Mon compte
    Seize Printemps
    Note moyenne
    1,3
    1056 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Seize Printemps ?

    99 critiques spectateurs

    5
    7 critiques
    4
    11 critiques
    3
    14 critiques
    2
    12 critiques
    1
    21 critiques
    0
    34 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    pauloo
    pauloo

    4 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 octobre 2021
    Marre de voir des films issus et réalisés par des gens venant d'un milieu friqué. Ce film a pu se faire que par l'intervention de papa/maman ! Un film médiatisé par de grandes émissions comme Quotidien et des radios ayant une grosse audience, et même, sélectionné au festival de Canne, une honte pour le cinéma français. Écrit, réalisé et interprété par Mme Lindon, ça va la grosse tête ? Cela se veut nostalgique en voulant se retrouver au même niveau que la Boum... Désolé, mais ce film est mauvais et aucun critère talentueux n'est à retenir.
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    168 abonnés 380 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 juin 2021
    La fille des Lindon-Kiberlain réalise son film et se voit propulser à Cannes... On croit rêver. "16 Printemps" est un film mou, flasque, apathique, auto-satisfait et au style télévisuel. À la télé, ça passe encore... mais là, on est au cinéma et on exige du grand, du beau, de la qualité, tout ce dont le film de Lindon est privé. Pour résumer : ça lorgne du côté de Pialat sans jamais en avoir la force émotionnelle. Suzanne Lindon n'est pas incandescente pour un sou et manque cruellement d'atouts dans son jeu. Un film inutile qui s'ajoute à la liste interminable des navets français.
    tixou0
    tixou0

    629 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 septembre 2021
    "Suzanne" (rôle tenu par Suzanne - Lindon, dans une histoire écrite par Suzanne Lindon, et portée au cinéma par Mlle SL). Comment dites-vous ? Nombriliste, égotiste, exhibitionniste ?... Pff, de vilaines pensées que tout cela... La jeune personne (21 ans en 2021) débute seulement en "créatrice", et prend logiquement la posture de beaucoup d'auteurs néophytes, celle de l'autobiographie (voire plutôt, de "l'autofiction" - très chic..).
    Voilà donc "Suzanne", spoiler: 16 ans, bonne élève, qui habite avec parents et soeur aînée (étudiante en médecine) dans le bon 18e, non loin de la place Charles-Dullin, et de son théâtre pour bien-pensants de choc, l'"Atelier". La scène (pour l'aspect "fictionnel") est à l'époque des "boums", semble-t-il (ce que les tenues vestimentaires confirment). Suzanne aime les diabolos (mais "grenadine"), réveiller ses parents à deux heures du matin pour leur demander si tout va bien, les rengaines de Christophe, et "Raphaël", un des comédiens de "Mademoiselle Julie", à l'affiche de l'Atelier (annoncé à 25 ans, c'est-à-dire bien trop âgé pour une amourette avec une ado - Arnaud Valois, milieu de trentaine, dans le rôle). Donc aussi les opéras baroques, initiée dans ce domaine par Raphaël. Cédera, cédera pas (à l'appel de la chair), Suzanne ?.
    .. Voilà tout l'"enjeu" scénaristique de ce "16 Printemps" (Mlle Lindon est elle-même née au printemps...). Heureusement très court (1 h 10 - si on part dès la dernière image, s'épargnant le générique de fin). Visionner ce pensum sur le net présentant l'avantage (à souligner) de pouvoir piquer un petit somme, de temps à autre - sans risquer d'être déconcerté(e) en regagnant le "fil", eu égard à l'absence de tout "rebondissement".
    Alors, devant un tel bilan, on ne peut que s'étonner que ce premier film ait été présenté à Cannes (dans la sélection officielle !) - au fait, non, puisque l'édition 2020 n'a pas eu lieu (pour cause d'épidémie - entre peste et choléra...).
    La circonstance que SL soit une (double) "fille de" est un indice, expliquant en tout cas un début de carrière en fanfare.
    A-t-elle, au moins, reçu en héritage le talent d'interprète de ses célèbres géniteurs ? Hum... Ce laideron androgyne a des faux airs d'une Charlotte Gainsbourg ado, elle marche comme elle, ânonne son texte comme elle (avec une voix éraillée, en prime), et a le même genre de jeu inconsistant : son avenir est donc tout tracé, grâce à un réseau efficace comparable...
    Jorik V
    Jorik V

    1 194 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 novembre 2020
    Un peu comme Nathan Ambrosini qui, du haut de ses 18 ans, avait réalisé le film « Les Drapeaux de papier » sorti il y a deux ans, Suzanne Lindon et ses vingt printemps semblent manquer de maturité et d’expérience pour réaliser un film maîtrisé, pertinent et réussi. En effet, la fille de Vincent Lindon et Sandrine Kiberlain, qui a donc baigné dans ce milieu, a voulu se lancer dans l’écriture, la mise en scène et jouer le rôle principal de son premier film. C’est peut-être un peu beaucoup pour une si jeune fille et n’est pas Xavier Dolan qui veut à cet âge-là… Le génie artistique adolescent n’est pas donné à tout le monde et, sans renier la précocité et le talent de cette jeune fille au demeurant et certainement très douée, « 16 printemps » est bien trop insignifiant et creux pour convaincre. C’est même plutôt mauvais si l’on juge ce premier essai de manière objective.



    Non pas mauvais sur la forme, avec une mise en scène correcte et qui développe quelques bonnes idées, mais plus sur le fond avec une histoire bien trop peu développée et simpliste qui ne tient pas la durée d’un long-métrage. En effet, « 16 printemps » part d’un sujet intéressant, en l’occurrence l’histoire d’une jeune fille mineure qui tombe amoureuse d’un trentenaire et réciproquement, mais tout cela reste trop au stade d’ébauche, presque comme une note d’intention artistique que l’on aurait plaquée tel quel sur le grand écran. Et très certainement qu’un court-métrage de moins de trente minutes aurait davantage rendu honneur à ce film et au potentiel talent de sa jeune réalisatrice. Alors on ne s’ennuie pas, c’est un fait, car le film ne dure même pas une heure et quart mais cela n’empêche pas qu’on ait l’impression de regarder beaucoup de vide qui ne raconte pas grand-chose…



    Cependant on peut accorder à Suzanne Lindon un certain univers en train de se dessiner (très influencé par le cinéma d’auteur dans lequel ont évolué ses parents), une bonne direction d’acteurs (Frédéric Pierrot est très bon dans le peu de scènes qui lui sont imparties et Arnaud Valois est parfait en trentenaire attirée par cette jeune fille) et il y a une bande originale sympathique qui permet à « 16 printemps » de développer ses meilleures séquences (comme celle, aérienne, qui voit le personnage principal danser dans le rue). En revanche, Suzanne Lindon aurait dû prendre une autre actrice plutôt que de se mettre en scène puisque son jeu n’est pas toujours juste et que cela aurait permis de plus se concentrer sur le reste. En somme, et en attendant la suite pour cette jeune réalisatrice, ce n’est pas détestable mais on oublie aussi vite ce film une fois qu’on l’a visionné. Et si le sujet aurait pu être passionnant et véhiculer passion(s), émotions et mettre les sens en éveil, le résultat est plutôt et malheureusement à l’opposé.



    Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
    Wasapat
    Wasapat

    24 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 juin 2021
    c 'est bateau , attendu et surtout une absence totale de réalisation.
    vu que la mise en scène n' était vraiment pas une priorité ainsi que le casting ( ils sont d 'une transparence confondante) ca devient à la fin plutôt insipide
    Saha wfarha
    Saha wfarha

    5 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 juin 2021
    Nombriliste, creux, circulez y'a rien à voir!
    D'ailleurs, comment une débutant qui prétend ne rien devoir à ses parents a t-elle eu accès à une telle opportunité?
    Quels privilèges a t-elle mobilisé pour DÉBUTER en tant que héroïne ET réalisatrice d'un LONG métrage?
    Face à la déception des spectateurs et de la majorité de la critique, par quelle magie cette daube a t-elle été dans la sélection officielle du mythique festival de cannes?
    Ces questions n'émanent pas de préjugés mais de la visualisation du film et des retours de la critique.
    Il y'a certainement des privilégiés qui saisissent leurs chances pour PROUVER leur talent et s'imposer. Ce n'est pas le cas de l'impatiente Suzanne.
    La concrétisation de ce navet n'a pas seulement déçu les spectateurs et la critique mais a provoquer beaucoup de tristesse, ressentiment et désespoir des jeunes réalisateurs talentueux qui n'arrivent même pas une financer un micro-métrage face à cette imposture ou injustice avérée.
    J.Dredd59
    J.Dredd59

    92 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 octobre 2021
    Beaucoup ont reprit les critiques émises par les journalistes, soit « film de bobo gauchiste et de privilégiés, toujours la même chose, nombrilisme, actrice et réalisatrice grâce à son nom pas par son talent etc ». Je suis souvent en désaccord avec la presse, toujours plus ou moins achetée par les studios, et donc encore plus avec ceux qui répètent leurs incongruités. Sauf que là faut avouer que c’est vrai et flagrant, une fille de Lindon et Kiberlain qui réalise et tourne son 1er film à 21 ans c’est trop gros. Ce truc est vide, un semblant de pitch déjà vu plein de fois (pas qu’avec C. Dion), des dialogues lénifiants, un rythme mou, des musiques qui vont avec les scènes mais qui serviront davantage de berceuses, un jeu plat… Malgré sa courte durée (1h10) c’est truffé de longueurs, aller on va dire que c’est un style genre Godard ou Pialat, personne connait maintenant ça passera.
    Bref on a une caricature des productions françaises qui se veulent intellectuelles, tellement bien à sa place dans l’élite que ça passe au festival de Cannes, une preuve de plus qu’il faut oublier cette cérémonie consanguine ? A vous de voir…
    Boris S
    Boris S

    19 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 juin 2021
    Un film vide sans aucun intérêt. Ce sujet a été traité avant et par bien plus talentueux. ( beau père, Lolita )

    La durée du film est représentative de la fragilité de l'œuvre avec 70min à peine... un film sans idée, sans fond, sans forme.. porté par l'ego d'une bobo parisienne qui ne connaît que sa petite vie du 16em.

    M'enfin ce n'est pas la première fois que nous devons supporter les engeances de nos chères élites culturelles.. une de plus parmi tant d'autres qu'il faudra alors supporter écouter et voir.
    thmspr
    thmspr

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 juin 2021
    Le problème de ce film, selon moi, c’est l’intention qui l’a vu naître. Suzanne voulait faire un film, c’est tout. Sans utiliser le terme de « caprice », je dirai plutôt qu’elle a saisi l’opportunité qui lui a toujours était offerte, indirectement. Sauf que vouloir faire un film, ça ne veut pas dire avoir quelque chose à dire, ni même savoir comment le faire.
    Le scénario, vous l’aurez compris, est inexistant. Tout est lent, beaucoup de malaises dans les dialogues et les actes. Le personnage de Suzanne est mou et s’enfonce volontiers dans le cliché de l’ado qui se veut mature pour son âge. Celui d’Arnaud n’est pas en reste et lui vole tous ces défauts, en emprunte peut être même plus encore jusqu’à devenir énervant et franchement border en terme de mœurs. Les scènes sont très random, et celles qui ne semblent pas ressembler à beaucoup d’autres (une scène de bar devant une grenadine, un jeu de regard ennuyeux devant le théâtre,...) paraissent tout simplement venir du brouillon d’un autre script tant elles sont dépourvues de sens ou n’apporte aucune réflexion au film, qui en aurait pourtant bien besoin.
    Autre malaise du film, il tente par certains codes (mal maîtrisés) d’entrer dans une pseudo catégorie « d’art et d’essai », ou du moins de s’en inspirer, sûrement pour l’étiquette cool qui pourrait en découler. Tout, dans la photographie, les danses, les choix musicaux, le montage, en est calqué, sans réfléchir au sens de ces emprunts ou comment les intégrer intelligemment. Cela donne au film un caractère égocentrique, qui se regarde trop le nombril et veut se donner une image qui ne lui va pas.
    Loin de moi l’envie de simplement descendre le film, mais tout en souhaitant être le plus constructif possible, je ne lui vois que trop peu de qualité. La précocité du projet, mais aussi sa médiatisation peu méritées ne fait qu’accroître le sentiment négatif qu’il engendre. Il aurait fallut être un peu plus modeste, accepter peut être d’être entourée et conseillée davantage, et entrer à plus petits pas dans le monde du cinéma.
    Virginie P
    Virginie P

    43 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 juin 2021
    Des premiers films j'en ai beaucoup vus.
    Pas facile d'être à la hauteur de ses parents que sont V. Lindon et S. Kimberlain. La jeune Suzanne a fait un film vide, plat, creux, sans aucune émotion et nombriliste. Même les autres grands comédiens sonnent creux dans ce film.
    Rien ne justifie une sélection au Festival de Cannes 2020 si ce n'est d'être là fille de...
    Rayane K
    Rayane K

    5 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 juin 2021
    Un film de bobo, fait pour les bobos qui sont nées avec une cuillère dans la bouche et un caillou dans le cerveau, je n'ai rien contre les riches mais les riches qui méprisent ceux qui ne le sont pas ça a le don de m'agacer. Un navet, vraiment n'allais pas le voir sauf si vous vous sentez supérieur aux autres parce que vos parents sont riches.
    Korbô D.
    Korbô D.

    6 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 juin 2021
    Voir des premiers films, c'est une chose. Voir un premier film sans que la réalisatrice n'aie réalisé de courts métrages avant s'en est une autre...
    Et c'est bien dommage car le film est plein de défauts. Peu (mal) écrit. Suzanne Lindon aurait du faire des courts métrages avant de s'improviser réalisatrice.
    Les choix de pauline
    Les choix de pauline

    110 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 juin 2021
    Exactement le film que je craignais. Pourtant j'aurai vraiment voulu que cela soit bien!!!
    Déconnecté, assez vide et finalement prétentieux. Il y a pourtant dans ce côté déconnecté une forme d'intemporalité qui réussi parfois à toucher à l'essence de l'adolescence. On essaie vraiment de se dire que c'est bien. Mais non, les répliques sont vides et artificielles, l'histoire creuse et snob. Et les rôles sont sommes toute très pauvres!! Mon dieu! La mère godiche sans reparties et juste bonne à préparer le petit dejeuner dans sa robe impeccable, le père plein de charme mais apathique. Et l'histoire d'amour sans intérêt. Dommage!!il n'y a quand même dans ce film que des bons comédiens qui ont été mal employés et surtout peu servis en bons dialogues. Quand à Suzanne lindon, elle agace bet minaude. N'est pas charlotte Gainsbourg qui veut.... dommage. Espérons mieux pour une autre fois!
    Monsieur Connard
    Monsieur Connard

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 juin 2021
    Tout simplement horrible.
    On m'a offert la place et j'ai quand même l'impression de m'être fait arnaqué.
    Tout, tout est nul.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 800 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 septembre 2021
    Le film qui s'en est pris plein la tronche parce que réalisé par une petite bourgeois cooptée (et parce que ça avait l'air assez nul, on ne va pas se mentir) est enfin sorti en VOD !

    Et franchement ce n'est pas très bien, on sent tout le délire de la bourgeoisie parisienne qui s'ennuie, qui trouve que bon quand même les autres sont trop cons et qui rêve d'une idylle avec un homme plus âgé. Le problème c'est que tout ça est quand même bien trop explicite et sans grande finesse pour réussir à convaincre. On la voit qui s'ennuie mortellement avec les gens de son âge, on filme bien en gros plan qu'elle se fait chier... Qu'elle joue avec sa paille... Franchement moins subtil tu meurs. Il y avait moyen de filmer ça en plan séquence fixe, avec des dialogues intelligibles où on voit bien que la fille n'est pas intégrée dans la conversation plutôt que d'en faire des caisses...

    Et c'est là que ça fait vraiment délire mégalomaniaque... le film fonctionnerait mieux si elle n'était pas sur tous les plans, en grrrooooossss plan... et si tout ça avait tout simplement plus de vie, ça permettrait de rendre ça simplement crédible. Là si on excepte finalement une scène où un décorateur lui raconte comment il a choisi la couleur de son décor, personne ne s'exprime, personne ne parle ce qui fait un film très peu ancré dans le réel (même pour un réel bourgeois). Et je suis désolé pour faire un film aussi taciturne, il faut de bien meilleurs acteurs (ou mieux les diriger), mais surtout bien mieux mettre en scène tout ça.

    Surtout que le film est redondant au possible, on se tape je ne sais combien de chansons de Christophe, pas mal de séquences de danse entre le mec et la fille... c'est bon... ça tourne en rond.
    En fait le film a beau ne durer qu'une heure et quelque, c'est long pour rien. C'est clairement un scénario de court métrage étiré sur plus d'une heure pour faire un long métrage à peine la majorité atteinte.

    Parce qu'en vrai, si tu vires cette séquence ridicule au possible où elle lève les bras au ciel dans la rue de bonheur, (ou la pire scène d'infiltration au monde, avec Suzanne Lindon s'infiltrant dans un théâtre pour faire du male gaze et mater le vieux qui lui plait) chaque scène, prise indépendamment des autres peut fonctionner plus ou moins... C'est juste qu'en faisant trop, en montrant et remontrant la même chose, on est juste abruti par ces conneries...

    Faire simple c'est pas juste mettre peu de dialogue, c'est réduire toute la narration et ne pas compenser avec des plans sursignifiants parce que tu penses que ton public c'est des prolos débiles auxquels il faut tout dire 50 fois...

    Disons que ça a quand même l'intelligence de ne pas durer beaucoup plus d'une heure... c'est déjà ça.
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top