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    Laissez-moi
    Note moyenne
    3,2
    16 titres de presse
    • Femme Actuelle
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Parisien
    • Les Inrockuptibles
    • Sud Ouest
    • Bande à part
    • Dernières Nouvelles d'Alsace
    • L'Obs
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Monde
    • Le Point
    • Libération
    • Télérama
    • aVoir-aLire.com
    • Ouest France
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    16 critiques presse

    Femme Actuelle

    par La Rédaction

    Jeanne Balibar donne une belle intériorité à ce portrait de femme.

    Le Journal du Dimanche

    par Baptiste Thion

    Émouvant premier film que ce récit d'une infinie délicatesse dans son ton comme dans ses cadrages, qui en dit beaucoup avec peu, tout en gardant une part de mystère.

    Le Parisien

    par Catherine Balle

    Parfaite dans ce rôle de femme à la fois libérée et emprisonnée, Jeanne Balibar émeut. Et les montagnes suisses offrent un écrin sublime à cette histoire profondément romantique.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Les Inrockuptibles

    par Gérard Lefort

    Si "Laissez-moi" nous enchante, c’est qu’il invente, au-delà du suspense, un conte gorgé de mystères irrésolus.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Sud Ouest

    par Julien Rousset

    L’histoire d’une solitude. Un film doux, souvent silencieux, émouvant. Jeanne Balibar est impressionnante de justesse.

    Bande à part

    par Isabelle Danel

    Un premier film classique avec Jeanne Balibar, ordinaire et magique, magnifique.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    Dernières Nouvelles d'Alsace

    par Nathalie Chifflet

    Jeanne Balibar, singulière élégance, touche par sa grâce lumineuse.

    L'Obs

    par Isabelle Danel

    Accompagné de notes délicates au piano, ce premier long-métrage en forme de portrait mouvant d’une femme clivée reste convenu dans son écriture. Mais il fascine par ses décors de montagne et l’impressionnant ouvrage hydroélectrique de la Grande-Dixence du val des Dix, en Suisse. Surtout, il est transcendé par Jeanne Balibar.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Dauphiné Libéré

    par Nathalie Chifflet

    Maxime Rappaz esquisse l'essence d'une femme, à la fois mère au cœur tendre et amante aux ailes libres, fragile comme la rosée du matin. 

    Le Monde

    par M. DI.

    On regarde les images douces et picturales de Maxime Rappaz, qui apporte un soin particulier aux textures, comme on glisserait une main sur une robe de soie et de métal.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Le Point

    par La Rédaction

    Laissez-moi livre le portrait d'une mère aimante, d'une amoureuse idéaliste et le récit d'une émancipation qui conduit son héroïne à s'interroger sur l'amour et la recherche d'une forme de liberté qui conduit à la solitude. Un personnage étrange auquel Jeanne Balibar, tour à tour séductrice et mélancolique, apporte tout son charme et son mystère.

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Libération

    par Laura Tuillier

    Parfait lorsqu’il s’agit de mettre en place, minutieusement, les prémices de la fiction, "Laissez-moi" hésite à s’emballer et à faire muer son rythme indolent, par trop flegmatique.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Télérama

    par Jacques Morice

    Un premier long métrage singulier, entre fable et chronique rêveuse.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    aVoir-aLire.com

    par Fabrice Prieur

    Un très beau portrait de femme.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Ouest France

    par La Rédaction

    Un premier film desservi par le jeu maniéré de Jeanne Balibar.

    Première

    par Damien Leblanc

    Avec ce portrait d’une quinquagénaire qui aspire à une vie romanesque, Maxime Rappaz élabore pour son premier film une atmosphère mélancolique et hors du temps (même si le récit se passe en 1997). Mais la thématique du fantasme est traitée d’une manière vue et revue, au sein d’une direction artistique qui nous laisse sur notre faim.

    La critique complète est disponible sur le site Première
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