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Un visiteur
5,0
Publiée le 12 janvier 2009
La suite de l’évolution de la famille Corleone, de Michael particulièrement, qui décide de vie ou de mort. Titulaire d’un permis de violence à peine contenue, le personnage d’Al Pacino est aussi froid qu’un iceberg. Allant jusqu’à commettre l’irréparable, son ascension n’a pas la même saveur que celle de son père en son temps qui lui, a réussi en tout ; les conséquences des choix fait à contrecœur. Le parallèle entre Vito et Michael est la quintessence même de cette seconde partie, scindant le juste et le mal. Aussi grandiose que le premier et je ne parlerais pas non plus ici des acteurs, il n’y a que des monstres sacrés et mes mots sont bien trop humain pour évaluer des semi dieux.
Je l'ai trouvé moins intéressant que le premier d'où seulement 2 étoiles, mais j'ai été un peu destabilisé par le fait que j'ai vu la première partie en version télé et certaines scènes du 2 étaient déjà présentes, est-ce cela qui m'a influencé je n'en sais rien...en tout cas c'est toujours aussi agréable de voir jouer pacino et De Niro.
Deuxième partie de la trilogie, et deuxième chef d'œuvre pour Coppola, cette suite garde les ingrédients du premier dans le scénario même si plus complexe , la réalisation et la grande musique de Nino Rota. La différence? Le grand Marlon Brando en moins certes remplacé magistralement par De Niro, la perte de James Caan, une multitude de très bons seconds rôles (Lee Strasberg, John Cazale...) et malheureusement une longueur entre les flash-back notamment dans la partie avec Al Pacino. Une grande réussite.
«Le parrain II» (1974) est jugé meilleur que le premier selon certains, moins bon selon d'autres... Pour ce qui me concerne, le débat me laisse assez froid et je ne me fatiguerai donc pas à déterminer si Brando, avec ses balles en résine au molaires, était absolument indépassable, Al Pacino meilleur ou moins bon, de Niro supérieur ou inférieur.... Je me bornerai seulement à constater que Coppola nous ressert les recettes qui ont fait le succès du premier épisode et que ça fonctionne . On a un scénario captivant, des acteurs aussi professionnels que bien payés, des décors de luxe, bref tout ce qu'il faut pour tenir un spectateur assis dans une salle obscure durant quelques heures en lui donnant le sentiment immédiat qu'il a passé un bon moment. Mais je ne vois décidément toujours pas ce qui justifie qu'on fasse de ce film l'un des plus grands chefs-d'oeuvre de l'histoire du septième art. Il est vrai que j'habite une autre planète: celle des givrés qui n'aiment que les films longs, lents, rasoirs, pédants, qui ne racontent rien, avec un plan-séquence traquant le vide toutes les heures, un dialogue homéopathique entre deux abeilles tous les quarts d'heure et un gros plan sur un courant d'air toutes les trois secondes. Mais voilà, je préfère les incongruités, souvent sous-financées, parfois ésotériques, d'un septième art qui ose explorer, aux monuments de convention d'un cinéma tout replet, content et autosatisfait de sa propre réussite. Il semblerait qu'il faille de tout pour faire un monde ...
Chef d'oeuvre de Coppola, équivalent en qualité au premier chapitre, ce parrain II nous permet de suivre parallèlement la construction de la "Famille" par le parrain Vito Corleone dans les années 20 (De Niro, jouant Marlon Brando jeune) et sa destruction par Michael Corleone dans les années 60. Réalisation fastueuse, description précise du Milieu, jeu des acteurs impeccable, force et cohérence narratives exceptionnelles, suspense, tension, tout concourt à faire de cette suite un des monument du cinéma américain.
J'ai encore plus aimé que le premier,avec Michael Corleone(Al Pacino)qui reprend l'industrie familiale et l'enfance de Don Vito Corleone parfaitement joué par Robert De Niro.Beaucoup de choses nous sont expliqués à travers ce film.Encore bravo aux dialogue et au scénario.
Digne suite du premier opus,ce nouveau "parrain" poursuit son analyse au laser d'un univers impitoyable ,où seul les plus froids comme les plus durs pourront survivre à cette course effrénée au pouvoir.Indiscutablement grandiose,une oeuvre puissante à la hauteur du sujet qu'elle traite,sobre mais implacable.
Le plus fort de la trilogie. Les parallèles entre michael et son père et le choix de cette double histoire avec les débuts de Vito Corleone font de ce volet un chef d'œuvre. Le retour en Sicile du premier chef de la famille pour la vengeance de son père restera pour moi le plus beau moment de la trilogie. Robert de Niro est dans sa plus belle interprétation.
Un film qui, à l’instar du N°1, dégage un sentiment de puissance difficilement explicable. Peu de films sur la mafia (si ce n’est aucun- excepté les autres volets de la saga) n’auront traité avec une telle maitrise les aspects de pouvoir et de famille. J’avais souvent entendu dire que ce deuxième opus était le meilleur, sans aller jusque là (la prestation de Brando est irremplaçable), ce Parrain 2 se révèle juste indispensable, ne serait-ce que pour la prestation de De Niro en jeune Vito Corleone.
La meilleure partie de la saga, la plus complexe et la plus intéressante. Le film se déroule en 2 parties, 2 parties qui sont alternés: une partie sur l'ascenscion de vito andolini alias vito corleone et l'autre sur la destruction de la famille. La photo est sublime, le montage est très bon, la musique de nino rota toujours aussi belle et les interprétations sont énormes, al pacino se surpasse et robert deniro joue sûrement dans un de ses meilleurs rôles. Le plan final est sublime, nous montrant la solitude du don. Un grand film, une magnifique épopée!
Excellent film. De la jeunesse de Vito à l'éclatement du clan familial. De Niro et Pacino sont "énormes", c'est évident. Ce second volet est encore meilleur que le premier car il est plus complexe et aborde davantage de thèmes. A ne pas manquer tellement l'impression de chef d'oeuvre demeure après plusieurs visionnages.
Une fresque mythique sur la famille Corleone. Une œuvre complète et bouleversante. Avec cette deuxième partie, le Parrain rentre à jamais dans la légende du cinéma.