas grand chose, mais l'humour communicative du groupe reste présente.
Fort du succès populaire du premier épisode, Thomas Gilou propose une suite en 2001. L’histoire poursuit le concept de la petite entreprise de textile implanté dans le quartier du Sentier à Paris qui cette fois se confronte à la grande distribution. Les déboires professionnels et sentimentaux de notre bande d’amis (Richard Anconina, Gilbert Melki, Gad Elmaleh, José Garcia, et Bruno Garcia) sont toujours aussi drôles et rythmés, même si l’effet de surprise ne fonctionne plus. La présence de Daniel Prévost dans un rôle de salopard condescendant est vraiment jubilatoire. Bref, une sympathique comédie qui évite le syndrome du deuxième volet loupé.
J'ai préféré ce second volet au premier car je le trouve bien plus fourni en scène drôle. Le scénario est excellent. Côté acteurs j'ai la encore bien ressenti la complicité entre les membres du groupe. Daniel Prévost est génial en "méchant".le petit bémol c'est gad elmaleh qui joue bien mais je trouve que son personnage ne colle pas bien avec ce qu'il était dans le premier volet.
Drôle et rythmé, avec une brochette de potes au mieux de leur forme, ce deuxième opus est un bonheur, on rigole franchement lors de certaines scènes mythiques comme le téléphone ou l'arnaque pour Eurodiscount. Personne ne semble en-deça des autres, et le film passe à la vitesse de l'éclair.
Quatre ans après "la Vérité si je mens", Thomas Gilou change légèrement de ton: si le 1 était d'abord une vision du monde des marchands de tissus juifs du Sentier mais présenté avec un fond humoristique, le 2 est avant tout une pure comédie, avec dialogues amusants et quiproquos, le Sentier étant plus le contexte que le sujet. Moins réaliste donc mais plus drôle, en partie grâce à Serge "le mytho" Bénamou (José Garcia). Cette suite, presque parodique du premier avec un côté yalla! et bling-bling amplifiés, est ainsi meilleure, plus énergique et un moment de détente garanti. Mange du crabe.
Je ne l'ai pas vu jusqu'au bout tellement c'est mauvais. J'ai failli m'endormir. Et ce changement d'acteur quelle mauvaise idée ! D'habitude j'adore Gag mais il est très peu crédible !!!! J'ai adoré le premier et celui-là est un exemple de suite que je fuis.
On a beau dire ce que l'on veut, le deuxième volet de "La vérité si je mens" ne mérite mais clairement pas sa réputation et s'inscrit comme une comédie inutile dont la seule priorité est de tenter de faire sourire sans jamais y arriver. Ce n'est pas tant l'irritation dont certains acteurs font l'objet, mais plutôt un manque cruel d’intérêts dans le scénario qui déplaît fortement. Et pour cause, si José Garcia y est fidèle à lui-même, crédible mais aussi très débrouillard, Gad Elmaleh comme Bruno Solo n'y sont pas franchement convaincants. Il est clair que le résultat peut laisser le spectateur dubitatif quant aux attentions douteuses de Thomas Gilou. Voulait-il parodier le monde de l'escroquerie ? Ou voulait-il en faire un dessin qui n'a pas été convaincant ? Au vue de l'ambiance nauséabonde du film, la réponse ne peut être clairement identifiée.
Je n'avais pas aimé le premier... Mais alors celui-là, EXCELLENT ! Toute la bande évidemment est à hurler de rire, Daniel Prévost épaulé par Pef des Robin des Bois est parfait en arnaqueur. La véritable star du film est José Garcia qui explose dans le rôle de Serge Benhamou. Et les nanas sont très belles. La vérité, on passe un excellent moment !
On prend quasi les mêmes Vincent Elbaz est remplace par Gad Elmaleh) et on recommence . Ça reste bon mais sent un peu le réchauffé. Gad Elmameh est pour moi moins bon que Vincent Elbaz et dans les nouveaux personnages seul Daniel Pruvost dans le rôle d un salopard parvient à tirer son epingle du jeu