un thriller sans grande saveur. l'histoire peine a avancé malgré sa longueur excessive et ses dialogues ennuyeux. l'aspect racoleur du film nous fait penser que le public aurait été le voir juste pour ça. michael douglas tire son épingle du jeu grace une belle prestation comme toujours et ces sans compter sur des second rôle pathétique, surtout demi moore en allumeuse raté. il à les scènes en réalité virtuel qui son la pour meublé le tout et qui n'exerce qu'une faible affluence sur l'avancé de l'histoire.
Malgré quelques incohérences scénaristiques, l'histoire sait se faire relativement solide et bien menée pour que l'on suive ces 120 minutes sans ennui, d'autant plus que l'interprétation s'avère dans l'ensemble convaincante, Demi Moore apparaîssant bien meilleure qu'à l'accoutumée.
Dans la grande lignée des thrillers érotiques du moment. N'empêche que l'on ne peut toujours pas oublier Basic Instinct même avec les meilleures intentions du monde.
Un bon thriller qui met en scène une histoire de harcèlement sexuel. Michael Douglas y subit un harcèlement de la part de sa supérieure hiérarchique et ancienne relation (Demi Moore). A côté de cette histoire, il y a aussi une histoire de complot au sein de la société dans lequel ils travaillent tous les deux. C'est assez prenant comme scénario et le casting est très bon avec des seconds rôles excellents (Donald Sutherland y est parfait).
Une excellente intrigue, beaucoup de tension et un jeu révolutionnaire. J'ai bien aimé le déroulement et le rythme du film. Les deux acteurs sont bons, surtout Demi Moore, impitoyable !
Adaptation du romancier en vogue à l'époque (M. Crichton), ce movie-star est surtout un pur produit destiné à opposer à l'affiche un couple glamour sur un scénario vaguement sulfureux le tout dirigé par un yes man au nom plus ou moins ronflant (içi, le sur-estimé B. Levinson). Bon, autant dire que l'installation de l'intrigue est très rapide, LA scène chaude arrive rapidement et la suite tient éveillé le spectateur grâce à un rythme de rebondissements assez élevé. Les thématiques abondent mais bon, on reste à la surface de tout car ce qui intéresse tout le monde, ce sont les confrontations et les coups bas. Avec un sujet aussi racoleur, difficile de l'éviter en même temps. La forme est efficace, les acteurs assurent et l'intrigue est fluide. C'est calibré au micro-poil pour un rendement immédiat et le film garde une grosse cote de sympathie auprès du grand public grâce à ses quelques scènes de dialogues bien menées. Mais il faut aussi voir le vide de ce que ça raconte à force de n'approfondir aucune thématique. D'autres critiques sur
"Harcèlement"(1994)est un techno-thriller sulfureux,qui verse ensuite vers le thriller judiciaire.Il mise beaucoup sur son climat érotique,incarné par une Demi Moore plus désirable et détestable que jamais.Femme de pouvoir,mante religieuse,manipulatrice;elle parvient toujours à ses fins.Michael Douglas succombe à ses avançes cavalières avant de se voir accusé de harcèlement sexuel.Bienvenue dans le monde impitoyable des affaires,où il ne fait pas bon confondre vie privée et vie professionnelle!On y voit les rouages d'une multinationale informatique,ses méthodes douteuses pour arriver à ses fins(une fusion),où chaque employé peut sauter à tout moment,s'il ne suit pas les volontés dictées.La scène de séduction torride entre les 2 stars atteint un pic,que seul "Basic Instinct" peut égaler.Malheureusement,la seconde partie,plate,interminable et émaillée de rebondissements artificiels,font tomber le film dans le tout venant.Barry Levinson n'insuffle pas la tension nécessaire,et Douglas n'est pas suffisamment en danger(pas de réelles menaces,sa vie de famille continue son cours).Sommet du kitsch:une longue-séquence virtuelle à l'intérieur d'un programme.
En adaptant le roman de Michael Crichton qui parle des problèmes de harcèlements, manipulations et jeux de pouvoirs au sein d'une entreprise, Barry Levinson cède à la mode des années 90 du thriller sulfureux. Michael Douglas (déjà présent dans "Liaison Fatale" et "Basic Instinct") y joue un cadre et père de famille modèle qui se voit souffler sa promotion par une de ses ex, ambitieuse au possible, au point de le poursuivre en justice quand il refuse ses avances après un moment d'hésitation. Si le scénario est relativement classique, voir Michael Douglas se débattre dans les ennuis qu'il s'attire face à une Demi Moore aussi sensuelle que diabolique et un Donald Sutherland vraiment vicieux en patron aux apparences sympathiques est un pur régal. Et la mise en scène de Levinson est efficace.
"Le harcèlement sexuel est une affaire de pouvoir !". Le personnage incarné par Michael Douglas est victime de harcèlement sexuel dans son travail, et c'est une situation qui va se retourner contre lui, pour faire de la victime, le coupable. Il est vrai que l'on n'a pas l'habitude de voir du harcèlement dans ce sens. C'est sûr que d'un point de vue externe et vu la défense des deux parties, on aurait tendance à se rallier du côté de la femme. La belle Demi Moore, plus sexy, cruelle et démoniaque que jamais dans ce film, profite de sa position hiérarchique pour mettre à terre sa proie (et accessoirement son ex). "Harcèlement" est bien écrit, ce scénario qui dérivera rapidement en complot est entrainant, jusqu'à l'arrivée malheureusement bien facile d'un enregistrement audio qui marquera une réelle rupture, venant flinguer la subtilité du récit, jusqu'à présent agréable à découvrir. De même, on se serait volontiers passé des quelques maladresses et autres niaiseries inutiles, comme la scène de la gamine de 4 ans qui s'exclame : "papa, toutes les histoires sur toi, j'ai jamais cru" (à croire qu'à cet âge là on sait ce qu'est le harcèlement et on lit déjà les journaux...).
Un film originale qui renverse le rapport de force entre l'homme et la femme dans les relations de travail. Ici, le pauvre Michael Douglas va subir les avances d'une Demi Moore impitoyable en working girl arriviste. C'est donc l'originalité de son scénario, le rythme de sa mise en scène et la qualité de son casting (n'oublions pas Donald Sutherland) qui font de ce "Harcèlement" un bon moment où l'on regrette malgré tout quelques maladresse (les scènes avec l'image en 3D à la limite du ridicule, le rêve de Douglas avec Sutherland dans l'ascenceur...)
Sacré Michael Douglas, lequel n'avait pas son pareil à l'époque pour se glisser dans des rôles d'homme sûr de lui tombant sous la coupe d'une femme manipulatrice, à l'heure de la masculinité triomphante dans le cinéma US notamment. Dans le droit fil d'un Liaison Fatale et (bien sûr) du plus frais Basic Instinct, le voici confronté à Demi Moore (au sommet de son sex-appeal) dans ce thriller centré sur le harcèlement professionnel. Enfin, centré est un grand mot: en effet, une fois la bombe lâchée et la dynamique fatale enclenchée, la tension se relâche assez brutalement, et le film bascule vers un suspense affairiste, dans le genre "coups bas dans le petit monde des nouvelles technologies". Levinson fait le job côté mise en scène, et les acteurs sont à la fête, mais il faut bien admettre que le sujet tourne hélas un peu court, le scénario trouvant finalement assez peu d’arguments à développer autour de son sujet, le soufflé retombe quelque peu. Ça fonctionne tout de même, mais le soufre s'évente un peu trop vite dans la deuxième moitié du film. .
Pas mal ce thriller sous fond d'harcèlement, et pour une fois c'est une femme qui harcèle un homme, ça change... L'histoire de complot en parallèle est plutôt intéressante et j'ai plutôt accroché même si j'ai trouvé le film un poil long. 3/5
It's a interesting movie on disclosure, le scénario parle d'un type ayant un poste important, se fait harceler dans son travail routinier, le charmant père de famille, époux modèle. Un rapprochement très serré avec une vieille connaissance amoureuse incisive se retourne contre lui, cela s'arrêtera net entre adultes consentants. D'abord, on a affaire à une manipulatrice puis une manipulation au sein de l'entreprise, cela concerne les hommes et femmes de pouvoir, qui dérivera vers le complot, une machination complexe qui laissera les critiques perplexes. Demi Moore joue le jeu d'une actrice calculatrice, avec la complicité de ses associés fin calculateurs, c'est pas mal. Elle/Meredith Johnson croisera les jambes pour Michael Douglas, le cadre supérieur dans cette intrigue à la basic instinct. Que se soit une femme ou un homme, le harcèlement sexuel est un sujet concerné, il y a des experts scénaristes romanciers médecins en la matière. La législation américaine est formelle et en prend note de ce long débat parmi tous les éléments concordants.
Michael Douglas est le symbole même du mec moderne dévoré par les femmes .Comme dans "liaison falate" ou "basic instinct", sa libido fait vaciller sa condition. Face à lui ici Demi Moore est sous exploitée ( si on peut dire!), néanmoins le film tient la route , crée du suspense tout en interrogeant sur la notion de pouvoir.