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    2046
    Note moyenne
    4,2
    32 titres de presse
    • Aden
    • Chronic'art.com
    • L'Express
    • L'Humanité
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • Le Figaro
    • Le Monde
    • MCinéma.com
    • Première
    • Studio Magazine
    • Télérama
    • Télérama
    • Zurban
    • Cahiers du Cinéma
    • Cinéastes
    • Elle
    • France Soir
    • L'Ecran Fantastique
    • L'Obs
    • Le Monde
    • Le Point
    • Les Inrockuptibles
    • Score
    • Synopsis
    • Zurban
    • Ciné Live
    • Libération
    • TéléCinéObs
    • aVoir-aLire.com
    • Libération
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    32 critiques presse

    Aden

    par La rédaction

    Splendide, 2046 est d'une magnificence visuelle qui a peu d'équivalence dans le cinéma d'aujourd'hui. Tout y est conçu selon une pensée d'artiste, et d'artiste qui voit dans le cinéma un art de l'espace et du temps.

    La critique complète est disponible sur le site Aden

    Chronic'art.com

    par Vincent Malausa

    (...) le plus beau film de l'année scintille déjà paisiblement.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    L'Express

    par Jean-Pierre Dufreigne

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    L'Humanité

    par Dominique Widemann

    Wong Kar-wai excelle dans tous les registres plastiques et temporels, fait oeuvre de l'amour et de la création, relie dans leur essence commune souvenir et imaginaire et donne un film d'une beauté fatale aux conventions dont il sait à merveille se jouer. À voir mille fois.

    L'Humanité

    par Jean-Pierre Léonardini

    L'union harmonieuse de tant de formes disparates aboutit, comme par magie, à un style, à la fois populaire au sens hollywoodien du terme et d'un raffinement intellectuel indéniable, aux confins d'un maniérisme, aussitôt rédimé par la conception du tout prenant toujours le pas sur la partie. (critique cannoise)

    L'Obs

    par Pascal Mérigeau

    2046 procède d'une addition de moments qui pour beaucoup touchent au sublime, instants volés au temps, impressions suspendues (...). 2046 millésime sublime.

    Le Figaro

    par Marie-Noëlle Tranchant

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    Le Monde

    par Jean-Luc Douin

    Palme d'or en puissance, le sublime film de Wong Kar-wai vient de hausser d'un cran le niveau du Festival. Nous sommes là en présence d'un très grand créateur, dont les images marquent l'inconscient. Sa caméra imprime une sorte de danse, sa virtuosité esthétique fait sourdre une émotion instinctive. (critique cannoise)

    MCinéma.com

    par Olivier Pélisson

    Dans cette fuite en avant et en arrière, le désir physique est montré frontalement, et le film est un enchaînement de portraits féminins très sensuels. Cet " homme qui aimait les femmes " version Wong Kar wai est un chant d'amour à ses acteurs. Tony Leung, double du cinéaste, est de nouveau le centre des convoitises. Autour de lui, le défilé d'actrices est éblouissant. Un délice.

    Première

    par Sophie Grassin

    La mélancolie hante ce sublime musée des passions défuntes, boîte de Pandore des occasions manquées, où un narrateur un peu voyeur (...) collectionne les femmes (...) sans les aimer toutes bien. Le monde de Proust dégageait une odeur de pourri. Sous l'élégance languide et maniaque (...), sous les bruits de pas qui décroissent, Wong Kar Wai nous la fait respirer aussi.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Studio Magazine

    par Jean-Pierre Lavoignat

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine

    Télérama

    par Aurélien Ferenczi

    Un séducteur hanté par un amour perdu. Wong Kar-wai signe un film virtuose, en écho à "In the mood for love".

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Télérama

    par Louis Guichard

    (...) on ne peut que se rendre à l'évidence : non seulement 2046 est d'une beauté irradiante, mais surtout, l'effet de ressassement, de sampling, qu'il produit, atteint à l'essence même du cinéma de Wong Kar-wai. (critique cannoise)

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Zurban

    par Waldo Lydecker

    (...) un film conçu pour faire le deuil du précédent, et pour interroger les doutes narcissiques de l'artiste. Eblouissant.

    Cahiers du Cinéma

    par Jean-michel Frodon

    Avec 2046 succédant à In the mood for love, Wong Kar-wai offre une nouvelle et impressionnante approche de ce jeu illimité. Jeu qui n'a ici rien de gratuit - c'est le cas de le dire pour un film dont la question de l'échange, du don impossible et des apories du prêt est l'un des ressorts, et où l'on joue beaucoup, mais jamais pour rien.

    Cinéastes

    par Hendy Bicaise

    2046, ce chiffre suprême où l'on fuit pour retrouver ses souvenirs perdus. WKW, (...) lance son film vers un rendement esthétique et émotionnel encore supérieur.

    Elle

    par Elisabeth Quin

    (...) ce que nous offre Wong Kar-wai est un film-somme, un recommencement ivre de perfection, bref une variation saturée de beauté autour d'une certaine "recherche du temps perdu". Jamais autant que dans 2046, le réalisateur n'avait laissé éclater son obsession du temps qui dévore tout.

    La critique complète est disponible sur le site Elle

    France Soir

    par Richard Gianorio

    2046 envoûtant objet d'art, prolonge les rêveries poétiques d'In the mood for love sans en atteindre les grandeurs. C'est bien peu, c'est beaucoup aussi.

    L'Ecran Fantastique

    par Julie Deh

    (...) une véritable symphonie cinématographique entre fable amoureuse, poésie visuelle et drame fantastique.

    L'Obs

    par Pascal Mérigeau

    Même durée, mais des scènes en moins, d'autres en plus, un récit plus fluide, plus accessible, des passage présent-passé-futur moins problématiques. L'écrivain qu'interprète Tony Leung va de souvenirs en inventions, passant d'une femme à l'autre. Et ces femmes, comme toujours chez le cinéaste maquillées, coiffées, habillées, éclairées, filmées à la perfection, sont sublimes.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    Jamais le maniérisme de Wong Kar-waï n'aura été poussé aussi loin, jamais la virtuosité de la forme et le mépris de la narration ne s'y seront exprimés avec une telle puissance. L'orgueil et la réussite de l'entreprise ne sauraient cependant faire oublier qu'elle est menée sur le fil coupant de l'autosuffisance et, partant, au risque de la mutilation.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Le Point

    par Olivier De Bruyn

    Voir la critique sur www.lepoint.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Les Inrockuptibles

    par Serge Kaganski

    Entre mélo à l'ancienne et cinéma moderne, décorum rétro et récit fragmenté, Wong Kar Wai fait entrer l'infini métaphysique et amoureux dans l'espace confiné d'une chambre d'hôtel. Sublime.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Score

    par Eloi

    Wong Kar-Waï à son meilleur, mais le filon du remix de ses propres angoisses va finir par lasser jusqu'à ses fans les plus mordus.

    La critique complète est disponible sur le site Score

    Synopsis

    par Maryline Letertre

    (...) un poême surréaliste, paradoxal : très onirique kitsch sur les années 1960, très high-tech et rond dans le futur. Unique.

    La critique complète est disponible sur le site Synopsis

    Zurban

    par Waldo Lydecker

    La splendeur glacée des images éblouit plus qu'elle ne touche, et Wong Kar-Waï se livre à une idssection de sa propre créativité (...) Magnifique et déroutant. (critique cannoise)

    Ciné Live

    par Grégory Alexandre

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    La critique complète est disponible sur le site Ciné Live

    Libération

    par Didier Péron et Olivier Séguret

    (...) malgré la splendeur (presque humiliante) de ses interprètes, l'inflammation constante de la direction artistique (décors, costumes, maquillages, scénographies, lumières), c'est l'impression d'un corps défiguré, avec ses magnifiques morceaux, qui domine. Déceptif, donc, 2046 reste souvent émouvant par sa sincérité, l'absence de cynisme dont il témoigne. (critique cannoise)

    TéléCinéObs

    par Olivier Bonnard

    Tout ici est joli, les acteurs sont jolis, les volutes de fumée qu'exhale Tony Leung sont jolies, la décrépitude de l'hôtel est jolie. Résultat : l'ensemble tient du clip - ou de la pub pour LG, l'envahissant sponsor officiel du film.

    aVoir-aLire.com

    par Romain Le Vern

    Film-somme superbe à la fois maudit, attendu, fantasmé, frustrant, beau, sensuel. Brillant mais factice.

    Libération

    par Philippe AZOURY

    (...) en lieu et place du film futuriste attendu, Wong Kar Wai avait fourgué un remix (sexué, c'est pas trop tôt) de son hit chochotte 2000, In the Mood for Love.

    Première

    par Gerard Delorme

    Lorsqu'il était inspiré, Wong Kar Wai (...) réinventait le cinéma à chaque plan. Avec 2046, son cinéma est figé dans un système ce champs/contre-champs claustrophobiques. (...). La confusion et l'ennui qui en résultent sont vaguement compensés par les images, belles comme une série de photos de mode (...).

    La critique complète est disponible sur le site Première
    Les meilleurs films de tous les temps
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