Avis : Les Lignes courbes de Dieu - Page 5

Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu un thriller qui m'a captivé du début à la fin.
Une très belle réussite, un bon jeu d'acteur.
Un cocktail réuni pour nous donner 2h30 de questions.

Pas de temps mort dans ce film captivant qui nous ballade sans cesse.. Il nous rend fou et le scénario est très bien construit, pas d'ennui, bien que le film dure 2h30.
Ce film est exceptionnel et tellement rare aujourd'hui. Intelligemment construit, il rappelle les films d' Hitchcock et aussi le film "vol au dessus d'un nid de coucou" aux multiples oscars👋👋👋bravo pour les interprètations des acteurs également.
Un régal de cinéma que j'aurais plaisir à revoir pour analyser la chute que je connais !

Comment ne pas penser à Shutter Island bien sûr. Ce film de 2h30 tient en haleine jusqu'au bout. On se demande si certains malades sont des acteurs tellement ça sonne juste.

Intéressant, intéressant, un remix de shutter Island, en mode shutter closed psychatric hospital with open garden. Même semblant d’intrigue, un détective qui vient résoudre un meurtre. Sauf qu’ici la détective se fait dès le début passer pour folle. Elle a le charme féminin qu’à Leonardo au masculin. Les retournements de situation son nombreux, la fin nous laisse coi, et on se dit « quoi ? ». Puis le générique apparait sans réponse sur la vérité, même si une hypothèse semble plus réaliste que l’autre.
On pourra analyser les points communs des spectateurs qui se mettent du côté des médecins ou du côté de la patiente. Et les raisons qui poussent à choisir tel ou tel camp. Malgré un début un peu long et bizarre, des personnages qui ne mettent pas forcément à l’aise, et des moments un peu chocs, l’intrigue psychologique est intéressante et tout le monde prend à cœur son rôle dans cette mascarade.

Oriol Paulo n'en fini plus de nous mettre le cerveau à l'envers avec un nouveau thriller psychologique completement barré.
Il est bien aidé ici par son actrice principale, Barbara Lennie, qui est tout simplement exceptionnelle.
Préparez vous à souffrir mentalement et à savourer les multiples rebondissements jusqu'à la dernière seconde, absolument jubilatoire spoiler: (même si les avis sont partagés, cette "fracture de mental" m'a bluffée)

Ce n'est pas le film que je retiendrais de la carrière d'Oriol Paulo mais c'est pas mal. Finalement les 2h35 passent vite car le scénario est monté en épingles. Un peu tordu quand même et je ne suis pas sûr d'avoir saisie toute les subtilités. L'actrice principale est une comédienne remarquable.

Oriol Paulo dispose de moyens importants pour son film d’hôpital psychiatrique. Avec un beau travail sur les décors, costumes et, très important, le décor impressionnant de l'hôpital psychiatrique où se déroule une bonne partie du film. Le film est somptueux.
Un film où l'intrigue est de savoir si Barbara Lennie, patient de l'hôpital psychiatrique, est bien à sa place, ou pas, c'est à dire est-elle atteinte d'une maladie mentale ou pas. Selon les points de vue, selon le montage du film, selon les retours en arrière ou les retours en avant, la réponse diffère. Et c'est tout le propos d'Oriol Paulo de réussir un film qui tient en haleine le spectateur jusqu'au bout, jusqu'au dernier plan. Les multiples sous-intrigues que convient le scénario demandent un travail important au spectateur pour recoller les morceaux et faire les liens, et ceci en permanence. Ce qui fait que le film ne parait pas long malgré ses 2h30 de durée.
Le film est aussi plastiquement une réussite: au niveau de la photographie, des décors et des costumes. Avec une mention spéciale à Barbara Lennie, qui est de tous les plans du film, avec un gros travail pour porter toutes les composantes de son personnage.

Tout se joue sur le scénario et le long métrage s'amuse avec nous, si bien qu'il y a quelques longueurs, mais l'inventivité sauve le tout.

On prend shutter island, on mélange avec la saison 2 d'American horror story, et vous obtenez ce genre de film fait de poncifs milles fois vus. C'est globalement simpa, l'acting est plutôt bien, mais vraiment au bout de cinq minutes de film j'ai compris la fin, ce qui est assez problématique pour un film de ce genre. Se laissera abusé les gens qui n'ont pas vu shutter island, qui met 50-0 a ce film.

Un thriller prenant où l’on va et vient entre questionnements, incertitudes ou évidences un peu à la « Shutter Island » avec un soupçon de « Vol au dessus d’un nid de coucou » et un jeu de l’actrice qui rappelle celui des blondes d’Hitchock. Bref un tas de références au grand cinéma qui apportent une petite touche de déjà vu tout en étant d’une bonne originalité. Les personnages n’étant pas monolithiques, on a sans cesse du mal à se positionner entre les gentils et les méchants ! La fin restant ouverte m’a laissée un peu dubitative mais n’est ce pas ce qui fait le charme du film ?

Ce thrilleur psychologique est un régal dépourvût de "round d'observation". Nous assimilons une situation complexe et indécise dans un climat parfois hostile et/ou bienveillant. L'enchaînement des événements nous pousse à prendre parti avec ou... sans certitudes. A mi chemin entre basic instinct et shutter island le film réussit avec brio à "se créer son identité".

A vouloir faire l'ange, Oriol Paulo fait la bête. Problème de crédibilité dû aux figurants exagérément torturés dans les salles et les couloirs, au décor grandiloquent de cet hôpital psychiatrique et surtout aux incohérences dérangeantes.

Les bonnes critiques sont incompréhensibles. C'est épouvantable de bout en bout. Scénario nul, interprétation nulle, long, long, long, une soirée perdue

Un BON THRILLER PSYCHOLOGIQUE qui rappel sur les bords l'excellent "Shutter Island" grâce à une BONNE INTRIGUE et une BELLE MISE EN SCÈNE.

Scénario à la Hitchcock, mais... n'est pas Hitchcock qui veut. A trop vouloir compliquer un scénario, on génère des invraissemblances.
Rappelez-moi donc : spoiler: elle n'avait pas des coupures des faux journaux, avec la photo du docteur sous-titrée du nom du soi-disant père de la victime imaginée ? Ces coupures de journaux n'ont-elles pas été vues par la Directrice Adjointe ?