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    Incroyable mais vrai
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    3,0
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    JudyCarlotta
    JudyCarlotta

    67 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juin 2022
    A voir juste pour savoir à quel point l'immense majorité des scénaristes n'ont pas d'imagination. Personnellement j'aime beaucoup recevoir cette dose d'absurde dupieuxien régulièrement. Avec Magimel et Drucker magistraux dans le premier degré de leurs rôles. Je trouve juste le film un peu paresseux.
    Adrien J.
    Adrien J.

    45 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 juin 2022
    Quentin Dupieux, cinéaste spécialiste de l’absurde et de concepts cinématographiques toujours plus barrés et loufoques, nous propose ici son nouveau long-métrage au titre drôlement énigmatique, avec dans les rôles titres Alain Chabat et Léa Drucker !
    En dépit d’une volonté sincère et saluable d’offrir une nouvelle fois au spectateur un film original, surprenant et assumant ses partis pris comiques et artistiques, l’œuvre soufre de trop nombreux problèmes pour être pleinement convaincante selon moi…
    Certes, l’ensemble reste fidèle au style et à l’univers de Dupieux, mais la drôlerie est cependant inégale et le manque d’inventivité cinématographique empêche clairement au film d’avoir un rythme prenant. La mise en scène est plate au possible, la satire sociale est trop caricaturale et l’humour s'essouffle aussi rapidement que la bizarrerie de son concept…
    Néanmoins, les acteurs sont remarquables !
    notillus
    notillus

    17 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juin 2022
    Une bonne idée, de bons acteurs, mais un réalisateur très poussif.
    Au final c'est mauvais.
    Dommage !
    Est-ce faute d'argent, ou tout simplement de talent, mais c'est la première fois en plus de 60 ans, que je découvre dans les salles obscures, près de 5 minutes de film sans parole, juste de la musique pour nous expliquer la suite de l'histoire !!!
    Cela en devient un docu-fiction. Misère.
    Quelle paresse de la part du réalisateur. Finir ce film a dû être un cauchemar pour lui...et ses producteurs.
    Heureusement, Chabat et Magimel sont excellentissimes.
    A voir si vous n'avez pas une lessive ou du repassage à faire !
    Cathpout14
    Cathpout14

    20 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 juin 2022
    Les acteurs jouent bien leur rôle, le phénomène incroyable qui donne le titre l'est, en effet, et l'on prend bien ce prétexte pour présenter une comédie à la française qui en profite pour observer nos qualités et défauts, tout cela est plutôt positif pour donner un peu plus de deux étoiles sur cinq. Par contre, la qualité de l'image et la bande son, ainsi que le manque de détails - par rapport à l'agent immobilier en fin de film par exemple - en enlèvent tout autant dans ma note.
    Néanmoins, le film est sauvé par l'intrigue et surtout le talent des trois acteurs principaux.
    traversay1
    traversay1

    3 142 abonnés 4 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juin 2022
    S'il ne risque pas de susciter l'unanimité, le cinéma de Dupieux, mieux compris que par le passé car sans doute moins radical, va encore élargir sa base d'aficionados avec Incroyable mais vrai, amusante farce et à trappe et cependant à la profondeur limitée. Le film surfe sur deux histoires concomitantes et genrées de manière un peu lourde : à la femme le thème du rajeunissement, à l'homme celui de la virilité. Et au milieu coule un personnage "normal" incarné par un Alain Chabat, égal à lui-même, c'est à dire impeccable. Passés quelques moments de burlesque épatant, principalement au début du film, les deux sujets abordés finissent conjointement par se mordre la queue (et c'est douloureux), sans que Dupieux ne cherche véritablement à exploiter leur potentiel, préférant à un moment donné livrer un montage en accéléré qui témoigne plus d'un asséchement (paresse ?) de son imagination que d'une véritable idée de développement. Par ailleurs, de nombreux éléments sont laissés en jachère, on ne sait trop pourquoi (le chat, l'épave automobile, le client harceleur ...). Cela dit, c'est une partie intégrante des films de Quentin Dupieux, cet aspect incomplet et bâclé, pardonnable car au service d'intrigues absurdes qui peuvent déboucher sur n'importe quoi. Sur un plan plus positif, force est de constater la grande capacité du réalisateur à intégrer de nouveaux interprètes à son univers, Léa Drucker et Benoît Magimel semblant ici parfaitement à l'aise et d'une justesse immédiate (c'est un peu plus difficile pour Anaïs Demoustier, qui a hérité d'un rôle peu valorisant).
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    483 abonnés 927 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juin 2022
    La norme Dupieux, c'est l'art du concept qui amuse en une phrase. Quand à savoir ce que ça donnera, il n'y a plus qu'à y aller. On est rarement déçu, l'artiste dessine un univers où chacun pourra se retrouver, surtout s'il est à l'ouest. Pas une minute pour tergiverser, ça dure 1h20 en moyenne, la photographie a des teintes irréelles et la Dupieux's touch a souvent tendance à attirer (ou garder) de beaux noms vers lui. Un an à peine depuis Mandibules, il revient pour Incroyable mais vrai et passe la dernière main sur son film suivant, Fumer fait tousser. Pour aujourd'hui, on va déjà essayer de croire sa nouvelle histoire. Et on est tout près de l'avaler.

    Tel le petit farceur qui aime s'amuser avec un public déjà acquis à sa cause, le réalisateur (également scénariste, monteur et chef op') temporise ou fait mine de s'éparpiller. Ce qui fonctionne très bien et on prendrait même du plaisir à voir la chute ne pas arriver. Bien sûr, elle survient, ce qui ouvre une piste saugrenue (évidemment) mais pas bête. L'épatant duo Alain Chabat/Léa Drucker est rejoint par une autre paire des plus...couillues. L'occasion de découvrir un Benoit Magimel invraisemblablement drôle, et retrouver la pétillante Anaïs Demoustier. Une moitié et c'est l'adhésion. Malheureusement, la mécanique se met à grincer.

    Dupieux a une idée derrière la tête, mais quand on commence à se demander ce que tel ou tel morceau vient faire là, il y a un problème. Du remplissage (pas mauvais, soit) pour atteindre le format long ? Conçu sur le même registre, Incroyable mais vrai aurait pu être un court ou moyen-métrage parfait. Comment interpréter différemment ce dernier acte musical, sans paroles (ou presque), dont l'évidente résolution crevait les yeux depuis longtemps, sinon comme une combine pour faire trainer jusqu'à la durée voulue ? Sans être un ascenseur émotionnel, disons que le film retombe petit à petit. À tenter de mettre les petits plats dans les grands, on en oublie parfois qu'un simple en-cas ne l'exigeait pas.
    Eponaa
    Eponaa

    181 abonnés 1 094 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juin 2022
    Histoire tirant de la fable. Il est un peu déstabilisant car la bande annonce ne laisse pas penser que le film va être à visée philosophique. Ceux qui le prennent au 1er degré ressortiront déçus car l'histoire peut paraître loufoque. Néanmoins elle en dit long sur le regard qu'on peut avoir par rapport au vieillissement. Il traite aussi de la façon de se sentir un homme, parfois machiste. Assez court, sa duree suffit à poser les questions ensuite à chacun d'apporter ses réponses.
    Ciné-13
    Ciné-13

    94 abonnés 891 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 octobre 2022
    Deux idées extravagantes pourquoi pas! Et laissons nous nous emporter... Le premier quart d'heure est prometteur.
    Mais tout s'enlise rapidement. Une musique "old school" se substitue aux dialogues et les conséquences inévitables de ces extravagances nous laissent pantois. Et des détails scabreux écrasent tout le scénario qui en devient puéril : les fourmis, l'hôpital japonais, la télécommande du sex-toy, le béton dans le conduit,...
    Quelle déception!
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    229 abonnés 1 599 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2022
    Une cavité magique, une virilité 2.0, le plaisir Dupieux. Les éléments narratifs posés au début du film, qui procèdent comme toujours chez le cinéaste d’un dérèglement savamment calculé du quotidien, propre à tutoyer rapidement le surréalisme ou l’absurde, sont excellents. Le montage titille malicieusement la curiosité. Les révélations ouvrent la voie à des développements jubilatoires. Et la jubilation est au rendez-vous durant la première moitié du film, grâce à un scénario et une mise en scène très bien huilés, des dialogues savoureux et un casting formidable, Benoît Magimel en tête, grandiose en beauf taille patron. La bizarrerie est désopilante sur un versant de l’histoire, troublante et de plus en plus sombre sur l’autre versant (dans un registre obsessionnel, fou, qui rappelle un peu Le Daim). Une bizarrerie qui, étonnamment, se fond assez vite dans un moule plus classique de petit conte fantastique, social et moral. Les axes thématiques (le désir féminin de rajeunissement, la quête masculine de puissance…) et la conclusion (« il est dangereux de vouloir modifier l’ordre naturel ») pourraient presque paraître convenus. Mais soit. Le talent singulier du réalisateur est toujours présent, même en terrain plus balisé. Ce qui est plus regrettable, en revanche, c’est qu’arrivé à mi-chemin, le film semble manquer un peu d’idées et de chair pour tenir toutes ses promesses. La seconde moitié, bien que cohérente, est rapidement expédiée. Et l’on pouvait espérer un dénouement plus marquant. C’est donc un peu court dans l’ensemble (plus une ébauche de film qu’un film vraiment abouti), mais cet ensemble est constamment amusant, jusque dans ses détails : esthétique eighties vintage, gratuite, mais rigolote ; BO bien kitsch (Jon Santos Plays Bach)…
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    229 abonnés 882 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 juin 2022
    Maitre de l'Absurde, Quentin Dupieux signe avec Incroyable Mais Vrai une formidable partition pour ses quatre acteurs. Derrière une simple histoire dont le mystère n'a au fond pas vraiment d'importance, il arrive à réaliser la meilleure comédie que nous pourrons voir cette année au cinéma. Si vous n'avez encore jamais vu l'un de ses films, Incroyable Mais Vrai pourra être une véritable porte d'entrée à son univers si particulier. Vous ne regretterez certainement pas de vous être laissé tenter. [Critique complète sur le site FreakinGeek.com]
    Jipéhel
    Jipéhel

    45 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juin 2022
    Histoire d’un trou

    Après Rubber, Réalité, Au poste !, Le Daim et Mandibules, l’extra-terrestre du 7ème Art, Quentin Dupieux, revient avec ces 74 minutes de comédie plus mélancolique et un peu moins déjantée que ses précédents opus. Mais tout de même… Alain et Marie emménagent dans un pavillon. Une trappe située dans la cave va bouleverser leur existence. Le scénario reste quoi qu’il arrive avec Dupieux complètement en dehors des clous. On reconnaît sa patte dès la 1ère image, dès les 1ers dialogues. On sait où on est. Reste que ce film est plus sage que les précédents – toutes proportions gardées – et, à ce titre, m’a un peu déçu.
    C'est sans conteste son film le plus linéaire, qui ne passe pas par des entorses narratives, du genre briser le mur de l’absurde complet. De plus, il se livre à une double réflexion, à la fois sur le culte du jeunisme et les artifices utilisés pour conserver sa virilité chez l’homme. Il est très difficile de parler plus avant de l’intrigue – des intrigues devrais-je dire – sans rien divulgâcher – comme on dit au Québec – des mystères dans les quels baignent les deux couples. Un mot de la bande-son, entièrement extraite d’un vinyl d’arrangements électroniques de partitions de Bach par un certain Jon Santo et qui date de 1976. Ne cherchez pas ce disque, vous ne le trouverez pas, à moins de l’emprunter à notre cinéaste. Malgré le contexte étrange qu’on retrouve dans tous ses films, on a l’impression que Dupieux s’assagit avec cette fable existentielle et absurde. Il y a du Ionesco chez Quentin Dupieux. Pour amateurs du genre… et j’en fais partie.
    Côté casting, on est gâté. Avec nos deux couples, Alain Chabat/Léa Drucker et Anaïs Demoustier/Benoit Magimel, on se régale à chaque instant. Ils jouent à merveille ces duos à la dérive, frappés d’une tristesse indéfinissable, mais surtout éternellement insatisfaits de leur vie. Les dialogues sont improbables, l’image délavée et plutôt laide – parfaitement assumée -, la musique volontairement envahissante, en particulier dans la dernière partie, le tout teinté d’un surréalisme de bon aloi et pourtant tellement vrai. Conte philosophique et burlesque qui fait beaucoup rire.
    islander29
    islander29

    772 abonnés 2 281 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2022
    Curieusement, c'est le genre de film qui reste dans la tête, une fois la séance terminée.....La piste privilégiée est plus l'humour que l'absurde,( Dupieux jusqu'à présent privilégiait l'inverse) ,, et un humour qui passe ou ne passe pas....Mais reste que c'est original....je ne sais pas si j'aurais Choisi Alain Chabat dans les rôle principal, il ne traduit pas grand chose et monopolyse la caméra, parfois dans son jeu, mais force est de constater qu'il est bien accompagné ( Léa Druker, (séduisante) Benoit Magimal ( étonnant) et Amais Demoustier ( méconnaissable).....Le scénario est bien "dosé", entre humour et absurde, et la technique ( photographie, lumière, bande son) est à la hauteur comme d'habitude chez Dupieux, ...Ce n'est pas le meilleur film de Dupieux, (je pense?) et surement pas celui par lequel "appréhender son oeuvre", commencez plutôt par "rubber" , je pense....( ces oeuvres américaines sont plus pertinentes, je trouve) celui ci est plus bavard, plus engagé mais je dois dire, que si j'ai eu quelques doutes pendant la première demie heure, toute la fin du film cependant , notamment confirme le talent de ce réalisateur, et ce petit plus délivre un message quasi philosophique sur notre société de consommation et sa quête de jeunesse??Une réussite absolue sur ce plan....De plus j'apprécie toujours le format ( 70 minutes) chez Dupieux, un discours doit être concis...Bref je conseille ce film , sauf si vous êtes peu fan de ce réalisateur, alors n'insistez pas
    Cinememories
    Cinememories

    444 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juin 2022
    De la Berlinale à Cannes, cette année aura été prolifique pour un Quentin Dupieux qu’on n’arrête plus. Il enchaîne les projets farfelus, en naviguant toujours plus loin avec des concepts aussi simplistes qu’absurdes. Ici, il ne fait pas exception. Après le pneu qui roule sa bosse, une veste en daim suprémaciste et une mouche géante affamée, il se pose dans une maison, où le temps sera message d’espoir et de crise. Toute semble incompatible jusque dans la formulation d’un synopsis, mais nous tairons volontairement les nouvelles règles de cette demeure, qui pourrait bien mener ses hôtes et leur entourage à leur perte.

    Si les protagonistes peinent déjà à trouver les mots pour expliciter ce mystère, cela dès la première minute, il faudra s’armer de patience pour que la fantaisie épaississe et que la sauce tienne. Nous naviguons de nouveau à vue dans cette intrigue qui bascule rapidement dans l’absurdité, sinon un flou accentué à chaque plan. Les personnages sont alors au centre d’une mise au point permanente et jusqu’au générique final. Un couple se lance alors dans l’achat d’une première maison, où l’on découvrira les traits d’Alain (Alain Chabat) et de Marie (Léa Drucker), deux pôles qui s’attirent et qui s’étirent dans le même mouvement. On comprendra que leur relation est à l’étude, entre les travers d’un lieu magique et la brutalité dépressive de la réalité.

    La première lutte contre ses démons au quotidien et doit gérer entre l’impatience de ses clients et celui de sa femme, qui transforme son fantasme en une quête obsessionnelle. La contrainte du temps qui passe suggère l’inéluctable du côté d’Alain, qui accepte cette fatalité, mais Marie ne l’entend pas comme lui. Un suspense après l’autre, ce sont ces petits plaisirs dans les dialogues, repoussant suffisamment les révélations, que l’on devine la malice du projet. Cela peut sembler un peu bancal et revisité, mais avec l’énergie spontanée et une sensation imprévisible, nous nous laissons guidés dans un manège que même le pseudo-couple d’en face n'arrive pas à gérer. L’employeur d’Alain (Benoît Magimel) ne jure que par une virilité artificielle, tandis que sa bimbo de partenaire (Anaïs Demoustier) chauffe tous ceux qui passent par sa boutique de lingerie.

    « Incroyable mais vrai » constitue une note de suspension dans sa filmographie, déjà fournie et habitée par une enveloppe absurde, mais toujours humoristique. Il y décortique cette flamme du couple, qui s’éteint et qui peut prendre des rides, tout en estampillant sa recette d’un cynisme pertinent. L’équilibre tient à pas grand-chose et ce sera encore et toujours dans la dernière ligne droite que Dupieux lâche prise. Le sentiment d'inachevé est encore plus frustrant, sachant qu'il lui reste de la place pour transcender son cinéma. Pourtant, il s'y refuse une fois de plus, par crainte d'échouer et d'en faire trop. Conclure sur un clip d’une longueur excessive ne gagne pas à rendre justice au développement de ses personnages. Peut-être bien qu’au fond, il les a envoyés en éclaireur dans cette fameuse cave, car lui-même n’a pas encore la force d’y pénétrer avec assurance.
    defleppard
    defleppard

    314 abonnés 3 248 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2022
    Un côté très Tchernia dans le propos et la réalisation, Chabat dans son univers, une fin quelconque. Trois étoiles.
    Max Rss
    Max Rss

    171 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 janvier 2023
    Bon... Un conduit dans une maison qui, à chaque fois que l'on passe dedans fait avancer le temps de 12 heures et qui rajeunit de 3 jours celui où celle qui passe dedans et, pilotée par un téléphone portable, une bite électronique qui finira par prendre feu. C'est sûr ça que le film de Dupieux (décidemment très actif ces derniers temps) se base. Le problème, c'est que ça ne va jamais plus loin que ça. J'vous jure que c'est vraiment ça. Juste deux bonnes idées et après on improvise tant bien que mal. Quand j'y repense, je m'en voudrais presque d'avoir taillé "Mandibules" alors qu'à côté de ce "Incroyable mais vrai", il passerait pour le chef-d'oeuvre de Mr. Oizo. Côté acteurs, ce n'est pas mieux. Alain Chabat et Anaïs Demoustier (pourtant habitués de la maison) n'y croient pas une minute alors que Léa Drucker et Benoît Magimel, plus enthousiastes en sont réduits à se battre contre un fantôme : celui d'un film qui n'existe pas. Fut un temps où, tout en sachant que j'aurais du mal à y trouver pleinement mon compte, j'attendais de pied ferme chaque nouveau film de Dupieux aujourd'hui, je me pose des question sur le bien-fondé de la chose et me demande même si je ne vais pas superbement snober son dernier en date et celui qui est apparemment prévu pour cette année.
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