Avis : Confessions d'un homme dangereux - Page 9

Ayant vu Good Night and Good Luck depuis quelques temps, j'ai eu une petite envie de voir le premier film de George Clooney en tant que réalisateur. Le résultat est plutôt positif. George Clooney a réussi à faire un film classe et divertissant reposant sur l'histoire vraie de Chuck Barris. Le début du film n'est pourtant pas si accrocheur que ça. Le spectateur a du mal à rentrer dans cet univers. Il faut avouer que la présence de Drew Barrymore ne donne pas vraiment envie d'aller au bout du film. Heureusement, Sam Rockwell est là, et le film repose majoritairement sur lui. Il a d'ailleurs remporté l'ours d'argent du meilleur acteur au festival de Berlin 2003. Bref, Confessions d'un Homme Dangereux est assez séduisant et intéressant. Il possède aussi un point de vue. Celui de la folie des médias. Jusqu'où irons les médias pour se faire regarder. La tirade finale de Sam Rockwell est d'ailleurs assez étonnante et renferme une belle conclusion. Confessions d'un Homme Dangereux n'est pas un caprice de star, c'est avant tout un bon film plutôt bien réalisé.

lunaire, décalé, torturé... ce film a beaucoup de charme, une ambiance prenante.

George Clooney fait ses premiers pas derrière la caméra avec talent, entre sobriété et kitsch, il s'agit surtout de divertissement. Le plaisir ne se refuse pas aux vues du casting. A l'arrivée, on retiendra surtout Drew Barrymore, craquante et Julia Roberts, plus sensuelle que jamais. Et même une apparition mémorable de Maggie Gyllenhaal.

Même Sam Rockwell que j'aime beaucoup ne sauve rien ! Film sans saveur et sans intérêt !

Voyage très étrange dans le passé de la télévision et des États-Unis pendant la guerre froide, lorsque le pays était fou et trop fort. La vie d'un mec célèbre encore en vie avec une double vie d'un tueur de la CIA. Bien fait et produit. Étrange et drôle.

Un film intéressant sur une histoire vraie.
J'ai bien aimé malgré un début long et peux acrocheur.
Parle des émissions TV stupides et ennyeuses que beaucoup de monde regarde :)

Etre animateur de télévision et tueur de la CIA, c’est sûr ça fait un bon scénario de film et il était plus que logique de voir l’autobiographie (véridique ?) de Chuck Barris finir au cinéma. Première réalisation de Georges Clooney, ces Confessions sont finalement une déception. Non pas que le jeu de Sam Rockwell déçoive, mais le scénario assez mitigé et surtout la réalisation de Clooney est très perturbante. N’étant qu’à de trop courts moments réellement prenant, le film avance sur un faux rythme gênant et qui finit par décevoir et lasser.

Confessions d’un homme dangereux en bref : l’histoire était intéressante, la bande-annonce laissait d’ores et déjà présager une biopic mêlée d’action et d’humour noir. Tout faux.
C’est long, inintéressant, voir même, à certains moments soporifiques… Sam Rockwell signe sa pire prestation : son interprétation du héros n’est pas du tout charismatique et ne suscite aucun intérêt ! C’est exactement l’inverse de ce qu’on s’attendait à voir sur la vie d’un personnage aussi hors-normes que Chuck Barris ! Seuls Georges Clooney et Drew Barrymore se distinguent, lui avec son flegme naturel et elle avec son caractère extraverti, déjanté. Sans eux, le film tournait au désastre. Clooney est mieux devant la caméra que derrière.

Un film sans aucun interet,à caractère pornographique. Ce qui sont venus voir Brad Pitt ou Matt Damon seront en fait déçus, ils n'apparaissent que l'instant d'une seconde. Un conseil: si vous hésitez entre ce film et un autre, prenez l'autre.

Très bonnes idées cinématographiques, hommages appuyés à certains réalisateurs, belle mise en scène, humour, private jokes, excellents acteurs (Sam Rockwell est impressionnant). Le style de Soderbergh n'est pas loin, celui de Clooney reste à définir, mais avec un peu de pratique, il pourrait nous étonner dans les prochaines années !

Rien que du bonheur ! De toute façon, le casting et l'équipe ne pouvaient que pondre un bijou. Charlie Kaufman, Drew Barrymore, Julia Roberts, George Clooney... Presque aussi fort qu'"Ocean's eleven"!!
Un scénario adapté d'une autobiographie non-autorisée (déja ça donne l'esprit du film) qui retrace la vie mouvementée de Chuck Barris, animateur télé de jeu de télé réalité, dont il est l'inventeur et tueur au compte de la CIA. Vrai, faux? On s'en fout! C'est tellement beau (ah quelle mise en scène!!) et parfait (ah le jeu des acteurs!!) que le spectateur reste accroché à son siège, le sourire aux lèvres, béat d'admirations. La critique acide et drôle des américains est juste et plus constructive que celle qui voit les américains que comme une bande de gros porcs qui se gavent de hamburgers. Le personnage de la fiancée de Chuck est l'exemple même de la femme des années 60/70. Libérée mais sentimentale. C'est la lueur d'espoir qui persiste dans un univers de mâles sans peur et sans reproche, des golden boys (dont c'était l'émergence) aux tueurs à gages, dont fait partie le personnage de Julia Roberts, sorte de Mata Hari aux méthodes masculines et aux accessoires masculins. Elle donne une réplique à Sam Rockwell, lui aussi parfait, qui restera dans les annales, tellement elle est belle, juste et magnifique dans sa bouche : "Kill for me baby..."
Le meilleur film de l'année (pour l'instant).

Belle realisation mais film un peu lent, pas de rebondissement, il est basé sur une autobiographie, ce qui peut paraitre assez dingue... je vais aller me renseigner!

un film assez correct,un scénario exellent,le coté documentaire ma particuliérement plu,n'oublions pas qu'il s'agit d'une histoire vraie.joli coup de poker de Georges Clooney,pour son premier film en tant que réalisateur.film réussi et trés prenant.à voir absolument.

J'ai trouvé ce film tellement ennuyeux que j'ai du l'arrêter car je m'endormais. Je pense que ce film est bien, mais il y a des films comme ça, ou l'on n'accroche pas, et la c'est le cas, malgré une histoire intéressante et un casting prometteur, c'est très lent comme film.

Clooney montre qu'il est aussi bon devant que derrière la caméra. Rockwell délivre une prestation grandiose. Les "guests", brillant par leur inutilité, font un peu tâche mais l'ensemble et prenant et efficace malgré quelques longueurs. Une réussite pour une première.