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    Incroyable mais vrai
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    Garvey
    Garvey

    16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 juin 2022
    Steak, Rubber, Wrong cops, Au poste, Mandibules : de vraies pépites ! Incroyable mais vrai est du même acabit : scénario très original flirtant avec le fantastique, personnages caricaturaux à l'excès et très bien interprétés, répliques très drôles. À ne pas rater comme sa filmographie !
    garfield hatemondays
    garfield hatemondays

    2 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 juillet 2022
    Images floues du début a la fin de ce film de 1h15, histoire floue. C'est tellement mauvais que ça en devient hilarant. Les gens quittent la salle avant la fin du film, ils n'arrivent plus a supporter la nullité général et les 15 dernières minutes sont surement insoutenables. A voir si il n'y a rien d'autre et qu'il faut se mettre au frais avec cette chaleur ou avec les averses de pluie.
    ElDjedj
    ElDjedj

    7 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 juin 2022
    La qualité des interprétations, notamment celle de Benoit Magimel, ne sauve pas ce film qui témoigne d'une indigence notable sur tous les autres plans : image floue par une profondeur de champ mal gérée, musique digne d'un Charlie Oleg neurasthénique et scénario plus mince qu'une Kate Moss anorexique dénonçant des thèmes déjà bien éventés.
    A croire que l'humour non plus ne résiste pas aux affres du temps.
    Benki
    Benki

    10 abonnés 92 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 juillet 2022
    J'avoue être intrigué par ce film, et me fait peur un peu au vue de ce qu'on a pu voir dans la bande annonce. Et pour le coup j ai pas accroché du tous, heureusement que ce film ne fait que 1h14 avec le générique et j ai trouvé ça long !!!
    C est pas marrant, pas crédible et la fin, mon dieu , j ai perdu 1h. lol
    Eslenya
    Eslenya

    8 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 juin 2022
    Décevant est un mot bien faible pour qualifier ce film sans queue ni tête. Pas de scénario, rien de crédible, seule consolation : température agréable dans les salles de cinéma par ce temps de canicule....
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 835 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juin 2022
    Dupieux tient là un film qui arrive à être aussi drôle que les autres, mais surtout beaucoup moins vain. Car si on retrouve des dialogues et des situations totalement absurdes qui sont bien amenées, drôles et qui permettent de s'amuser, il y a un côté plus sombre, plus mature, une réflexion sur le temps passe et sur l'acceptation de la vieillesse que je ne pensais pas trouver en allant voir ce film.

    Disons que ce film est une nature morte, ok il y a du bon temps, de l'humour, mais n'oublie pas que tu vas mourir... Ce qui permet d'avoir ce côté doux amer, où le plaisir et la jeunesse ont un coût.

    Et à travers cette exploration du temps, il y a également une questionnement sur le couple, sur les frustrations, sur désirs inassouvis. Mine de rien, certes on rigole beaucoup, le film arrive quand même à développer des réflexions intéressantes sur les sujets qu'il aborde.

    Je dirais juste que la fin est un peu décevante, pas forcément dans ce que ça raconte, mais plus dans la manière où on a une longue séquence musicale, sans dialogue, où on passe en revue plein de situations dont j'aurais en fait juste envie de voir développées. Surtout que le film est court, il y avait sans doute moyen d'en rire un peu plus. Je suis resté sur ma faim.

    Sans doute ceux qui n'aiment pas Dupieux n'en tireront encore une fois pas grand chose, mais pour ma part ses propositions cinématographiques me séduisent de plus en plus.
    Jorik V
    Jorik V

    1 205 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 août 2022
    Il serait peut-être temps pour Quentin Dupieux de faire une pause dans son œuvre ou, au moins, de ralentir la cadence car à force de tourner si vite, il va finir par aller droit dans le mur et cet « Incroyable mais vrai » peut se présenter comme un signal d’alerte. En effet, Dupieux a encore une fois imaginé un postulat complètement loufoque, absurde et décalé comme point de départ mais c’est bien la première fois qu’il est aussi mal développé au point que son dernier film finit par agacer à force de ne pas avancer et d’aller nulle part. On y voit un couple emménager dans une toute nouvelle maison dans laquelle se trouve un conduit dans la cave permettant d’avancer de douze heures dans le temps mais aussi de rajeunir de trois jours physiquement. Et comme si l’auteur sentait qu’il n’allait pas pouvoir assumer ce gimmick sur tout un film, il ajoute à cela un autre couple, ami du premier, dont le mari s’est fait installer un pénis électronique. On aurait pu bien rigoler comme avec son précédent film « Mandibules », tout aussi perché avec sa mouche géante, mais bien plus drôle et abouti. Ici on a l’impression que tout cela tourne en rond et, surtout, pour aller nulle part. Quant à la fin, on a rarement vu si abrupte et cela vire presque à la provocation envers le spectateur. La morale sur le jeunisme (physique) et le culte de la performance (sexuelle) n’est pas martelée mais trop facile et sert à justifier ce script de court-métrage pour une œuvre qui aurait dû se limiter à ce stade. Parfois, les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures...

    On apprécie encore une fois la distribution. Le réalisateur est très fort pour attirer dans ses long-métrages qui sortent à une cadence stakhanoviste, au rythme d’un par an depuis une décennie, le gratin du cinéma hexagonal. On peut dire qu’il est à la mode et que c’est mérité tellement son cinéma ne ressemble à aucun autre mais il ne faudrait pas non plus qu’il se repose sur ses lauriers. Ici, si Alain Chabat et Léa Drucker, ne brillent pas particulièrement ou plus que d’habitude, lui dans un rôle commun et elle en femme attirée par le rajeunissement, le duo formé par Benoit Magimel et Anaïs Demoustier est bien plus gratiné. Lui, en beauf obsédé par la réparation de son entrejambe, est excellent tandis qu’elle, habituée aux films d’auteur et aux compositions de jeune ingénue, est incroyable et surprenante en cruche désinhibée. Sinon, l’esthétique seventies et délavée est sympa et prouve un gros travail sur l’image, la musique composée par Dupieux lui-même est stressante et il ne se passe pas grand-chose. Heureusement, « Incroybale mais vrai » est encore plus court que ses précédents opus (à peine une heure et dix minutes), ce qui allège notre circonspection mais prouve que l’auteur semble être tombé en panne d’inspiration. Allez ce sera pour le prochain car là y’a pas grand-chose à dire ni à voir.

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    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 020 abonnés 4 093 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 janvier 2023
    « Incroyable mais vrai », Quentin Dupieux enchaîne les films sans jamais décevoir dans un registre dont il est aujourd’hui en France quasiment le seul dépositaire. Celui de l’humour nonsensique teinté de fantastique qui en sous-texte dresse un constat lucide et assez déconcertant voire déprimant de la présence humaine sur Terre. Depuis « Rubber » (2010), son deuxième long métrage américain, qui voyait un pneu s’animer après avoir été abandonné comme tous ses congénères dans une décharge après de bons et loyaux services à rouler sur l’asphalte brûlant du désert californien et devenir un tueur en série pour finir par lever une petite armée de pneus en colère se dirigeant sur Hollywood, Quentin Dupieux, derrière son humour potache souvent lunaire, interroge l’homme sur ses contradictions consubstantielles aux conséquences gravissimes qui s’il n’y prend garde le mèneront dans une impasse tragique sur laquelle il semble malheureusement déjà bien engagé. « Incroyable mais vrai » qui lui permet de retrouver Alain Chabat, déjà présent sur le très jouissif « Réalité » (2015), accompagné de Léa Drucker, Benoît Magimel et Anaïs Démoustier, s’avère en surplomb de son postulat de départ complétement déjanté, être un cri d’alarme invitant l’homme à renoncer à sa volonté insatiable de vouloir dépasser sa condition de mortel. spoiler: Un simple trou dans la cave d’un pavillon de banlieue qui débouche sur l’étage supérieur dont on sort rajeuni de trois jours à chaque fois qu’on y descend (ou qu’on y monte !!!) ajouté à une verge électronique made in Japon permettant à son propriétaire mais aussi à son épouse d’en avoir le contrôle total via son iPhone
    sont les deux arguments massue savamment et drolatiquement développés qui devraient guérir tout spectateur raisonnable du fantasme de vie éternelle et autres délires de transhumanisme conduisant à l’avènement de « homme augmenté ». Le cinéma de Dupieux sans que son auteur l’affiche clairement, s’abritant derrière la façade très séduisante d’un divertissement de haute volée est en réalité très engagé dans l’accomplissement souhaitable d’une véritable écologie, celle dont on parle mais dont personne ne veut vraiment s’occuper. Mais il est aussi celui d’un formidable raconteur d’histoires à dormir debout qui emmène ceux qui veulent s’y laisser prendre très loin dans l’absurde. Un cinéma qui mise beaucoup sur les dialogues et donc sur les acteurs. Ceux-ci d’ailleurs ne s’y trompent pas qui se précipitent devant la caméra de Dupieux pour échapper un court instant à l’indigence des scénarios actuels, contaminés par le virus Woke qui s’agrippe à tous les genres pour répandre une idéologie qui à l’insu de ceux qui la développent aura des effets dévastateurs et contraires à ce qu’ils croient défendre. Ce sur quoi le cinéma de Quentin Dupieux et de quelques rares autres, met le doigt. « Là où ça fait mal ». Il faudrait sans doute plus de Quentin Dupieux, d‘Albert Dupontel (un peu assagi ces derniers temps), de Benoît Délépine et de Gustave Kerven pour tenter de réveiller un peu les consciences chloroformées au consumérisme. En attendant ce grand jour qui n’est pas encore arrivé, quel plaisir indicible de voir Alain Chabat ébahi devant sa femme (Léa Drucker géniale), tout d’abord rétive, spoiler: descendre dans ce trou sans fond pour tenter l’impossible pari, à coup de trois jours en moins tous les jours, de redevenir une jeune fille (Roxanne Arnal) s’accomplissant dans une carrière de mannequin internationale
    . De son côté Benoît Magimel est proprement délirant en petit chef d’entreprise beauf tombé à pieds joints dans tous les pièges que le modernisme devenu fou lui tend, l’obligeant à aller au Japon au moindre défaut de son formidable engin. On ne peut conclure cette critique sans évoquer Stéphane Pezerat , acteur jusqu’alors inconnu qui est tout simplement sublime en agent immobilier vantant son pavillon de rêve au couple formé par Alain Chabat et Léa Drucker. Bravo l’artiste ! Et bonne pioche pour Quentin Dupieux qui ne doit surtout rien changer à sa façon de faire si intelligemment n’importe quoi. Ou plutôt si, faire travailler prochainement l’acteur Albert Dupontel pour lui redonner un peu de son insolence passablement affadie depuis « Au revoir là-haut » (2017).
    tixou0
    tixou0

    638 abonnés 1 972 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 octobre 2022
    "Incroyable mais vrai" : "Alain" (Chabat) et "Marie" (Léa Drucker) se payent une belle maison d'architecte (avec "cerise sur le gâteau", sous forme de trappe dans la cave...). "Incroyable mais vrai" : "Gérard" (Benoît Magimel) , le patron et nouveau voisin d'Alain, s'est payé (au Japon) un pénis bionique (pour l'agrément prétendu de sa "régulière" du moment, "Jeanne", alias Anaïs Demoustier - mais Gérard est un "homme à femmes"...). On fait coexister ces deux histoires, avec épisodes cocasses et "morale" commune : la quête du jeunisme est aux risques et périls de qui en est fan...
    Le dernier opus filmique en date (au moment où j'écris ces lignes) de Quentin Dupieux applique donc les recettes habituelles du trublionesque QD. Mais l'affaire tourne plutôt ici à la dupieu(x)serie (manque de fraîcheur, esprit de système) : dommage !
    PLR
    PLR

    411 abonnés 1 487 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 juin 2022
    Un film court (74 minutes) qui, dans le rythme et le contenu, fait penser à un court-métrage ou moyen-métrage, si ce n’est que le trait de la durée « légale » (si, si !) est dépassé. Lesquels, il y a quelques dizaines d’années, faisaient les premières parties dans les salles des « grands » films. Des essais exploratoires pour que des réalisateurs et scénaristes en devenir puissent se faire la main, à la plus grande satisfaction souvent du spectateur. Sauf que là, Quentin Durieux n’est pas un novice (on lui pardonnera donc moins). Fidèle à son registre, il nous sert quelque chose d’absurde plus que loufoque. Le sujet est somme toute sérieux et est à la limite dramatique par ses conséquences. Le sujet ? Ah ? C’est sans doute là qu’est la plus grande trouvaille de cet exercice de style. Si vous avez vu la bande annonce, vous savez qu’il y a quelque chose d’incroyable... mais vrai, difficile à raconter, difficile à croire, dont le mieux serait peut-être de ne rien en dire. Avouez-le, ces dialogues préliminaires vous ont mis l’eau à la bouche en provoquant une envie jouissive de découvrir ce qu’il y a derrière tant d’interrogations, de mystère, de non-dit. Ne comptez pas sur moi ici, sinon à quoi bon ? Les lacunes de ce scénario c’est que dès que le mystère, rationnellement inexplicable, est levé (on vous fera patienter un peu), l’intérêt et l'attention retombent vite. Sachez seulement, faute de meilleures explications et autres développements de ma part, qu’il y a du philosophique dans tout ça, du subliminal certainement. De l’étrange quoi... à tous points de vue.
    legend13
    legend13

    221 abonnés 1 021 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2022
    La fête du cinéma c'est le moment idéal pour aller voir des films que nous aurions pas forcément vu en temps normal. Et un ami m'a tellement bien vendu la filmographie de Quentin Dupieux qur j'ai décidé d'aller voir son dernier métrage.
    Mon ami Chibi je te dédicace cette critique.

    Pour commencer j'ai plutôt apprécié ce spectacle qui sort de l'ordinaire. On m'a vendu le réalisateur comme un cinéaste qui sort des normes dans l'écriture de ces scénarios. Et "Incroyable Mais Vrai" respecte cette réputation.

    Un concept intriguant et étonnant qui captive pendant la grande globalité du film. Les acteurs sont remarquables. Mention spéciale à Benoît Magimel qui tient sûrement ici un de ces meilleurs rôles.

    Bref une œuvre sympathique que je reverrais volontiers et qui me donne envie de découvrir d'autres films de son réalisateur.
    Ufuk K
    Ufuk K

    472 abonnés 1 405 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juin 2022
    "Incroyable mais vrai" de Quentin Dupieux est une comédie fantaisiste avec du charme. En effet même si le coté décalé m'a un peu dérange, notons aussi que le film tourne en rond rapidement, avant de nous offrir dans la dernière partie une savoureuse et cinglante critique de notre société actuelle basé sur la consommation, l'apparence physique et le sexe avec des acteurs à l'aise dans leur rôle (Alain Chabat , Léa Drucker , Anaïs Demoustier et Benoît Magimel)
    LeFilCine
    LeFilCine

    165 abonnés 561 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juin 2022
    Un pitch qui tient en deux lignes, de très bons interprètes et une durée très limitée. Voici les ingrédients sur lesquelles s’appuie Quentin Dupieux depuis quelques temps pour nous proposer chaque année un nouveau long-métrage. Comme toujours l’absurde est au cœur du projet et Incroyable mais Vrai n’y déroge pas. Mais là où Le Daim et Mandibules se contentaient de présenter des situations improbables et des personnages drôlement pathétiques, il ose aller cette fois-ci un peu plus loin et nous propose une réflexion intéressante qu’il présente sous forme d’un incroyable et improbable dilemme. Contrairement à ce que laissait croire la bande-annonce, ce n’est non pas une mais bien deux situations loufoques qu’il développe dans son film. Le couple Chabat-Drucker pour la première et le couple Demoustier-Magimel pour la seconde. Alain Chabat et Léa Drucker brillent dans des rôles plutôt taillés pour eux. On adore toujours Chabat lorsqu’il incarne ce genre de personnage un brin naïf, foncièrement gentil et sans aucune arrière-pensée. Benoît Magimel et Anaïs Demoustier interprètent de leur côté des personnalités totalement excentriques loin des rôles dans lesquels on a l’habitude de les voir. Pour notre plus grand plaisir. Malgré tout, bien que le film soit court, les deux situations absurdes peinent à tenir sur la longueur. Un Dupieux donc dans la moyenne, bien meilleur que Le Daim mais moins audacieux que Mandibules.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    116 abonnés 2 294 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2022
    "Incroyable mais vrai", comédie absurde française écrite et réalisée par Quentin Dupieux, sortie en 2022.
    Un nouveau film de Quentin Dupieux où l'on retrouve l'univers du réalisateur : un monde comme le nôtre, mais jamais vraiment le même.
    Avec Alain Chabat, Léa Drucker, Benoît Magimel et Anaïs Demoustier.
    C'est toujours drôle et bien réalisé.
    pietro bucca
    pietro bucca

    53 abonnés 1 209 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 novembre 2022
    Comédie bien sympathique, ou l'on navigue, comme a l'habitude du réalisateur, dans le farfelue, dans l'absurde et dans l'irréel. Mais la mayonnaise prend et c'est bien sympa.
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