Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Johannes Leinert est à la fois un génie incompris, l’archétype du savant fou dont la théorie même finit par le dépasser, mais aussi un homme englouti par la solitude et son passé, à l’identité fragmentée, et à la mémoire traumatique insaisissable.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Positif
par Christophe Chabert
Cet art du télescopage déborde ainsi le cadre de l’hommage et des références cinématographiques pour résumer un bout de XXe siècle que Kröger tente d’embrasser de façon ludique, avant d’en sonder toute la profonde gravité.
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
La radioactivité est ici l’autre nom du maniérisme, conçu comme l’infernale irradiation de toutes les figures qui nous ont précédés, jusqu’à une neutralisation mortelle.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Un voyage à l'intérieur d'une boite de Schrödinger à ciel ouvert et de l'espace étrange, mais fascinant, entre la science et la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un beau film d’aventures rétro, à la fois ludique et haletant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
Timm Kröger a l’audace de montrer l’artifice, conscient du potentiel de cette expérience de cinéma particulière, anti-immersive, qui place le spectateur dans un espace mental inconfortable, sans repères, sans affect, nu devant la possibilité de tous les possibles, devant, justement, ce nihilisme du multivers qui rend tout insignifiant.
Le Figaro
par Valérie Beck
Du mélodrame au film fantastique, ce premier film très réussi de Timm Kröger explore tous les genres. Envoûtant et inattendu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Ma. Mt.
Présenté en compétition à la Mostra de Venise en 2023, Universal Theory offre une variation originale et rêveuse sur le multivers, notion tirée de la physique quantique. Le film frappe par sa façon de retrouver le climat parano de la guerre froide dans une image en noir et blanc imbibée par les angoisses du post-expressionnisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Thibault Lucia
Pour s’accorder à l’état troublé de Johannes, Timm Kröger combine différents éléments formels du film noir rappelant l’expressionnisme allemand. Pourtant, le long métrage ne tombe pas dans le pastiche mais se veut plutôt une invocation de fantômes, ceux de Johannes, de l’Histoire, du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par Xavier Leherpeur
On aimerait apprécier complètement cette fiction inquiète et paranoïaque mais ce serait taire une longueur pas toujours justifiée et un récit nébuleux (ok c’est dans le contrat) nous égarant trop souvent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Michel Valentin
À la fin, on n’est pas sûr d’avoir tout compris, mais on a fait un beau voyage !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Olivier Lamm
Timm Kröger se lance avec malice dans un voyage vertigineux aux confins des mathématiques et de l’astrophysique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
La conclusion touche à un spleen mélancolique inespéré, et justifie ce sentiment de s'être trompé de salle quatorze fois d'affilée et de ne plus oser sortir.
Première
par Frédéric Foubert
Brassant les références, le film dévoile ses mystères à un rythme un peu trop languissant, mais emporte le morceau dans un dernier acte où le romantisme de Kröger, sa malice pop, son travail plastique sur les distorsions spatio-temporelles finissent par réellement envoûter.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Un film qui met brillamment en scène les théories des dimensions parallèles.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Joseph Boinay
Reste qu’on est là dans l’élégance romantique, entre La Montagne magique, de Thomas Mann, et un épisode de La Quatrième Dimension, avec ses doubles inquiétants et ses failles temporelles : l’occasion d’oublier les limites de ce qui s’apparente parfois à un brillant mais simple exercice de style. Ce qui fait qu’on n’aime pas vraiment et qu’on aime absolument Universal Theory.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Jean-Baptiste Doulcet
Profusion d’idées, confusion de l’esprit : c’est le prix à payer face à cet étrange film mental, plus frustrant que stimulant, mais doté d’un charme fou.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Un thriller fantastique à la croisée des genres, hommage trop appliqué pour dépasser ses références.
Voici
par La Rédaction
Universal Theory propose de très belles images en noir et blanc, mais trébuche sur son récit, aussi nébuleux par moments que prévisibles à d'autres.
Culturopoing.com
Johannes Leinert est à la fois un génie incompris, l’archétype du savant fou dont la théorie même finit par le dépasser, mais aussi un homme englouti par la solitude et son passé, à l’identité fragmentée, et à la mémoire traumatique insaisissable.
Positif
Cet art du télescopage déborde ainsi le cadre de l’hommage et des références cinématographiques pour résumer un bout de XXe siècle que Kröger tente d’embrasser de façon ludique, avant d’en sonder toute la profonde gravité.
Cahiers du Cinéma
La radioactivité est ici l’autre nom du maniérisme, conçu comme l’infernale irradiation de toutes les figures qui nous ont précédés, jusqu’à une neutralisation mortelle.
Ecran Large
Un voyage à l'intérieur d'une boite de Schrödinger à ciel ouvert et de l'espace étrange, mais fascinant, entre la science et la fiction.
L'Humanité
Un beau film d’aventures rétro, à la fois ludique et haletant.
La Septième Obsession
Timm Kröger a l’audace de montrer l’artifice, conscient du potentiel de cette expérience de cinéma particulière, anti-immersive, qui place le spectateur dans un espace mental inconfortable, sans repères, sans affect, nu devant la possibilité de tous les possibles, devant, justement, ce nihilisme du multivers qui rend tout insignifiant.
Le Figaro
Du mélodrame au film fantastique, ce premier film très réussi de Timm Kröger explore tous les genres. Envoûtant et inattendu.
Le Monde
Présenté en compétition à la Mostra de Venise en 2023, Universal Theory offre une variation originale et rêveuse sur le multivers, notion tirée de la physique quantique. Le film frappe par sa façon de retrouver le climat parano de la guerre froide dans une image en noir et blanc imbibée par les angoisses du post-expressionnisme.
Les Inrockuptibles
Pour s’accorder à l’état troublé de Johannes, Timm Kröger combine différents éléments formels du film noir rappelant l’expressionnisme allemand. Pourtant, le long métrage ne tombe pas dans le pastiche mais se veut plutôt une invocation de fantômes, ceux de Johannes, de l’Histoire, du cinéma.
L'Obs
On aimerait apprécier complètement cette fiction inquiète et paranoïaque mais ce serait taire une longueur pas toujours justifiée et un récit nébuleux (ok c’est dans le contrat) nous égarant trop souvent.
Le Parisien
À la fin, on n’est pas sûr d’avoir tout compris, mais on a fait un beau voyage !
Libération
Timm Kröger se lance avec malice dans un voyage vertigineux aux confins des mathématiques et de l’astrophysique.
Mad Movies
La conclusion touche à un spleen mélancolique inespéré, et justifie ce sentiment de s'être trompé de salle quatorze fois d'affilée et de ne plus oser sortir.
Première
Brassant les références, le film dévoile ses mystères à un rythme un peu trop languissant, mais emporte le morceau dans un dernier acte où le romantisme de Kröger, sa malice pop, son travail plastique sur les distorsions spatio-temporelles finissent par réellement envoûter.
Rolling Stone
Un film qui met brillamment en scène les théories des dimensions parallèles.
Télérama
Reste qu’on est là dans l’élégance romantique, entre La Montagne magique, de Thomas Mann, et un épisode de La Quatrième Dimension, avec ses doubles inquiétants et ses failles temporelles : l’occasion d’oublier les limites de ce qui s’apparente parfois à un brillant mais simple exercice de style. Ce qui fait qu’on n’aime pas vraiment et qu’on aime absolument Universal Theory.
aVoir-aLire.com
Profusion d’idées, confusion de l’esprit : c’est le prix à payer face à cet étrange film mental, plus frustrant que stimulant, mais doté d’un charme fou.
Les Fiches du Cinéma
Un thriller fantastique à la croisée des genres, hommage trop appliqué pour dépasser ses références.
Voici
Universal Theory propose de très belles images en noir et blanc, mais trébuche sur son récit, aussi nébuleux par moments que prévisibles à d'autres.