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POST-GENERIQUE
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Plus ambitieux que le premier sur nombreux éléments, mais d'un autre côté...
Le premier était pour un public enfant (béta) ET les adultes: il y a des ester eggs, une seconde lecture (bien que légère) etc...
Mais là c'est avant tout plaire aux jeunes enfants... et si ça plait aux adultes c'est bonus.
Salle comble (d'enfants), les quelques éléments du premier où on se retrouve enfoncé dans le siège avec un Sonic insupportable sont poussés au paroxysme; des vans dignes d’un autre siècle ne fonctionnant pas (ou faisant au mieux sourire gras), un Sonic préado en roue libre, un Robotnik alias Jim Carrey en roue libre: tout est caricatural; Les gadgets de Tails sont des cochonneries en plastique directement sortis des magasins de produits dérivés du film, avec, à côté, un lot de sucettes (robots, émeraudes, nouveaux personnages, refs à différents jeux, etc…) mais n’ayant jamais le bon emballage! (la séquence à Seattle se terminant avec de l’eau sortant des égouts et un Sonic regardant le spectacle sous la pleine Lune à l’instar du début de ‘Sonic Adventure’, avec le mot ‘Chaos’ apparaissant même dans le titre du journal du lendemain, mais sans que Chaos n’apparaisse jamais (ni Tikal)), tous les appareils de Robotnik, bien qu’ayant souvent des traits fidèles: d’un blanc immaculé, Robotnik lui-même: enfin dans sa veste rouge: mais pas celle que l’on connait, le biplan de Tails est rouge au lieu d’être jaune, Tails, qui, au-delà de sa voix ‘particulière’ dans la VF, n’est pas du tout développé; L’’émeraude mère’, parce qu’il faut que les personnages puissent la prendre dans leur main: a une taille semblable aux 7 émeraudes, 7 émeraudes qui quant-à elles se retrouvent à être minuscules (et pour le coup ridicules), des plans faisant penser à ceux de Sonic Adventure (et sa forêt labyrinthique), mais là uniquement pour la déco, les yeux de Knuckle qui s’illuminent on ne sait pas trop pourquoi, « l’île », sortant de l’eau, mais ne s’envolant pas, et en parallèle: Knukles qui utilise ses points pour escalader, Tails qui vole en tenant Sonic par la main, Sonic utilisant sa forme sphérique pour se battre, dont la vitesse lui permet de se retrouver coller à des parois, pleins de détails propres aux jeux, montrés, mais au final au second plan (surf sur un débris de robot), derrière une nouvelle scène de danse n’ayant rien à faire là mais beaucoup plus longue et beaucoup plus gênante que dans le premier, un humour ‘péter-roter’ plus poussé, des éléments de détail dans le premier qui arrivent au premier plan dans le 2 gagnant en infantilité, cassant l’effort avec la facilité, le scénario tenant sur trois pages; Le film en parvient à être moins fidèle à l’univers de Sonic malgré qu’il en montre bien plus que son prédécesseur.
Plus riche, mieux abouti, mais sortant du spectacle de trop nombreuses fois.
Trop joyeux, malgré des passages plus grave (les scènes de destruction du dernier acte sont plutôt saisissantes): Sonic, blessé, recouvert de boue, des blessures sur le front de sa famille humaine dans un lieu hautement dangereux et risquant la mort: mais à l’humeur jamais éteinte.
Une introduction du GUN que l’on peut presque manquer.