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    Spencer
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    2,6
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    149 critiques spectateurs

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    Ciné-13
    Ciné-13

    94 abonnés 891 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2022
    Iconoclaste jour de Noël! Est-ce une fiction ou une fable?
    La musique prend une place prépondérante pour ambiancer : acide, intrigante, passionnée, mystérieuse, lourde et triste.
    On voit très peu la famille royale. La comparaison avec Anne Boleyn la martyre est osée. Elle craque en permanence, elle ne supporte rien, si ce n'est les magnifiques parures:
    William et Harry aiment le KFC. Ce portrait est incroyable : il fallait oser!
    Clément R
    Clément R

    14 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 février 2022
    La prestation de Kristen Stewart est puissante et particulièrement réussie. C'est le point fort de ce film qui retrace la période où Diana est empêtrée dans une vie qui ne lui correspond plus.

    On est loin du côté glamour. C'est même son côté sombre et perdu qui est relaté. La soif d'amour, de retour aux sources et de liberté contraste terriblement avec l'isolement, les protocoles et les contraintes de la couronne.

    Le rythme du film est lent et l'atmosphère est particulièrement pesant et étouffant. Tout à fait adapté pour nous faire ressentir la perte de repères et le besoin d'évasions nécessaires à sa survie
    Gregoire Pont
    Gregoire Pont

    13 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 janvier 2022
    Quelle déception. Kristen Stewart en fait des tonnes, minaude et joue une caricature peu crédible de Diana. A tel point qu'on n'arrive plus à être en empathie pour elle et on a alors l'impression d'une petite aristocrate capricieuse à la limite de l'hystérie. Le film nous retourne contre elle alors que ce n'était pas le but, bien sûr.
    On souffre pour ses enfants qui assistent impuissants à la folie de leur mère, ce sont eux les vraies victimes (selon le film) le reste, des atermoiements d'enfant gâtée (selon le film)
    Remi S.
    Remi S.

    13 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2022
    Après le magnifique *Jackie* et son double deuil (seul et dernier film donc que j'ai pu voir de Pablo Larraín), *Spencer* s'installe quant à lui à Sandringham House en Angleterre, en suivant si je ne m'abuse le dernier noël de Diana Spencer avec la famille royale. Un séjour sur trois jours, qui ouvre au film trois parties : le 24, 25 et 26 décembre. Et si l'on commence par hasard à suivre les lignes du récit chrétien, *Spencer* aurait un avant et après noël. La naissance du Christ donc, et la tentative de renaissance d'une femme prise dans un cauchemar royal.

    Ici, Pablo Larraín n’abandonne toujours pas son geste de mise en scène qui avait tant créé la stupéfaction face à *Jackie* : cette caméra que je catégoriserait de « *kubricko-malickienne* », accompagne de manière quasi-fantomatique les gestes et visages (Malick), et laissant ensuite les corps se faire écraser par le poids du monde environnement sous l'œil d'une caméra presque rigide (Kubrick). Larraín a bien une radicalité dans son approche au biopic (genre souvent lissé à la simple fiche biographique). Une radicalité qui trouve son deuxième bras dans le récit et la manière dont Pablo Larraín le pense : loi de la contemplation intime et possibilité des fantaisies. *Jackie* trouve une certaine réponse en *Spencer* : si le film sur Jackie Kennedy cherchait à retenir coute que coute le pouvoir, ce film parcellaire sur Lady Di cherche quant à lui à le fuir de manière inespérée. Diana Spencer est asphyxiée par l'univers environnent : paparazzis invisibles que l'on redoute ; surveillance omniprésente et fantomatique des majordomes de la maison ; pression des regards, gestes, coutumes et traditions qui émanent tous de la figure de la famille Royale, comme une toile de fond que l'on ne peut percer. La musique du génie Jonny Greenwood (il faut toujours le rappeler), tantôt anxiogène et mélancolique, continue aussi à sa façon de matérialiser l'asphyxie ambiante que Diana ne supporte plus. Une overdose qui se tient bien au-delà de ce séjour : la figure du pouvoir même et celle de la royauté sont inscrits dans son sang.

    Un malaise environnent qui mène à la folie : c'est là où Larraín propulse quelque chose. Entre les visions cauchemardesques et la réalité, ou les errances de Diana qui relèvent autant de l'horreur que du labyrinthe mental, *Spencer* ouvre aussi une mise en abyme historique : celle d'un livre que feuillètera Diana et qui raconte la tragique histoire d'Anne Boleyn, mère d'Élisabeth Ire et seconde épouse du roi Henri VIII d'Angleterre. Une femme qui connaitra une fin terrible par la décapitation car accusée à tort d'adultère, d'inceste et de haute trahison. Une martyre (le titre du livre lui-même l'évoque), et dont Diana semble se projeter autant par les écrits du bouquin que par les mystérieuses apparitions multiples d'Anne Boleyn qui lui sont faites. Nous avons face à nous un portrait gâché qui déambule : portrait - corps - gâché par un mari, par la pression tout aussi imagère que virulente de la royauté.

    *Spencer*, c'est une histoire de martyre dans les angles morts des images officielles (la réponse et prolongation à *Jackie* est toujours là). On tente de fuir la cadre, mais on finit toujours par se faire rattraper. Une chose me parait portant légitime à questionner : au-delà de toutes les considérations que l'on pourrait faire au film, l'art à la Pablo Larraín semble tel un équilibriste qui lutterait pour ne pas tomber dans le vide du tape-à-l'œil. C'est très beau bien-sûr, mais on est effectivement en droit de s'interroger sur cela. Je repense à ces nombreuses scènes de pures danses dans *Spencer* et où mon esprit s'est d'un coup détaché du geste envoutant qui me passionnait depuis plus d'une heure : on dirait que Larraín fait une pub Channel avec en vedette l'égérie Stewart. Je ne cherche pas à dire oui ou non, mais plutôt à poser le ressenti. *Spencer* semble roder avec la luxuriante publicité, une fois la touchante fable de martyre évaporée. Heureusement, le film ne perd jamais du regard son point de fuite : celui de la libération. On a enfin habillé l'épouvantail de la robe royale, et Diana et ses enfants se retrouve près du London Bridge, savourant un simple fast-food. La suite de ce 26 décembre appartient à l'Histoire, dont les recoins sont aussi malheureusement des plus tragiques. Mais il semble bien y avoir une (re)naissance comme je le disais au départ. On a enfin trouvé la faille de Sandringham House, de la campagne d'antan, de rouages imperceptibles et rodeurs de l'iconographie royale, et ainsi du cauchemar fait de perles luxuriantes. *Spencer*, c’est un peu une course à la libération : le parcours intéresse, la gestuelle parfois un peu moins.
    Aurélie F.
    Aurélie F.

    11 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 mars 2022
    Très mauvais. La musique est angoissante, probablement l’effet recherché. Film uniquement axé sur les désordres psychiatriques de la princesse et très probablement majorés et faussés. Tout est « trop » . Kristen Stewart en fait trop dans le rôle. Film lent et plat. Je déconseille.
    Christobalx
    Christobalx

    5 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 mars 2022
    Quel film mauvais !!
    - la musique est : Rasoir et très très très Mauvaise !! Quelle horreur !!
    - la colorimétrie du film bien fade, ils montrent une Angleterre morne et grise
    - la photographie est : nulle
    - la mise en scène : rasoir
    - les répliques : fades
    - le scénario et les acteurs : fades. Cela fait passer l'illustre famille royale pour des personnages d'arrière arrière plan qui font partie du décor...

    J'ai regardé les 20 premières minutes : Rasoir, parfait pour le festival de Cannes !! Je n’ai pas tenu jusqu'à la fin... Le genre de film qui donne "envie" de déprimer..... Bref à mettre immédiatement à la poubelle !! On a vu des biopics bien plus réussi ! Ce film ne rend pas hommage ni honneur à la princesse Diana et est totalement CAFARDEUX !!! Je ne comprends pas qu'on puisse aimer le cinéma de ce genre... Mort (comme certains films français ou le cinéma d'auteur...).

    Bref, si vous aimez le bon cinéma, les biopics qualitatif, un cinéma qui touche et redonne vie à une personne à travers une histoire bien emmenée et réalisée, ne vous attardez surtout pas sur "Spencer" ; une honte d'un ennui abyssal ! Une pure perte de temps...
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    169 abonnés 1 427 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 février 2022
    D'un côté, un film réussi car il réussit à transmettre l'ambiance pesante et grise de ce week-end de Noël. Je suis avant tout déçue par l'interprétation de Kristen Stewart, peut-être pas le bon choix d'actrice ?
    S5Clem
    S5Clem

    67 abonnés 428 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 janvier 2022
    Un biopic à charge contre la famille royale Anglaise, et surtout un drame psychologique qui m'a souvent fait penser à Shining dans la réalisation. Excellement interprété par le casting et doté d'une véritable atmosphère, il perd en intérêt passé la première heure car la critique est particulièrement fade et linéaire. La BO inexistante renforce le côté dramatique mais alourdi encore une atmosphère déjà presque trop pesante. Une Kristen Stewart rayonnante en Lady D, des Windsor représentés de manière tyrannique et une réalisation qui malheureusement tire parfois dans la caricature et les gros plans. Original, intéressant mais un peu soporifique à la longue
    sebou36
    sebou36

    54 abonnés 380 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 mai 2022
    Je dois dire que je n'ai vu que les 20 premières minutes, mais je n'ai pas pu tenir une seconde de plus. L'image est affreuse, la musique débilitante et Kristen Stewart amorphe ( comme d'hab, quoi). Ce n'est pas le sujet qui me gêne,( Lady Diana, pourquoi pas) mais bien la mise en scène à la Guy Hamilton. C'est surprenant et désolant de la part de Pablo Larrain dont j'avais adoré les films No et Néruda. Je suis perplexe.
    Audrey L
    Audrey L

    560 abonnés 2 426 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 février 2022
    Étrangement, Spencer semble être un biopic (libre) fait par la famille Royale elle-même, tant la Lady Di en prend pour son grade... Elle mange les perles de son collier dans sa soupe (les croûtons existent, sinon...), elle hurle sur tout le monde, elle parle au fantôme de Anne Boleyn (oui, vous avez bien lu), elle s'auto-mutile et souffre de boulimie (en se faisant vomir entre chaque razzia alimentaire). Si, dans les faits, Lady Di s'est effectivement confrontée aux problèmes alimentaires et s'est mutilée, il y a un contexte marital et familial à ne surtout pas oublier, sous risque de faire passer la Lady pour une folle accomplie. Et c'est malheureusement ce que fait Spencer, occultant complètement le mariage malheureux (entre lassitude, délaissement et tromperies du mari), la pression de la famille royale sur cette roturière (la Reine est toute gentille dans ce biopic, alors qu'à peu près toutes les biographies attestent de son hostilité envers Spencer), sa mère qui a été terrible avec elle à la fin de sa vie... Bref, le contexte ne semble pas intéresser ce biopic qui tombe par conséquent dans l'adaptation tellement fantaisiste (même les personnages sont inventés : le valet de pied, la dame de chambre lesbienne...) qu'elle est à deux doigts d'être purement mensongère (heureusement qu'il est précisé au début qu'il s'agit d'une "adaptation librement inspirée" du dernier Noël de la Lady...). A s'acharner sur le personnage ainsi pour le faire passer pour complètement fou sans plus de raison particulière que le poids de la royauté (il n'y a que ça qui la gêne dans le biopic...), on en vient vite à trouver que le réalisateur n'aime pas beaucoup son sujet. Aussi convaincante que soit Kristen Stewart (elle se donne vraiment du mal), elle ne parviendra pas à sauver ce biopic à la musique jazzy incompréhensible (cela ne colle jamais à la scène, on se croirait dans un ascenseur de luxe) ou à la musique orchestrale étouffante (la première scène du souper est auditivement épuisante), à la mise en image assez pauvre (malgré les beaux costumes, filmés n'importe comment) et surtout à l'intrigue qui se moque éperdument de nous donner la notice. Regardez plutôt la série The Crown qui, elle, s'intéresse vraiment à l'histoire de la Lady Di (même avec quelques petites libertés) au lieu d'en faire une marionnette clinquante, un jouet pour réalisateur qui semble n'avoir comme ambition que la traiter de folle.
    Shawn777
    Shawn777

    474 abonnés 3 341 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 janvier 2022
    Après "Jackie", c'est, avec ce film, une seconde fois que Pablo Larraín s'attaque à un personnage historique féminin torturé et le résultat en est relativement décevant. Sorti tout récemment directement sur Amazon Prime, le film revient sur le dernier Noël de la princesse Lady Di au sein de la famille royale. Elle est donc déjà bien atteinte par sa famille, par ses problèmes de santé et psychologiques et elle est bien-sûr déjà cocue. Ce film arrive à point nommé ! En effet, la série Netflix à succès "The Crown" développant dans sa dernière saison la vie de Lady Di dans la famille royale, le film ne fait qu'augmenter, ou surfer sur la nouvelle hype autour de la princesse et de son destin tragique. On découvre alors ici une Lady Di complètement écrasée par le poids de sa famille et voulant fuir à tout prix un univers qu'elle déteste et dont elle se sent prisonnière. Mais malheureusement, et à l'inverse de "Jackie" d'ailleurs, je trouve que le réalisateur appuie trop l'aspect psychotique de Diana, ce qui la fait passer pour une vraie folle la majeure partie du temps alors qu'on essaye justement de la voir comme une victime. C'est très dommage car nous nous mettons alors à la place des personnages qui l'entourent, des personnages qui ne cessent de parler d'elle en mal en avançant le fait que sa santé mentale est sur le déclin. Certes, les raisons qui poussent Lady Di a se retrancher dans son petit monde sont explicites (et encore que, elles le sont pour les spectateurs ayant un peu de culture historique sur la princesse ou ceux qui ont regardés la série Netflix) mais de là à la faire voir Anne Boleyn dans tous les recoins du château, c'est un peu too-much. Pourtant, l'analogie à Boleyn n'est pas bête du tout, elle est même très intéressante puisque les deux profils se ressemblent énormément mais le trait est trop grossi, surtout pour un biopic, le faisant alors presque petit à petit plonger dans l'horreur. Je disais également que le contexte expliquant l'état émotionnel de la princesse est explicite mais pas trop car les personnages secondaires ne sont pas assez développés ou sont tout gentils lorsqu'ils apparaissent à l'écran, comme la Reine par exemple qui est pourtant connue pour son hostilité envers Diana. Et les seuls personnages secondaires qui sont un tant soit peu développés n'ont même pas existé ! Malgré tout, même s'il s'étire parfois en longueur avec des scènes inutilement longues (comme celle dans la maison d'enfance de Diana), le film arrive à instaurer une ambiance très lourde et oppressante, notamment grâce à la mise en scène. Mais également grâce au très bon jeu d'acteur de Kristen Stewart qui imite la princesse à la perfection ! "Spencer" est donc un film qui aurait pu être bien plus intéressant et captivant s'il avait plus développé le contexte autour de la princesse.
    kari ray
    kari ray

    2 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 janvier 2022
    Une Pur....excusez du peu; un genre de tragédie SHAKESPEARIENNE bas de gamme ou le martyre de Lady di en femme trompée oscille entre folie et gags ça frise plus la rigolade que l'empathie
    Des séquences a répétition des troubles alimentaires de Diana en passant par ses visions du martyr de Anne Boleyn Pablo Larrain ne nous épargne rien ....On frise le grotesque
    Dommage moi qui m'attendais a un film de la trempe de la série the Crown. on en est a des années lumière
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    166 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 janvier 2022
    Dans la lignée de "Jackie", Pablo Larrain signe un film sur la plus célèbre des princesses. On retrouve le même style de mise en scène, se demandant si les deux films ne sont pas trop similaires... La prestation de Kristen Stewart est très réussie, c'est indéniable. Mais l'histoire a du mal à nous embarquer. On comprend les hallucinations de Diana, son mal-être, sa peur mais on ne se sent pas proche d'elle. Dommage car le film donnait vraiment envie sur sa volonté d'être concentré sur quelques jours autour de Noël et non sur toute la vie de la princesse.
    Spider cineman
    Spider cineman

    118 abonnés 1 820 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 janvier 2022
    Certes sur la fin la vie de Diana était un pensum... le poids du protocole, cernée par la famille royale devait être difficile à supporter... ce n est peut-être pas une raison pour rendre ce film aussi insupportable au spectateur c est néanmoins réussi de ce côté. Ce passage du Noël de Diana est une séquence à laquelle je ne m attendais pas en tout cas pas au point d en faire un film ... bof ! Même si les acteurs font leur possible pour tenir leur rang. L interprétation de Diana est intéressante pour autant était ce crédible ? Ou fidèle à une réalité ? Tout cela finit par obtenir une attention pour des prix et bien ... je ne suis pas aligné sur les critiques positives au global.
    Alienore25 Nl
    Alienore25 Nl

    3 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 février 2022
    oh la la ce film.est vraiment mauvais...j adore Kristen Stewart mais a part bella aucun role ne lui va...elle a une seule expression et ce film relate vraiment pas grand chose...bref a éviter...j ai fini mar avancer tellement j ai trouvé nul
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