Les Larmes du soleil : les secrets du tournage

Ce film s'est d'abord intitulé Man of war et Hostile rescue avant de s'intituler Tears of the sun.

Pour conférer un maximum d'authenticité au film, Antoine Fuqua a tenu à ce que les rôles des réfugiés soient joués par des personnes ayant souvent connu la réalité de ces situations. En les intégrant à la production du film, le réalisateur a également souhaité attirer l'attention sur leur sort. Parmi les figurants et interprètes découverts, on trouve ainsi des Kenyans, des Sénégalais, des Congolais, des Nigérians et des Libériens.

Tous les acteurs ont suivi un entraînement sous la supervision de Harry Humphries, ancien Navy Seal. Mode opératoire, stratégie, maniement des armes et du matériel, aucun aspect n'a été laissé au hasard.

C'est à Hawaï qu'ont été tournés tous les extérieurs du film, notamment sur l'île d'Oahu, aux chutes de Manoa, au Kualoa Ranch et au pied des montagnes Ko'Olau. Les conditions climatiques très pluvieuses ainsi que la difficulté d'accès à certains décors naturels ont parfois contraint l'équipe à marcher sur de longues distances, les hélicoptères étant prioritairement consacrés aux caméras, au matériel d'éclairage et à la machinerie.

L'armée américaine a mis à disposition de la production plusieurs hélicoptères de combat mais également des avions de chasse F 18. L'équipe a en outre été autorisée à tourner à bord du porte-avions U.S.S. Harry S. Truman.