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lhomme-grenouille
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0,5
Publiée le 15 juillet 2014
« John Q » où l’incarnation de tout ce que je déteste dans le film plaidoyer. On lisse tout, on joue la carte du larmoiement à outrance en usant des pires caricatures et astuces du scénariste débutant et puis ensuite, une fois qu’on s’est donné bonne conscience, on met en place un vieux thriller tout pourri. Ainsi se retrouve-t-on avec plus d’une heure de « se fera-t-il chopper ? / Se fera-t-il pas ? » alors que pendant ce temps-là on ne questionne même plus le système ! C’était quoi le but ? Faire réfléchir sur le système américain ? Eh bah vas-y alors ! Envoie de la bille ! Envoie des éléments de réflexion. Mais non ! C’est un film qui veut être grand public – qui veut rapporter du cash, et c’est bien connu – le grand public il est con : il ne veut pas réfléchir, il veut de l’émotion facile. Voilà à quoi nous résument des films comme « John Q ». Eh bien moi je réponds « sans moi »…
Si on n'est jamais loin d'une inepte niaiserie sentimentale, l'importance du message social et l'interprétation de Denzel Washington, qui parvient à nous émouvoir même dans des scènes vues et revues, méritent le coup d'oeil.
Super film montrant le combat d'un père pour sauver son enfant de la folie des bureaucrate. Denzel est plus qu'émouvant dans ce film, il est sensationnel. Un film à voir en boucle.
Quand Washington a eu une cause à défendre, il est comme Jodie Foster il ne lâche pas le morceau Très bon film, ou l'intensité monte à chaque instant ou est dénoncé le système de santé américain qui fonctionne uniquement comme un distributeur de friandise pas d'argent inséré pas de soins.
Denzel Washington, fidèle à lui même: grandiose. Le scénario est changeant, mais surtout émouvant. On ne peut regarder John Q sans verser une petite larme. Cette histoire d'amour entre un père, prêt à tout, même à y laisser sa vie, pour sauver son fils, ne peut laisser le spectateur dans l'indifférence. L'émotion est au rendez-vous, et fait même oublier les petites longueurs du film.
URGENCES. Dans le style Philadelphia ou La Ligne Verte, ils font vraiment des films cons les americains. A vouloir touché les consciences avec leurs bons sentiments, ça touche le fond et ça en devient risible.
un thriller qui nous touche dès les premières secondes traitant sur le problème des assurances aux usa.Une histoire qui touche le coeur des gens car c'est très réaliste par rapport au système américain de capitalisme sauvage.L'amour du père pour son fils et sa famille est si touchante.Impossible de ne pas apprécier ce film
Voilà un film tire larmes par excellence, tous les poncifs sont utilisés pour vous amener à essuyer votre larme, bien sûr, ça fonctionne. Mais ce qu'il faut retenir, c'est le procès à charge que le film fait au système de santé américain, il pointe du doigt tous les dysfonctionnements, les procédures; les petits caractères des contrats d'assurance, tout ce qui fait que l4amérique est une grande Nation, et les travers de cette grande Nation. On apprend quantité de choses sur ce système, devoir payé 30% d'acompte avant de se retrouver sur une liste d'attente pour une greffe, sachant que les sommes sont abyssales, la directrice de l'hôpital qui a tout pouvoir, est cynique et cupide, elle est joué admirablement par Anne Heche, dont le visage d'ange contraste avec cette dureté. D.Washington joue sa partition sans fausses notes, R.Duvall est toujours impeccable, en homme de caractère juste et droit dans ses bottes, tout le casting est plaisant et apporte sa petite pierre à l'édifice. Réalisé de manière conventionnel, usant de toutes les ficelles du genre, le film tient ses promesses et nous donne une vision assez réaliste de The Way of Life made in USA.
Alors là c'est un peu un bec... bah oui car j'ai rarement autant aimé un début de film tant la détresse des parents & l'injustice des couvertures sociales aux USA m'ont bouleversé car c'est pas dur j'avais un nœud pas croyable dans la gorge tant c'était terrible mais c'est vrai qu'ensuite le film change du tout au tout et la prise d'otage m'a quelque peu rasé !! C'est long, c'est un peu gros et malgré une fin plus poignante, on reste un peu sur notre faim tant le film est en dents de scie.. mais je suis quand même content de l'avoir vu car le fond du film est passionnant et révoltant !
Un film dramatique prenant, touchant, avec un bon suspense et engagé sur l'injustice du système médical américain. Denzel Washington est excellent dans le rôle du père prenant en otage un hôpital pour sauver son enfant malade et une belle brochette de bons seconds rôles : Robert Duvall, James Woods, Anne Heche, Kimberly Elise et Ray Liotta.
Derrière son simple statut de drame cinématographique, John Q, de Nick Cassavetes, cache de bien plus graves sujets encore : pauvreté, système de santé, vente d'armes, corruption. Et, pour empaqueter le tout, Cassavetes utilise le rôle d'un père de famille désespéré, prêt à tout pour sauver son fils de la mort, qui prend d'otage un hôpital jusqu'à ce que son fils obtienne une greffe. Comme à son habitude, Denzel Washington livre une prestation à la hauteur de son talent et c'est avec plaisir que l'on retrouvera Robert Duvall et James Woods à l'écran. Inversement, c'est à travers Ray Liotta et l'impressionnante naïveté de certains personnages que le film perd de l'ampleur. Egalement trop sentimentaliste sur les bords, le métrage constitue le bon divertissement de la soirée.
Je ne vais pas être très objective car je l'ai vu doublé en espagnol (la pire langue pour les doublages il me semble). Mais quand même, c'est du vu et revu... C'est caricatural à nous en faire mal. La gentille famille qui s'aime, carrément ridicules et dont le degré de mièvrerie atteint des records. On devine toutes les situations. Oui, TOUTES, pour peu qu'on ait lu le résumé avant. Bref, des acteurs pas terribles, à part Denzel, mais il a rien d'intéressant à dire. Ok, il y a derrière ça une petite critique gentille du système social US mais bon, un happy end pareil, c'est à gerber. Une étoile pour Denzel et une demie pour l'intention, mais c'est un film ennuyeux, facile et inefficace.
Un film avec un bon casting et une histoire qui soulève un vrai problème de société, mais qui tombe vite dans le larmoyant, sans parler des quelques invraisemblances... La volonté de dénoncer les injustices sociales est louable mais le rendu est superficiel.
Ca, c'est du bon ! Ca a beau être un film qui pour certains tombe dans le pathos ou prône les bonnes valeurs, c'est quand même du bon ! Denzel Washington choisit toujours bien ses rôles, des rôles qui montrent, c'est vrai, les valeurs qu'on devrait tous nous inculquer. Ce film dénonce les lois honteuses de la société, "tu n'as pas d'assurance, on te soigne vite fait mal fait et on te jette dehors, tu ne payes pas une fortune, on laisse ton gosse crever". C'est choquant, mais c'est vrai, tout est question d'abord de fric. Ce film est utile et efficace car c'est un film empli d'humanité, qui montre jusqu'où le désespoir peut mener, qui montre qu'un médecin se doit avant tout de soigner et de respecter le serment d'Hippocrate, peu importe la situation financière du malade. C'est l'histoire d'un père qui aime son fils et qui est prêt à tout, même à aller en prison ou se ôter la vie, pour sauver celle de son fils. C'est un film empli d'émotion dans lequel on a aucun mal, même sans être parent, à comprendre le sentiment d'impuissance et de peur que les parents ressentent. C'est surtout un drame dans lequel l'amour triomphe car c'est bien le plus important. Franchement ? J'aurais fait comme lui. J'aurais tout fait pour essayer de sauver mon enfant, j'aurais tout fait pour pouvoir me dire que j'ai tout essayé et que je n'ai aucun regrets à avoir. Car quand on aime vraiment ses enfants, on est capable du meilleur comme du pire. Et ce n'est pas ça qui fait de nous de mauvaises personnes. Les mauvaises personnes, ce sont celles qui font qu'on en est arrivé à ne plus respecter la loi. Et Denzel a su le montrer avec brio : "Quand une personne est malade il faut la soigner. Je n'enterrerai pas mon enfant, c'est mon enfant qui m'enterrera". Respect Denzel !